mercredi 27 juillet 2011

CE LIEU EST TERRIBLE...

   Certains lecteurs, bien au fait des indices émaillant l'énigme des deux Rennes, pourraient penser que la suite de mon intervention du jour serait en rapport avec ce titre.

   Il n'en sera rien.
   Sur cette phrase tout a été dit, ou tout reste à dire...
   J'ai choisi ce titre en rapport avec la dernière polémique en date opposant des chercheurs connus, pour ne pas les nommer Franck Daffos et Michel Vallet.
   Les lecteurs non encore avertis pourront se référer à cet article de presse :

   http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/27/1135804-rennes-le-chateau-le-tresor-des-wisigoths-est-il-la.html


   Ainsi que je l'ai déjà indiqué sur deux forums liés à l'énigme, je ne tiens pas à m'immiscer dans cette affaire qui ne regarde que ses protagonistes.
   Qui a tort ? Qui a raison ? La suite nous l'apprendra peut-être.
    Par contre, je souhaite m'insurger sur le fait de jeter en pâture à certains, dont l'irresponsabilité va de pair avec l'avidité, un site naturel, sans doute remarquable, qui, demain, si les autorités publiques n'en circonscrivent pas l'accès, risque de subir des dommages considérables.
   Sans évoquer les mêmes risquant eux aussi des dommages corporels graves.

   Ceci est la première réaction dont je souhaitais faire part.

   La seconde est, de manière plus large, la dénonciation d'un climat pour le moins délétère, pour ne pas dire glauque, émaillant depuis de nombreuses années les interventions entre " chercheurs ".
   S'il est vrai que des rencontres des plus chaleureuses, et constructives, l'argumentation contraire à notre point de vue, quand celle-ci ne se résume pas aux invectives et procès d'intention, serait porteuse de plus d'exigence et de rigueur quant à nos propres travaux, existent heureusement, il n'en demeure pas moins que trop souvent, soit sur les forums d'expression, soit physiquement sur le territoire des deux Rennes, l'on pourrait se croire en pleine cour de récré, en compagnie de sales gosses se disputant la bille ou le calot en verre ! 
   Cela pourrait être risible si la rancoeur, mère de la méchanceté, ne s'en mêlait.
   Pour l'heure, je trouve cela pathétique, mais aussi contre-productif.
   Réfléchissons un peu à ce que la somme de ces individualités composant la " communauté " des " chercheurs " aurait pu produire en terme de résultat, chacun dans sa discipline, son domaine de compétence: cela fait longtemps, sans doute, que notre énigme serait résolue.
   Mais ce lieu est terrible , et semble générer de lui-même la zizanie ( comme dans un des albums d'Astérix )


   Il en est ainsi.
   Nous pouvons juste espérer qu'avec le temps les esprits s'apaisent et construisent une réelle communauté méritant ce titre et cet état d'esprit, d'ou la communion ne sera plus absente ou si peu présente.
   Mais pour cela il y a du ménage à faire, en chacun de nous, et de l'Ego à mieux canaliser.

   Maintenant que ces choses sont dites, je souhaite faire part de quelques autres réflexions, propre à mon histoire personnelle autour de ces recherches.
   Je dis histoire personnelle tant  me paraît vaine l'hypothèse d'être distancié vis à vis d'une recherche, quelle que soit la nature de celle-ci, ce qui n'empêche pas d'observer les résultats produits avec toute la rigueur qui s'impose, et mieux même, d'avoir un regard extérieur afin de susciter un examen qui ne soit pas le sien propre.
Histoire personnelle parce que, et là, tout chercheur honnête, c'est à dire dans mon esprit, ayant vraiment effectué une recherche, et non comme d'autres surfé sur la vague commerciale du pré ou du post Da Vinci Code, me rejoindra : cette histoire vous prend, c'est à dire vous saisit, au sens propre comme au figuré.


   Donc, cela fait trois mois que j'ai décidé de restituer une grande part de mes travaux, poursuivant en parallèle mes recherches, et affinant ce que j'avais pu trouver.
   J'imagine ne pas être lu par des milliers de personnes, mais peu me chaut pour l'instant.
   Je dirais même que cela m'arrange plutôt.
   Lecteur, nous ne nous connaissons pas encore, il faut laisser le temps au temps, n'est-ce pas ?
   Mais peut-être certains, certaines d'entre vous ont croisé mon chemin à Rennes-les-Bains...Je salue celles et ceux avec qui j'ai pu entretenir de bons rapports.

   Je peux cependant me faire une idée, je pense assez fidèle, des écoles de pensée qui vous animent.
   1 ) Les convaincus, non pas d'avance, mais après coup, après lecture et, je l'espère, vérifications des éléments que j'avançais. Merci, grand merci  à eux, j'espère continuer à combler leur curiosité.

   2 ) Les sceptiques regroupant deux sous-catégories, l'une étant le sceptique ad vitam eternam, qui, quelque élément mis en avant et criant sa vérité, trouvera toujours à redire, à pinailler, à rejeter sans même prendre la peine de réfléchir tant il est prisonnier de son enfermement mental et de son aliénation propre. 
        Je ne peux malheureusement rien pour lui, sauf à lui demander ce qu'il fait sur ce site.
        La seconde catégorie serait le sceptique qui demande à voir avant de se prononcer définitivement, en partie du fait que sur cette histoire de Rennes le Château, il a été échaudé par maints imposteurs.
        A celui-ci je dirais : essayez donc de faire abstraction de votre expérience malheureuse, et prenez la peine de me lire.


   3 ) Ceux que j'appelle les singes savants . A savoir les enfants d'un certain académisme, quoique ceux-ci puissent en dire, ou en médire, formatés intellectuellement , ou spirituellement , ou les deux, selon un certain logiciel. La façon de les reconnaître sera de toujours mettre en avant leurs connaissances, de pontifier en société, d'adopter en toute circonstance la posture de celui ou de celle qui sait.
       Et surtout, de bien te le faire sentir. 
       C'est là leur finalité à défaut de leur finitude...

   Comment se faire des copains...

   Maintenant, et pour faire lien avec l'actualité chaude du Razès, j'annonçais il y a peu détenir la position géographique d'une cache à Rennes-les-Bains, et ceci n'infirme pas la découverte dont on nous fait part ( la thèse que je défends étant liée à l'existence de douze caches en France rien n'interdit de penser qu'il y en ait deux, voire trois sur le territoire des deux Rennes ).
   Je me trompais : ce que je pensais être le point d'aboutissement lié à la cache n'était qu'un jalon, essentiel certes, mais un jalon.
   Donc, j'ai repris mon étude du terrain, et suis parvenu à identifier un autre point, me faisant jusqu'alors défaut.
   Le résultat obtenu, outre le point géographique désormais identifié, me permet également de mieux comprendre certaines entrées signifiantes dont je ne saisissais pas jusqu'alors la pertinence.
Pour être clair, certains éléments que j'avais précédemment trouvent leur explication suite à la découverte et du jalon manquant, et du point géographique final.
Au moment que je choisirais, et quand je ferais part au lecteur du chemin ou circuit qui permet d'aboutir à ce résultat, la cohérence de l'ensemble sera incontestable, quoiqu'extraordinaire.


   Car ceci suppose ce que d'aucuns d'entre nous pressentaient : un réseau occulte oeuvrant et posant ses jalons en fonction de l'énigme de Rennes le Château.
    Il est vrai qu'une part de mes recherches a pour objet l'étude d'un matériel soi-disant corrompu, à savoir des écrits et communications, de ceux baptisés par nos singes savants de " fine équipe"ceci avec toute la condescendance que l'on peut imaginer, en l'occurrence  Pierre  Plantard et Philippe de Cherisey.
    Il est vrai que ceux-ci se sont employés à brouiller les pistes, à dresser rideaux de fumée et leurres dans une intention de manipulation à destination du public, et pour servir certaines fantasmagories mégalomaniaques.
   Il n'en est pas moins vrai que, depuis le début, la communication cachée utilisée par nos deux protagonistes,et dont j'ai fait en partie état, poursuivant sur le même mode opératoire qui les a précédé, recèle sa Vérité.
   J'ai ici en mémoire l'extrait d'un écrit de Philippe de Cherisey, dont la lecture agrémentée d'une recherche des plus simples mène à l'un des jalons nécessaires pour commencer à comprendre.
   Le second élément contenu dans cet extrait menant sur un autre aspect à une mise en perspective historique, mais pas que.
    
   Donc, pour certains, et ceci quand bien même, la méthode et le matériel que j'utilise, aient mené au bout d'un chemin ou circuit, à la découverte d'un trésor sur la ville de Thérouanne ( voir plus avant ) , certes découvert lors de fouilles archéologiques en 1965, mais qui n'a rien de mythique et est du plus concret, je serais dans l'erreur.
   Peut-être imaginent-ils que je suis parti de la découverte du trésor de Thérouanne, et que j'ai remonté le courant, tel le saumon que je ne suis pas ?
   Pauvres sots.
   Le chemin que j'ai emprunté est de toute beauté, et je m'en serais voulu de ne pas en faire profiter le lecteur honnête.
   Il y avait un chemin plus court: il suffisait pour cela d'associer un nom qui est à rattacher à l'énigme : Orval. 
   Et très logiquement, l'on aboutissait à Thérouanne :


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Audomar
   Donc que mes contradicteurs de mauvaise foi  se gardent bien de porter leur jugement de manière trop définitive, l'avenir pourrait se charger de leur donner tort...
   Et de quelle manière !


   Nous oeuvrons en ce sens.


   En ce 27 juillet 2011, ce qui ne doit rien au hasard...
   L'auteur alain C . . . . . h
   
  
  
  DE L'EAU A MON MOULIN 2

  AVERTISSEMENT 2 : CE QUI VA SUIVRE AURA POUR CONSEQUENCE SANS DOUTE DE NOMBREUSES REACTIONS  - MERCI DE ME CITER ET DE PAS EXPLOITER CETTE INFORMATION A VOTRE PROFIT !  


   Je souhaiterais apporter ma contribution constructive consécutivement aux informations parues dans la presse, ceci suite à la polémique récente entre deux chercheurs connus.
   J'aimerais ici revenir sur un élément précis : les auteurs nous présentent le tableau de Téniers , la fameuse tentation comme recelant un code qui est une date. Ce qui leur fait dire, si j'ai bien tout saisi de l'article de la Dépêche du Midi d'hier que la cache serait inviolée depuis 1294.  En effet, le vol des oiseaux apparaissant sur le tableau forme une date en terme d'année : 1294.
   Des interventions nombreuses sur les forums, avec le ou les tableaux en question, y font référence.
   Nos chercheurs ont rapproché cette date du Pape Celestin V ( depuis le début de cette affaire de Rennes-le-Château on nous entretient du fait que Beranger Saunière, lors de son voyage à Paris, aurait rapporté une reproduction d'un tableau représentant le Pape Celestin V ) , Pape qui a abdiqué de son état ...le 13 décembre 1294.
   Sur ce point j'abonderais d'autant plus dans leur sens, que ce jeu de dates formé par ces oiseaux sert et mes intérêts propres, et la Vérité.
   Donc je suis reconnaissant à tous ceux, et celles, qui sont intervenues sur les forums depuis des années sur ce sujet précis - suit un exemple :


http://www.rennes-le-chateau-archive.com/forums/viewtopic.php?p=9226

   A contrario, je me permets de signaler la vraie raison de cette référence à Celestin V,et ceci est une information essentielle.
   Le lecteur habitué à me lire a connaissance de ma découverte relative à un codage particulier, dont je vous entretiens depuis des semaines, fonctionnant par un jeu de renvoi systémique sur des concordances de dates.

   Ainsi je révélais que la date de décès de Marie de Nègre d'Ables avec un document attestant de cette date ( dont la stèle mythique porterait la mention ) et qui est un élément fondateur de l'énigme de Rennes-le-Château, à savoir le 17 janvier 1781, renvoyait par ce jeu de transposition vers le 20 du mois de teveth juif.

   Ce jour du 20 teveth étant lui-même rattaché, dans la sphère culturelle juive, à la date de décès de Maïmonide, un des grands intellectuels du Moyen-Age pour le judaïsme.Date du décès le ...13 décembre 1204 !


   Je vous laisse, lecteur, juge de cette admirable composition.
   Deux éléments en lien avec l'énigme - un tableau du Pape Celestin V et la date de décès de Marie de Nègre d'Ables ( transposée ) donnant chacun un résultat identique et le même signifiant !
C'est à dire le renvoi vers Maïmonide.
   A 90 ans d'écart, la même date du 13 décembre !


   Qu'est-ce à dire ? Coïncidence stupéfiante ?
   Nenni , ma foi ! cela veut dire choix à postériori , choix de ces deux personnages éloignés dans le temps L'UNE POUR  LA DATE DE SON DECES, POUR LE SECOND LA DATE DE SON ABDICATION...


   Il fallait que ces deux personnages et ces deux dates existent, parce qu'elles sont un élément fondateur, avec deux autres , encore caché mais dont je détiens la clef , des indices menant, cette fois par un des plus subtils jeu de transposition géographique, vers une cache sur le territoire de Rennes-les-Bains.
   J'ai bien conscience en livrant ces éléments de faciliter la tâche de petits malins qui pourraient faire le rapprochement attendu.
   C'est un risque que je prends.
   Il est un autre élément qui n'apparaît nullement dans mes écrits précédents, et sans lui, point de triangulation ( le mot est lâché ) possible.


   Et nous ne parlons pas de la même...cache
   Et respectant les limites que je me suis fixé je n'en dirais pas plus.


   En ce jour du 28 juillet 2011, l'heureux auteur  alain C . . . . . h


   
































   
































mardi 19 juillet 2011

LA LETTRE VOLEE SUITE 2

DES ROIS MAGES ET DE LEUR BONNE ETOILE...


En préambule, avant que de poursuivre notre périple, nous tenons à préciser que la forme un peu clinique de notre étude sera par la suite amendée ( pour l'écriture de notre essai ).
Le point de vue épousé est que l'essentiel réside dans le singulier mécanisme du jeu des calendriers, avec ses renvois systémiques et ses arcanes, aussi, pour ne pas risquer de troubler le lecteur, nous sommes-nous cantonnés à une analyse la plus rationnelle possible.


Nous allons donc poursuivre sur la même circulaire interne de Pierre Plantard en date du 4 avril 1989.
Pour autant, nous ne nous livrerons pas à une étude complète ( qui sera incluse dans notre essai ).


Avant toute chose, deux éléments sur la date du 4 avril :


  - 4 avril 1807 est la date de décès de Jérôme François de Lalande dont il sera utile de préciser quelques faits - Astronome, franc-maçon , Lalande a participé à la création du Calendrier républicain . En 1795, il participe à la création du Bureau de longitudes avec l'abbé Grégoire, bureau des Longitudes en lequel  une figure historique liée aux travaux sur le Méridien de Paris sera son élève : Jean-Baptiste Joseph Delambre.


- 4 avril 1814 - Première abdication de Napoléon 1er à Fontainebleau.
Nous verrons par la suite le lien existant entre l'évènement de cette année 1814 et notre énigme.


Nous allons maintenant prendre un extrait de la lettre de Pierre Plantard du 4 avril 1989.
" Victor Hugo déposa une partie de ses archives le 19 juillet 1870 chez Paul Meurice, 5 avenue Frochot à Paris ".
Sur l'avenue Frochot et ses illustres habitants( Victor Hugo, Paul Meurice , Alexandre Dumas père) )  il y aurait beaucoup à dire, mais l'indice réside dans la personnalité de celui qui donna son nom à cette artère méconnue de Paris : Nicolas Frochot.
Préfet de la Seine nommé par Bonaparte, il fait percer de nouvelles rues, voies, ponts et marchés.
Il fait acheter des terrains, hors des limites du Paris de l'époque, qu'il fait transformer en 4 cimetières dont le cimetière du Père-Lachaise.
C'est ici l'information qui va faire signe. 

L'une des sept collines de Paris, appelée Champ-l'Évêque car elle appartenait au Moyen Âge à l'évêque de Paris, prit au XIIe siècle le nom de Mont-aux-Vignes, pour les cultures que l'on y réalisait alors. En 1430, un riche commerçant du nom de Régnault de Wandonne acheta le domaine afin d'y faire construire une maison cossue : une folie. C'est l'origine du nom de l'actuelle rue de la Folie-Regnault dans le 11e arrondissement.
Deux siècles plus tard, les Jésuites acquièrent le terrain pour en faire un lieu de repos et de convalescence. La maison accueille quelques heures le jeune roi Louis XIV venu assister sur ces hauteurs à des combats lors de la Fronde. Cet événement donnera au lieu le nom de Mont-Louis

Le procédé utilisé ici par Pierre Plantard relève de l'homonymie, en effet, nous allons retrouver un personnage déjà mentionné, ceci en la ville de Mont Louis Pyrénées Orientales, ou il se distingua :

Monument dédié au général Luc Siméon Auguste Dagobert (1736-1794), "sauveur" de Mont-Louis en 1793 lors des batailles du Col de la Perche et d'Olette. En effet, de toute son histoire, Mont-Louis ne fut jamais prise par l'ennemi, c'est une vraie bonne place Vauban... dissuasive ! Le monument est édifié au XIXe siècle à l'emplacement où le général Dagobert avait été enterré en 1794 avant que ses restes ne soient transférés au cimetière Saint-Martin de Perpignan, où il repose auprès du général Dugommier.


Ce même général Dagobert qui fut aussi, par la suite, associé étroitement avec la région des deux Rennes et du Razès en tant que propriétaire exploitant de toutes les mines des Corbières et du Razès.


Fort de tous ces éléments, nous allons maintenant entreprendre de disséquer, le terme n'est pas trop fort, un matériau qui a fait couler beaucoup d'encre.
Ici encore, la manifestation du ou des messages ne s'accomplira qu'au prix d'intense cogitation, car s'il est une chose d'avoir découvert cette communication cachée en exploitant le jeu des correspondances de dates, c'en est une autre, à un moment donné du fil d'Ariane, de trouver le chaînon qui produit le lien, et encore une autre de dresser une perspective cohérente.


Le collage des Rois Mages de l'abbé Saunière :


Le lecteur non averti pourra facilement enrichir sa connaissance sur les différentes pages internet s'y référant.
Néammoins , nous semble-t-il opportun de re préciser quelques détails.
Pour ce collage, l'abbé Saunière a utilisé deux numéros du journal La Croix, celui du 1er et celui du 6 janvier 1892.
Il sera intéressant de noter qu'en système de transposition du calendrier grégorien vers le calendrier hébreu, le 1er janvier 1892 produit le 1er du mois de teveth, qui est le 7ème jour de la fête de Hanouka, dont le symbole premier est la lumière...
Et donc, en toute immodestie, que la lumière soit !
Pour le texte accompagnant l'illustration du collage effectué par l'abbé Saunière une petite note précise :

 "le dialogue publié est tiré d'un roman que lancera le journal : "Les mystères du Moyen âge : mystères liturgiques" de M. le baron d'Avril. "
 Voici ici un signe qui trouvera sa justification plus tard.

Sur la date du 6 janvier, nous ferons une pause sur son appellation dans le calendrier républicain : jour de la marne, roche sédimentaire, appelée aussi tuffeau ou encore pierre de France... C'est aussi, bien entendu, dans la sphère du christianisme :


Épiphanie (Manifestation de Jésus) ou Théophanie (Manifestation de Dieu), fête qui célèbre la visite des Rois mages à l'enfant Jésus (Église latine), le baptême du Christ dans le Jourdain (Églises arménienne et byzantine) ou la première révélation de la Sainte Trinité (Église byzantine).

C'est aussi, en 1822, la date de naissance d'un archéologue allemand du 19ème siècle, Heinrich Schliemann, célèbre pour ses découvertes archéologiques :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Schliemann

Il convient de noter que sa date de naissance ( 6 janvier 1822 ) en système de transposition produit le 13 du mois de teveth, date que nous avons déjà rencontré plus haut, et qui marque, dans le judaïsme , la fin de la période pour la bénédiction de la Lune.
Nous attirons le lecteur vers la photo intégrée au lien ci-dessus, montrant Schliemann sur la Porte des Lions de l'ancienne cité de Mycènes.
Il y a là un rapport d'analogie sur l'étoile des Rois mages et la constellation du Lion, avec l'étoile Regulus ( petit Roi ) .

http://atil.ovh.org/noosphere/mages.php

Sur le lien suivant le lecteur pourra observer qu'aujourd'hui, avec les moyens modernes dont nous disposons, les instances scientifiques rejoignent cette explication :

http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/man221297.html 

Ceci n'est pas un scoop en soi, à savoir que des chercheurs sur Rennes-le-Château ou des intervenants de forum sur ce thème sont déjà intervenus en ce sens . Le souci est dans le fait que ces intervenants s'interrompent là ou il serait de bon sens de poursuivre. Quitte à prendre quelque risque...
Maintenant lecteur, lis jusqu'au bout cette démonstration avant de récriminer ou crier au fou.
Nous sommes dans l'effet miroir et celui-ci va jouer sa partition !

Si Regulus était un mot-clef, serait-il possible qu'il puisse avoir quelque correspondance avec tout autre chose ?
La réponse est oui :
Pour cela il conviendra de se remémorer l'année 1814 que nous avons mentionné au tout début, en rapport avec la date du 4 avril de Pierre Plantard .
Mais aussi  , dans le collage des Rois mages de l'abbé Saunière,le signe de l'ombre, pourrait-on dire,se dissimulait-il  dans  cette mention du journal La Croix sur le Baron d'Avril ( ce patronyme étant à considérer sous le signe du mois ! ).


1814 -
A la suite des combats devant l'ile d'Aix, le "Régulus" avec son  Capitaine Lucas, sont envoyés pour défendre l'entrée de la Gironde, il sera une nouvelle fois fait appel à un pilote pour franchir Maumusson.
Le 6 Avril 1814, Le Capitaine Lucas ne pouvant plus faire face aux assauts des Anglais,saborde en  mettant le feu  au "Régulus" qui sombre devant Blaye.



http://www.histoirepassion.eu/spip.php?article854

Première étape, donc, qui nous permet, c'est là tout son sens, de passer allègrement du 6 janvier au 6 avril.

Il conviendra donc le 6 avril de rechercher le lien.
Le 6 avril 1528 est la date du décès d'Albrecht Dürer, peintre, graveur, mathématicien de son état.
En tant que peintre, nous lui devons une très remarquable représentation des Rois mages :
http://www.liturgiecatholique.fr/L-adoration-des-mages-dans-l.html

Le message essentiel que nous retiendrons sur ce renvoi serait pour nous contenu dans la personnalité d'Albrecht Dürer, ses centres d'intérêt s'exprimant dans son Oeuvre.

Tous éléments que nous examinerons dans une prochaine étude.

Et puisqu'Albrecht Dürer se prête si bien avec notre thème des Rois mages, nous irons de ce pas quérir sa date de naissance, à savoir le 21 mai 1471, et nous voici donc au 21 mai, qui est dans le calendrier républicain le jour de l'hémérocalle, plante qui doit son nom étymologiquement ,du grec
ἡμέρα (Hemera) « jour » et καλός (kalos) « beauté »...Soit la bauté du jour.
Et puisque nous sommes ,sur notre énigme , en relation avec,d'une part  un légendaire sur la lignée du Roi Dagobert , et d'autre part, un fait historique avec le général du même nom, propriétaire et exploitant des mines du Razès, nous ne pourrons faire l'économie de ce lien analogique, entre d'une part cette beauté du jour et l'étymologie de Dagobert , de Dag ( jour ) et obert (brillant,  lumineux ), ainsi qu'une parenté évidente entre la fête de Hanoukah, ces jours ou la lumière tient une si grande place.


Il est possible que ce fil d'Ariane se poursuive avec  d'autres liens, l'un d'entre eux nous posant problème, nous sommes contraints de l'interrompre.

17 JANVIER = 19 SEPTEMBRE


Le 19 septembre qui est la date associée à Saint Janvier évêque de Bénévent, et d'après ce qu'en dit Pierre Plantard, dans sa lettre du 4 avril :
" Je crois qu'il est bon de se souvenir que le 17 janvier a un sens hermétique pour le Prieuré de Sion, c'est janvier / 17 , c'est à dire le 19 septembre, la fête de l'évêque Janvier... "


En prenant en compte l'association dans notre énigme du Razès entre la date du 17 janvier et la ligne rose ( Méridien caché )  , le lien établi en l'Eglise Saint-Sulpice de Paris dont nous avons amplement parlé, nous ne pouvons de nouveau passer sous silence le rapport étroit entre le 19 septembre et un personnage historique,lui-même  étant associé au Méridien de Paris, et ce sera là le point de jonction entre le début de notre communication et sa conclusion.
Conclusion qui pourrait être, pour ce qui concerne les recherches sur le terrain, une indication précieuse.




Jean-Baptiste Joseph Delambre, né à Amiens le 19 septembre 1749

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Joseph_Delambre


La dernière étape étant contenue dans l'historique du sieur Delambre, ayant suivi les cours de l'astronome Joseph Jérôme François de Lalande décédé le 4 avril 1807 que nous évoquions au début de notre communication.

A suivre en ce 19 juillet 2011 -  Saint Arsène - 17 tamouz l'auteur alain C . . . . .h


  Indication précieuse, disions-nous...

   Toute la difficulté dans cet exercice de restitution auquel nous nous livrons, est d'en dire assez pour retenir l'attention du lecteur, mais point trop pour ne pas dévoiler les arcanes du circuit auquel nous sommes conviés.
   En clair, et ce dont je vous ai déjà entretenu : des positions géographiques précises dont nous soupçonnons fort qu'elles recèlent chacune un dépôt, de nature différente.
   Le lecteur, ou chercheur, comprendra, je l'espère, notre discrétion.
   Pour en revenir au territoire qui nous intéresse au premier plan, celui des deux Rennes, je rajouterais que certains éléments divulgués ici, et croisés, indiquent une cache dans la région de Rennes-les-Bains.
   Tout est question de transposition...

   Concernant celle en Ile-de-France, il n'est pas impossible qu'à un moment donné, peut-être durant les prochaines semaines, ne soit fixé un rendez-vous, ceci à fin d'investigation. Avec toutes les inconnues inhérentes à la recherche sur le terrain

   Pour en revenir à notre sujet, nous allons observer des éléments relevés par ailleurs, et tenter d'y apporter les réponses satisfaisantes.
   J'ai déjà dit l'estime dans laquelle je portais certains chercheurs, il en est d'autres, dont la vigilance serait à souligner, et, concernant la fameuse stèle de Marie de Nègre d'Ables, liée à la date du 17 janvier, nous avons trouvé ceci :

http://www.rlcpiedevigne.onlc.fr/46-SESA-tome-17---La-stele-de-la-marquise.html.

   Sans souscrire à l'ensemble de cette analyse, nous allons extraire deux éléments et leur donner une explication :

   1 ) La date du 24 juin 1905 versus celle annoncée du 25 juin : Ce jeu de dates, cette erreur que nous qualifierons de volontaire, tant ce qui va en résulter recoupe mes propres recherches, est à considérer toujours selon le mode de transposition du calendrier. Et donc, en calendrier hébraïque la date du 24 juin 1905 , et non celle du 25 , fait-elle signe, et de quelle manière ! 

24 juin 1905 = 21 du mois de sivan, or ce jour correspond à :

Le 21 Sivane

  Lire dans la paracha Béhaâlotékha : en ce jour les bnéi Yisrael partirent des "tombeaux de la convoitise"(qévarote hataava) vers 'Hatsérote.

Behaalotecha, Beha’alotekha, Beha’alothkha ou Behaaloskha selon la prononciation ashkénazehéb. pour "lorsque tu feras monter,” le 11e mot, et premier distinctif de la parasha) est la 36esection hebdomadaire du cycle annuel de lecture de la Torah et la troisième du Livre des Nombres.
Elle correspond à Nombres 8:1–12:16.
(בהעלותך —
L'essentiel dans cette forme de renvoi vers cette paracha étant la référence au Livre des Nombres, et spécifiquement vers un espace du Livre :
 Nombres - Chapitre 11
Alors Josué, fils de Noun, qui était l'assistant de Moïse depuis sa jeunesse, intervint en disant:
   ---Moïse, mon maître, empêche-les de faire cela!
  29 Moïse lui répondit:
   ---Serais-tu jaloux pour moi? Que l'Eternel, au contraire, accorde son Esprit à tous les membres de son peuple pour qu'ils deviennent tous des prophètes!

   30 Puis Moïse regagna le camp avec les responsables d'Israël.
    31 Un vent envoyé par l'Eternel entraîna des cailles par-dessus la mer et les fit s'abattre autour du camp, sur un rayon d'une journée de marche. Elles recouvraient le sol jusqu'à un mètre de hauteur.
    32 Le peuple fut debout toute cette journée et toute la nuit, et encore tout le lendemain, pour ramasser les cailles. Personne n'en prit moins d'une tonne[c]. Ils les étalèrent tout autour du camp.
    33 Ils avaient encore la viande à la bouche quand la colère de l'Eternel éclata contre le peuple, et il le frappa d'une grave épidémie.
    34 On appela cet endroit Qibroth-Hattaava (Tombeaux de la convoitise), car c'est là qu'on enterra beaucoup de gens, qui avaient cédé à la convoitise[d].
    35 De Qibroth-Hattaava le peuple se mit en marche pour Hatséroth, où il s'installa.

Si le lecteur suit bien, nous avons ici trois indications - Livre des Nombres - Josué fils de Noun - 
Nombres 11-34 - 11- 35 .
Alors que notre explication des N inversés ( voir le début ) et donc des deux lettres noun inversées 
renvoyaient au Livre des Nombres - chapitre 10 - Nombres 10-34 - 10 - 35 !
Très logiquement nous obtenons ici une différence de 1.

Les aficionados de l'Enigme n'auront pas manqué de relever l'épisode de la manne et des cailles dont nous entretient notre abbé Boudet dans la Vraie Langue Celtique, mais ceci sera développé plus tard. La présence de Myriam mériterait également de s'y attarder.


Second élément relevé dans le lien de Thierry Espalion, le fait que ce soit dans le tome 17 qu'ait été publiée le compte-rendu de cette excursion.
Le chiffre 17, bien évidemment renvoyant sur la date du 17 janvier ( 17 / 01 ) ...
De plus, le tome 17 ne paraît qu'en 1906.


En système de transposition, si nous prenons en considération ces trois indications - 17 - 1 - 1906
nous obtenons ...le 20 tevet, soit la même occurence que la date du 17 janvier 1781 tranposée.
Pour le lecteur non encore averti, nous précisons que le calendrier juif est mobile, et que sur d'autres années la date du 17 janvier transposée ne produira pas le résultat escompté, ainsi :
le 17 janvier 1905 donne le 11 shevat
le 17 janvier 1907 donne le 2 shevat
le 17 janvier 1908 donne le 14 shevat
le 17 janvier 1909 donne le 24 tevet etc...


Poursuivons donc notre examen de la paracha Behaalotekha :


La haftara est une portion des livres des Neviim ("Les Prophètes") qui est lue publiquement à la synagogue après la lecture de la Torah. Elle présente généralement un lien thématique avec la parasha qui l'a précédée.
La haftara pour la parashat Behaalotekha est Zacharie 2:14–4:7.
Zacharie reçoit une vision de la menorah (Zech. 4:2–3), qui est le premier grand sujet de la parasha Num. 8:1–4. L'ange de Dieu explique le message: « Ce n’est ni par la puissance ni par la force, mais c’est par mon esprit, dit l’Éternel des armées » (Zech. 4:6.) Le prophète explique que les lumières de la menorahZech. 4:10.)
De même que la parasha, la haftara discute de la purification des gens responsables du culte, les Lévites dans le cas de la parasha (Num. 8:6–7), le Cohen Gadol Josué dans la haftara (Zech. 3:3–5.) symbolisent les "yeux" de Dieu, surveillant la terre. 


Nous informons le lecteur que le signe 3 4 5 tel que décrit dans l'exposé de Thierry Espalion a trouvé, bien évidemment son explication par la suite ( tant pis pour moi je suis venu trop tard sur cet aspect ci ). :o) :


http://www.rlcpiedevigne.onlc.fr/27-Labbe-Boudet-et-la-KABBALE-le-nombre-345.html


Cette transition afin d'aborder un matériel différent, sous l'angle, également de la guématrie.
Je veux ici parler du cryptogramme de l'Aiguille creuse, aventure de notre héros Arsène Lupin, dont nous ne présentons plus le rapport étroit entre notre énigme et l'oeuvre de Maurice Leblanc.
Voir plus avant ce que nous en disions et son rapport avec le Livre caché.
Le mieux est de visualiser ce cryptogramme :

http://fr.wikisource.org/wiki/L%27Aiguille_creuse


Nous allons tenter de faire ici au plus simple, les méandres de la guématrie risquant de perdre le lecteur. Mais tout d'abord cet extrait du roman :


"Mais qu’importe !
Dût-il consacrer dix ans de sa vie à cette enquête, il la mènerait à bout. Lupin était là. Il le voyait. Il le devinait. Il l’attendait à ce détour de route, à la lisière de ce bois, au sortir de ce village. Et chaque fois déçu, il semblait qu’il trouvât en chaque déception une raison plus forte de s’obstiner encore.
Souvent, il se jetait sur le talus de la route et s’enfonçait éperdument dans l’examen du document tel qu’il en portait toujours sur lui la copie, c’est-à-dire avec la substitution des voyelles aux chiffres"

Rusé Maurice Leblanc ! La langue hébraïque ne comporte pas de voyelles mais ce sont bien des chiffres et des nombres qui vont en produire ! Le romancier procède ici par inversion de sens .


Le cryptogramme et ses nombres ( nous avons choisi les nombres en clair )


45 = valeur numérique de gueoula - sens : délivrance, libération
mais aussi valeur numérique de Adam
43 = valeur numérique de Gadol - sens : grand - exemple le cohen gadol...
19 = valeur numérique de Eve
44 = valeur numérique de yeled - sens : l'enfant 
13 = valeur numérique de Bev - sens = le chaos
53 = valeur numérique de eben - sens = la pierre

en hébreu, le mot pierre se dit "eben" Aleph (1 ) , Beth( 2 ) , Nun( 50 ). Il recèle une astuce syntaxique : pierre c'est aussi "fils du père" (Aleph, Beth pour père et Beth Nun pour fils"). 


Le lecteur aura bien compris l'unité qui sous-tend cette construction numérique, tant elle est évidente :
Adam Eve l'enfant - Nous évoquons ici l'histoire biblique de nos origines.


Gadol renvoyant sur le cohen gadol nous présente ici un aspect de sacralisation via la fonction  sacerdotale.


Le chaos et la pierre vont trouver une correspondance sur ce registre-ci, qui n'est pas sans rapport avec notre thèse du Livre caché, et d'autres éléments dont nous avons déjà fait état ( les occurences sur le déluge dont nous avions fait état trouveraient ici une de ses illustrations - une seconde étant  d'un autre ordre, plus subtil )


La pierre ( eben ) ne peut que nous renvoyer dans la sphère culturelle ou nous nous  plaçons  (hébraïque ) vers le terme de Matseboth ( pierres levées ) et les diverses correspondances que l'on pourra y trouver.


Nous semble signifiante la parenté entre ici ( Rennes les Bains ) les pierres levées du Cromleck de l'abbé Boudet et là ,Matseboth et Gilgal...


Mais, pour demeurer sur notre thématique d'un message en lien avec le Livre caché, sans doute avec ceci :


Flavius Josephe Antiquités Juives - Livre I - Chapitre II - 3 


" Adam, le premier-né de la terre, pour en revenir à lui, comme mon récit l'exige, après qu'Abel eut été immolé et que Caïn eut pris la fuite à cause de ce meurtre, souhaitait d'autres enfants ; il fut pris d'un vif désir de faire souche, alors qu'il avait franchi déjà 230 années de sa vie ; il vécut encore 700 ans avant de mourir. Il eut, avec beaucoup d'autres enfants, un fils Seth(os); il serait trop long de parler des autres ; je me contenterai de raconter l'histoire de Seth  et de sa progéniture. Celui-ci, après avoir été élevé, parvenu à l'âge où l'on peut discerner le bien, cultiva la vertu, y excella lui-même et resta un exemple pour ses descendants. Ceux-ci, tous gens de bien, habitèrent le même pays et y jouirent d’un bonheur exempt de querelles sans rencontrer jusqu'au terme de leur vie aucun fâcheux obstacle ; ils trouvèrent la science des astres et leur ordre dans le ciel. Dans la crainte que leurs inventions ne parvinssent pas aux hommes et ne se perdissent avant qu'on en eût pris connaissance, - Adam avait prédit une cataclysme universel occasionné, d'une part, par un feu violent et, de l'autre, par un déluge d'eau, - ils élevèrent deux stèles, l'une de briques et l'autre de pierres, et gravèrent sur toutes les deux les connaissances qu'ils avaient acquises ; au cas où la stèle de brique disparaîtrait dans le déluge, celle de pierre serait là pour enseigner aux hommes ce qu'ils y avaient consigné et témoignerait qu'ils avaient également construit une stèle de brique. Elle existe encore aujourd'hui dans le pays de Siria."

Et s'il était question, ici, de notre fameux Livre caché ? 


Reprenons notre cryptogramme contenant une si grande richesse en matière d'informations.
Visionnons les deux triangles qui encadrent le nombre 357 - De notre point de vue, ces deux triangles seraient une invitation à lire ce nombre dans les deux sens : 357 et 753.
Sur le nombre 357 - nous reviendrons plus tard - il y a là matière à plus ample réflexion - à priori nous aurions pour cette valeur numérique masiah ( le messie ) ainsi que nahas ( le serpent ).


Par contre sur le nombre 753 et puisque nous sommes dans l'univers des calendriers, nous opterons pour ce qui coule de source :

  Ab Urbe Condita :


  Les premiers historiens du christianisme comme Clément d'Alexandrie, ont calculé que la naissance de Jésus-Christ avait dû se produire en l'an 752 de la fondation de Rome . Au VIème siècle, le moine Denys le Petit introduisit la notion d'ère chrétienne, proposant de compter les années à partir de celle de la naissance de Jésus. Cependant il préféra établir l'année du début de l'ère chrétienne (Anno Domini) non pas en 752 mais en 753. En effet, il souhaitait que la date de l'Annonciation (proposée neuf mois plus tôt, le 25 mars) soit celle d'une coïncidence astronomique séduisante, trouvée le 25 mars 753 entre l'équinoxe de printemps et la nouvelle Lune. Par ailleurs, comme le zéro n'était pas encore utilisé, un nouveau décalage d'un an fut introduit peu de temps après. Car l'an 753 de Rome fut appelé l'an 1 avant Jésus-Christ, mais l'an 754 devint l'an 1 après Jésus-Christ, et non pas l'an zéro !


   Sur cette date du 25 mars il ne sera pas inutile de relever :
1581 : La fête du Nouvel an est célébrée pour la dernière fois en ce jour; désormais, avec l'entrée en vigueur du calendrier grégorien, l'année débutera le premier janvier.

1752 : Adoption du calendrier grégorien par la Grande Bretagne.

 La concordance est  belle.

Sur la même ligne en opposé, l'association de lettres : D D F - pourrait littéralement écrit signifier si l'on prend en compte une transposition à effectuer en caractères hébreux - D pour Daleth ( la porte ) donc 2 portes ( ce qui semble être indiqué par le chiffre 2 ligne du dessus fin de ligne 2 sans séparation précédant le premier D ) et F considéré comme étant le vav hébreu lui-même dérivé de l'alphabet phénicien.
Vav ayant pour sens  '' le crochet '' crocheter la ou les portes.
Ce qui, pour un gentleman cambrioleur, s'impose...

Note 1 - L'étude de ce cryptogramme n'est pas close - Travail pour le moins fastidieux.

Note 2 - Cherche le document Ab urbe condita du prieuré de Sion ( le temple rond de Rennes - Le - Château ) que j'ai pu étudié à un moment mais que je ne trouve plus sur internet.

A suivre...
En ce 22 juillet 2011- fête de Marie-Madeleine dont il n'est aucunement question ici...
l'auteur alain C . . . . . h








   





























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mardi 5 juillet 2011

La lettre volée suite 2

RETOUR A L'EGLISE SAINT SULPICE

Nous avons laissé le lecteur sur le lien subtil unissant le contenu du petit parchemin de Rennes-le-Château et la paracha Emor.
Aboutissant dans nos conclusions au chiffre douze - représentant, de notre point de vue, un indice vers douze caches.
Il sera opportun de nous livrer à un examen attentif du message décrypté dudit petit parchemin pour, de nouveau, et dans la continuité d'une mécanique bien huilée à laquelle nous devrions désormais être accoutumés, en soutirer quelque information.
" A Dagobert II roi et à Sion est ce trésor et il est la( ou selon les versions là ) mort " 
De l'avis quasi unanime des historiens, la date de décès de Dagobert II est fixée au 23 décembre 679.
Poursuivant notre logique selon laquelle des éléments étrangers à l'Enigme sont venus se greffer pour les besoins de la cause, parce que les dates y étant attachées faisaient signe, et que la manoeuvre d'intoxication trouvait là sa justification, nous avons transposé, toujours selon notre méthode.


La date transposée à partir du calendrier julien ( date antérieure à la réforme du calendrier de 1582), produit le 13 du mois de Teveth, qui est, pour ce mois, la fin de la période pour la bénédiction de la Lune.
Cette ritualisation du temps, dans la sphère cultuelle et culturelle du Judaïsme, trouve sa légitimité dans l'aspect luni-solaire du calendrier, et c'est bien dans cette intentionnalité ci, le lien avec le calendrier juif, qu'il convient d'appréhender le message du petit parchemin.
Le lecteur intéressé pourra, s'il le souhaite, enrichir sa connaissance par ses propres requêtes.


Demeurons sur ce signe de la Lune et interrogeons-nous sur son sens. Si le message en clair du petit parchemin renvoie sur l'image de notre satellite, et sa fonction toute symbolique, sans doute sera-t-il possible d'en trouver une correspondance en un lieu attaché à notre énigme.
C'est en l'Eglise Saint-Sulpice de Paris que nous le découvrons, plus précisément sur le socle du gnomon, à la base de l'obélisque.
Socle qui vécut lui-même sa propre histoire.
En effet, sous la Révolution française, une partie de l'inscription en latin ( faisant référence à l'ancien régime ) fut-elle martelée et effacée.


Ainsi qu'un motif d'un croissant de Lune avoisinant un hexagone...


Pour étrange que cela soit, s'il était dans l'ordre naturel des évènements que l'on s'en prit aux symboles et références de la monarchie, nous ne pouvons que nous interroger sur le motif qui conduisit à l'effacement de cette figure.
A moins que, dissimulée dans la foule révolutionnaire, quelque ordre initiatique n'ait décidé de s'approprier un indice, sinon fondateur, du moins assez intriguant pour que l'on s'y attarde.
Fort heureusement les historiens de l'église ont sur nous restituer, ainsi qu'on peut l'observer sur un panneau explicatif près du gnomon, l'ensemble de l'inscription.
Pour autant, aurions-nous fait le tour de la question ? L'Histoire invisible s'inviterait-elle une nouvelle fois ?
Plutôt trois fois qu'une !


Dans une histoire, celle du secret de Rennes-le-Château, ou les méridiens jouent un rôle si particulier, nous ne pouvions renoncer à  comprendre si message il y avait, quelle pouvait en être sa teneur. 
Bien nous en prit.


Le 21 juin 1667, en ce jour du solstice d'été, le Méridien de Paris est défini par les mathématiciens de l'Académie.


http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9ridien_de_Paris

En système de transposition, du calendrier grégorien vers le calendrier hébreu, nous obtenons la date du 29 sivan.
L'inscription sur le gnomon de Saint-Sulpice , demeurée celle-ci intacte, et mentionnant équinoxes et soltices plus l'année de sa fondation en chiffres romains : soit 1743, serait une invitation à travailler les dates en correspondances.

Le 21 juin 1743 en système de transposition produit identiquement le 29 sivan.

Le lecteur subjugué ne pourra ici que souscrire au savant calcul de nos mathématiciens, associant dans l'invisible une date du calendrier identique, cei pour deux opérations fondatrices et dont l'analogie ne peut qu'être souligné : la maîtrise de l'espace et du temps ( une des constantes du Pouvoir ) ici le Méridien de Paris, là le Méridien de Saint-Sulpice, dit aussi du Midi, mais également, dans sa perception ésotérique, rattachée à Sainte Roseline, que certains ont extrapolé, semble-t-il avec quelque raison, nous le reconnaissons désormais, en ligne rose ou rousse, le roux sillon qui ne serait autre que le Méridien caché en lien avec l'énigme.
Sainte Roseline fêtée ainsi que Saint Sulpice, le même jour, soit à la date mythique dans notre histoire du 17 janvier.

Date que nous allons trouver, outre divers éléments dont nous avons déjà souligné l'importance, dans le décryptage du grand parchemin " à midi pommes bleues " faisant référence au phénomène lumineux se produisant chaque année le 17 janvier en l'église de Rennes-le-Château.
" à midi pommes bleues " dans le grand parchemin étant précédé de la mention " pax 681 "qui a beaucoup fait gloser.


Or, pour extraordinaire que cela puisse paraître, mais O combien logique, une logique mathématique et céleste, que maître Descartes n'aurait pas renié, si nous suivons l'effet miroir auquel nous invite ce subtil jeu de correspondance entre d'une part , le phénomène lumineux du 17 janvier à Rennes-le-Château, et le phénomène lumineux du solstice d'été à Saint-Sulpice, l'un et l'autre relié à la notion de Méridien.


  Ainsi ,le 21 juin 681 ,en système de transposition, de nouveau à partir du calendrier julien ( date antérieure à 1582), nous produit identiquement, et pour la 3ème fois, le 29 sivan ! 
  Mais qu'est cette date ?
  Le 29 du mois de sivan, Moïse envoie douze explorateurs afin de mieux connaître le pays de Cannaan ...



Au temps de Moïse, D.ieu ne lui avait pas commandé d’envoyer des explorateurs, car, la guerre de conquête devant s’opérer miraculeusement, il n’y avait nul besoin de rassembler des renseignements à des fins militaires. Cependant, devant la demande des Enfants d’Israël de dépêcher une telle mission, Moïse y consentit dans l’espoir que le fait de ne pas s’y opposer les rassurerait au point qu’ils renonceraient à cette exigence. Voyant qu’ils n’y renonçaient pas, Moïse demanda à D.ieu la permission d’envoyer des explorateurs aux seules fins de constater la qualité du pays. En vérité, cela n’était pas non plus nécessaire en soi, car D.ieu leur avait déjà annoncé que c’était un bon pays. Mais Moïse, en « berger fidèle » qu’il était, vit qu’ils avaient néanmoins besoin que quelqu’un voit de ses yeux le pays et les réjouisse par la description de ses qualités.
C’est pour cela que Moïse envoya des « hommes » pour « parcourir » (et non « espionner »)  le pays, qui étaient précisément les douze chefs de tribus, à même de savoir ce qui, en fonction de leurs sensibilités propres, intéressait leurs tribus respectives. L’idée était que lorsque les membres de chaque tribu entendraient de la bouche de leur propre Nassi qu’il s’agissait d’un bon pays, ils seraient transportés de joie à l’idée d’en prendre possession.




La raison profonde pour laquelle il fallut douze explorateurs est que la terre d’Israël est divisée en douze territoires correspondant aux douze tribus. Or, comme chaque tribu avait une approche spécifique du service de D.ieu, il était nécessaire que le Nassi de chaque tribu vienne sanctifier et raffiner le territoire qui lui revenait, car lui seul pouvait effectuer ce travail spirituel.
Et la raison profonde du fait que tous les explorateurs parcoururent l’ensemble du pays (et pas seulement la partie qui leur échoyait en propre) est que l’ensemble des Enfants d’Israël ne sont en réalité qu’« une seule entité », et que leurs vies sont interdépendantes et garantes les unes des autres14, chacun étant capable (et donc responsable) d’aimer l’autre « comme lui-même ».


Source site internet chabad.org

Ainsi, nous renouons, comme annoncé lors de notre précédente communication, mais sans avoir découvert à ce moment-là, que le lecteur veuille bien me croire, ce nouveau prolongement, avec la symbolique du chiffre 12, associée de manière très claire avec les 12 tribus d'Israël !
D'autant plus, si d'aventure, nous nous risquons à exploiter la date de l'équinoxe d'automne pour la même année 1743, le 23 septembre ,ce qui nous produit, en système de transposition : le 5 tichri - date que nous avons déjà mentionné plus avant - et célébrant la naissance d'un des 12 fils de Jacob:  Naphtali !

Et enfin, pour parfaire ce circuit ...

Le 21 juin 1891, Bérenger Saunière, curé de Rennes-le-Château, conduit une procession dans les rues du village; procession, nous dit-on,  composée de 24 enfants , or, en système de transposition, ce jour produit  le 15 sivan qui est :


 Jour de la naissance et du décès de Yéhouha, fils de Yaâqov avinou et Léa.
 ( Juda fis de Jacob et de Léa )...

A suivre ...

En ce 05 juillet 2011 soit le 3 tamouz 5771, l'auteur alain C . . . . . h


Nous avions laissé notre abbé Saunière, le 21 juin 1891, conduisant une procession de 24 enfants, par là-même souligné la date anniversaire de la naissance de Juda fils de Jacob et de Lea.
Avant de poursuivre cette thématique, une légère mise au point s'impose vis à vis de la date mythique du 17 janvier.
Nous avons pu lire, sur le site de Thierry Garnier, chercheur émérite, que d'associer au 17 janvier la fête de Saint Sulpice et de Sainte Roseline serait faux, au 19ème siècle, Saint Sulpice étant fêté le 19 dans le calendrier.

Cette remarque en soi n'est pas totalement exacte, ni fausse. Les choses sont un peu plus complexes.
Nous nous permettrons d'en préciser les contours.

1 ) S'il est vrai que dans le calendrier au 19 ème siècle Saint Sulpice est fêté le 19 janvier, il n'en demeure pas moins que la date de son décès est bien le 17 janvier, ainsi que celui de Sainte Roseline. Par ailleurs, puisque nous nous référons à une société initiatique agissant dans l'ombre des évènements, nous nous accordons le droit d'envisager que celle-ci, posant patiemment ses jalons, ait associé, quant à elle, ces deux saints à la date du 17 janvier. Ceci à destination des initiés. 
Au demeurant, vis à vis de notre Enigme, je souhaiterais élargir le débat autour d'une certaine propension qu'ont un certain nombre de chercheurs, à vouloir recentrer leurs recherches , de mon point de vue, en accordant à la" réalité " historique une importance grandissante. Certes, la rigueur impose de coller aux faits, de démystifier si besoin est, mais de laisser place également à la symbolique, à l'écriture cachée de notre histoire, pourrait-on dire, sans quoi nous sommes en droit de nous interroger sur notre présence vis à vis de cette énigme. Si nous évoquons un secret, sans doute serait-il opportun de traiter dans ce contexte, le matériel y afférant, aussi sous cet angle là.


2 ) J'ai dit plus complexe. Plutôt qu'une vérification dans un calendrier, pour ce qui ressort de la fête de tel ou tel saint, nous faudrait-il valider une date en fonction des martyrologes.
Dans " La vie des saints et des bienheureux " des Révérends Père Boudot et Chaussin ( édition 1937 ) voici ce qui est dit :

Saint Sulpice , fêté le 17 janvier...Le nom de Saint-Sulpice figure dans les martyrologes historiques du Moyen-âge soit au 15, soit au 16 janvier.


Sainte Roseline - C'est à cette date du 17 janvier que sa fête est marquée dans les nouveaux propres de Fréjus et du Gap.
Ref : De Villeneuve Flayose - Histoire de Sainte Roseline de Villeneuve - Paris 1866.


Nous verrons plus loin pourquoi la date du 16 janvier nous intéresse au plus haut point...

Par ailleurs, puisqu'à la date du 17 janvier est associée le phénomène dit des " pommes bleues " nous ajouterons que ce phénomène lumineux se produit de même manière le 16 ou le 18 du même mois. Et qu'il ressort bien d'une intentionnalité symbolique de le marquer du signe du 17. 


Nous reprenons notre étude, tout d'abord en soulignant l'importance extrême de Juda.


Juda (en hébreu : יְהוּדָה) est le quatrième fils de Jacob et Léa.
Léa nomme son quatrième fils Juda par reconnaissance, afin de remercier Dieu (de lui avoir accordé d'être autant féconde) : à rapprocher du verbe hébreu להודות, lehodot, signifiant remercier, reconnaître.
Parmi les douze fils de Jacob, il se distingue à de nombreuses reprises dans le texte :
  • c'est lui qui convainc ses frères de vendre Joseph à une caravane d'Ismaélites plutôt que de le laisser mourir (Genèse 37:26-27) ;
  • c'est lui qui se porte garant de Benjamin auprès de leur père pour pouvoir l'emmener en Égypte à la demande du vice-roi (qui est en fait Joseph) ;
  • c'est lui qui se propose au vice-roi d'Égypte (Joseph) pour permettre à Benjamin de rentrer auprès de Jacob lorsqu'ils sont accusés de vol.
Lors des dernières bénédictions de Jacob à ses fils, Juda est présenté comme un chef par rapport à ses frères ainés Ruben (qui a trahi son père avec Bilha), et Siméon et Lévi réputés violents.
Le chapitre 38 de la Genèse est consacré au personnage de Juda. On y apprend qu'il s'est marié à une Cananéenne dont il a eu trois fils : Er, Onan et Chêla. Juda marie Er à une femme du nom de Thamar. Er meurt et, en vertu de la loi du lévirat, Thamar est donnée pour femme à Onan. Onan, comme son frère Er avant lui, "déplaît à Dieu" et meurt. Juda refuse alors d'appliquer le lévirat au dernier de ses fils. Thamar cherche un moyen d'avoir une postérité.
Juda, parti tondre ses brebis, prend Thamar (qui s'est déguisée) pour une prostituée et couche avec elle. Elle en tombe enceinte. Deux garçons jumeaux naissent : Perets et Zérah. Le roi David et toute la lignée des rois de Juda descendent de Perets (et non pas de Zérah, cf Ruth 4 v18 à 22).

Le personnage de Juda, ancêtre du Christ, figure sur l'un des vitraux du triforium méridional de la cathédrale de Strasbourg. D'après les recherches et publications de Louis Tschaen, au triforium sont représentés soixante-dix-huit personnages, dont soixante-quinze ancêtres, théoriquement alignés dans l'ordre donné dans l'évangile de Luc défini par la Vulgate Clémentine.
Dans la bénédiction de Jacob mourant à ses fils, Juda est associé au lion. L'expression "Lion de Juda" faisait partie des titres des négus d'Éthiopie.

Maintenant, lecteur, accorde toute ton attention à ce qui suit.

Donc, notre abbé Saunière conduit une procession de 24 enfants, tout en soulignant la naissance de Juda. Douze tribus - 24 enfants - deux enfants jumeaux dont un , Perets , est à l'origine des Rois de Juda. 
Message ? 


Le message est contenu dans l'énoncé - 2 Rois 24 -
Qui est une référence biblique :


2 Rois, chapitre 24

2R 24:1- De son temps, Nabuchodonosor, roi de Babylone, fit campagne, et Joiaqim lui fut soumis pendant trois ans puis se révolta de nouveau contre lui.
2R 24:2- Celui-ci envoya sur lui les bandes des Chaldéens, celles des Araméens, celles des Moabites, celles des Ammonites, il les envoya sur Juda pour le détruire, conformément à la parole que Yahvé avait prononcée par le ministère de ses serviteurs les prophètes..








Le lecteur voudra bien ici retenir le prénom de Joiachim ( qui fut transformé  tardivement en Joachim selon l'acception chrétienne , ainsi que nous l'observerons plus loin ).


Est-ce là une extravagance de ma part ? 


Nous avions déjà soumis à la sagacité du lecteur deux dates transposées et liées au dispositif de l'église Saint-Sulpice : le gnomon - solstices et équinoxes -
Voici ce que produit une troisième :


21 mars 1743 ( équinoxe ) en système de transposition produit le 25 du mois de Adar :

Louis Segond Bible (1910)
La trente-septième année de la captivité de Jojakin, roi de Juda, le vingt-cinquième jour du douzième mois, Evil-Merodac, roi de Babylone, dans la première année de son règne, releva la tête de Jojakin, roi de Juda, et le fit sortir de prison.
Darby Bible (1859 / 1880)
Et il arriva, en la trente-septième année de la transportation de Jehoïakin, roi de Juda, au douzième mois, le vingt-cinquième jour du mois, qu'Évil-Merodac, roi de Babylone, l'année où il commença de régner, éleva la tête de Jehoïakin, roi de Juda, et le fit sortir de prison.

Martin Bible (1744)
Or il arriva l'an trente-septième de la captivité de Jéhojachin, Roi de Juda, au vingt-cinquième jour du douzième mois, qu'Evilmérodac, Roi de Babylone, l'année qu'il commença à régner, tira de prison Jéhojachin Roi de Juda, et le mit en liberté.

Splendide, n'est-il pas ? 
Et enfin, nous achèverons ce circuit-là, qui pourrait provoquer chez notre lecteur un court circuit,
avec la quatrième date du solstice d'hiver: le  21 décembre 1743 produit le 5 du mois de teveth, qui nous dirige de nouveau vers une référence biblique, dans le contexte historique babylonien...

Ezechiel 33-21 :

21 La douzième année de notre exil, le cinquième jour du dixième mois, un rescapé de Jérusalem est venu vers moi et m'a dit: «La ville a été prise!»

Nous ne pouvons que nous incliner devant l'unicité du thème. 
Mais revenons à notre Joachim, qui est la raison de cette construction-ci, et dont la piste va nous mener aux frontières de l'étrange.


Joachim :

Les Évangiles canoniques du Nouveau Testament ne nomment pas les parents de Marie, mais l'histoire de Joachim et d'Anne apparaît dans l'Évangile apocryphe de Jacques. Joachim est décrit comme un homme riche et pieux qui donne régulièrement aux pauvres et au temple. Cependant, sa femme étant stérile, le Grand Prêtredésert où il jeûne et fait pénitence pendant quarante jours. Des anges apparaissent à Joachim et Anne pour leur promettre un enfant. Joachim revient à Jérusalem, retrouve Anne qu'il « serre dans ses bras ». rejette Joachim et son sacrifice, l'infertilité de son épouse ayant été interprétée comme un signe de mécontentement divin.
Les récits concernant Joachim et Anne furent inclus dans la Légende dorée. Ils sont très représentés dans l'art chrétien même si le Concile de Trente a limité la représentation des Évangiles apocryphes.
En Occident, la fête de saint Joachim qui était auparavant célébrée le 16 août est généralement observée avec sainte Anne le 26 juillet. En Orient, elle est célébrée le 9 septembre.
Les portraits traditionnels de Joachim (vestibule, statuaire, etc.) le montrent tenant une pelle.


La grand-mère de Jésus s’appelait-elle Anne ? On pourrait se le demander puisque les Évangiles n'en parlent pas. Mais évidemment que Marie avait une mère, et la tradition nous dit que les père et mère de Marie s'appelaient Anne et Joachim. Ce qui est sûr, c’est que nous n’avons aucun autre nom pour nommer la mère de Marie, et donc elle est Anne pour nous.


C’est par la liturgie, d’après ce qu’on sait, qu’Anne est entrée dans la vie des chrétiens  Dans l’Eglise ancienne la liturgie précédait ou confirmait la dévotion populaire.
On sait qu'une église lui était dédiée à Constantinople au milieu du VIe siècle. Les Orientaux lui consacrèrent trois fêtes liturgiques dans l'année : Anne et Joachim le 9 septembre, la Conception Imaculée de Marie et Ste Anne le 9 décembre, et la dormition de Sainte Anne le 25 juillet.
A Rome, sous le pontificat de saint Léon III (795-8l6), on représentait l'histoire d'Anne et de Joachim sur les ornements liturgiques. On sait qu'en 1381, le pape Urbain VI autorisait pour toute l'Angleterre la fête de sainte Anne. En 1584, Grégoire XIII ordonne la célébration de cette fête le 26 juillet pour le monde entier. Et en 1622, Grégoire XV en faisait une fête chômée. Il avait été lui-même guéri d'une grave maladie grâce à l'intercession de sainte Anne. On sait qu'il existe au Vatican, à la porte sainte Anne précisément, une église dédiée à sainte Anne.

Nous observons de nouveau la subtilité du jeu de correspondance, entre le personnage hébreu que nous venons d'évoquer, Roi de Juda, et le Joachim chrétien.

Une date, ici, est à retenir, car c'est elle , fil d'Ariane enchanté,  qui va nous conduire: celle du 9 septembre.


Ici, nous changeons de registre pour investiguer l'Histoire.
Le 9 septembre est ainsi la fête d'un autre saint - Saint Omer, évêque d'une ville du Nord Pas de Calais : Therouanne.
Audomar (Audomarus), connu plus tard sous le nom de saint Omer, vécut de 600 à 670. Il fut nommé évêque de Thérouanne par le roi Dagobert Ier et fonda l'abbaye Saint-Bertin à Saint-Omer (Pas-de-Calais). C'est lui qui consacra prêtre Saint Wandrille. C'est un saint chrétien fêté le 9 septembre.

C'est au destin de la ville de Therouanne que nous allons nous intéresser:

  contenu de la page http://therouannearcheo.pagesperso-orange.fr


  Un document exceptionnel sur l’histoire de la ville de Thérouanne vient d’être acquis par l’Office Culturel et Touristique, avec l’aide du Conseil Général du Pas-de-Calais, lors d’une vente aux enchères qui a eu lieu à Saint-Omer.
            Cette acquisition vient enrichir le Musée archéologique Communal : elle constituera un document essentiel de la salle présentant les vestiges de la cathédrale et de la Cité médiévale.
            Il s’agit d’une lettre manuscrite sur parchemin adressée le 11 juillet 1553 par l’Empereur Charles Quint aux principales villes du Comté d’Artois ordonnant de faire « Sonner le tambourin par tout notre pays et Comté d’Artois et lieux les plus peuplés et là où bon vous semblera d’enrôler et lever tous les manœuvres et ouvriers qui travailleront et assisteront au démolissement de Thérouanne. »
 
            La Cité de Thérouanne, après un siège qui avait débuté le 11 avril 1553,  était en effet tombée aux mains des armées impériales de Charles Quint le 20 juin 1553. Des chroniqueurs de l’époque relatent que les armées de Charles Quint regroupaient 60 000 soldats, en majorité Flamands, Allemands et Espagnols alors que la garnison de Thérouanne ne disposait que d’environ 3000 soldats commandés par d’ Essé de Montalembert puis par François de Montmorency.
 
            Dès qu’une vaste brèche fut ouverte par l’artillerie et les mines au Nord de la ville, celle-ci fut rapidement investie dès le 20 juin par les soldats impériaux. Beaucoup de défenseurs de la ville et d’habitants laissèrent leur vie dans cet assaut conduit par les soldats Flamands et Allemands. Ce sont les troupes espagnoles qui aux cris de « bonne guerre, bonne guerre ! » arrêtèrent les massacres. Le mal était fait : la ville n’était que ruines fumantes. Charles Quint, de Bruxelles, ordonna, un peu tard, de laisser la vie sauve aux soldats français de la garnison (contre rançon pour les nobles) ainsi qu’aux habitants. Ceux-ci durent quitter la ville en laissant tous leurs biens. Les dames et demoiselles étaient seules autorisées à prendre quelques vêtements et « ajustements ».
            L’Empereur manifestera à de nombreuses reprises son impatience à voir achevée la destruction totale de la cité. Il envoya plusieurs lettres demandant à la Flandre et aux Etats d’Artois d’en terminer rapidement. Thérouanne, source de discorde depuis près de 100 ans car position avancée française en territoire des Pays-Bas, devait disparaître, être rasée « jusque dans ses fondements » et ne plus jamais être reconstruite. Symboliquement, l’on raconte que l’on répandit du sel sur tout son territoire.
 
            Le document présenté au musée est daté du 11 juillet 1553, soit environ 20 jours après la prise de la ville. C’est un « mandement » très pressant pour réquisitionner des ouvriers en grand nombre dans toute la région afin de poursuivre la démolition déjà engagée.
            Le 19 juillet Charles Quint fait adresser une nouvelle lettre, plus contraignante encore, autorisant les gouverneurs, baillis, prévôts et majeurs de lever en masse d’autres ouvriers pour parachever la démolition, sous peine de représailles.
            Sous cette pression, les travaux avancèrent rapidement. L’Empereur avait fixé un délai de six semaines pour qu’il ne reste « pierre sur pierre ». Le terme ne fut pas atteint car les Etats des Flandres et d’Artois qui avaient dégagé des crédits pour rémunérer les ouvriers n’eurent pas besoin d’en voter d’autres. Les pionniers (peut-être 5000 dont la moitié d’Artois) ainsi réquisitionnés assurèrent méthodiquement la destruction de l’ensemble de la Cité : maisons, couvents, cathédrales et églises, remparts et fortifications. Il ne resta bientôt plus que les fondations.      
            Le chronogramme DeLeTi MoRinI gravé dans une pierre rappela la date fatidique de 1553.
            Tous les édifices civils et religieux furent rasés. Beaucoup d’objets religieux précieux avaient déjà été pillés ou brûlés. De nombreux documents furent dispersés (livres anciens, archives) dans toute l’Europe. L’Office Culturel a engagé depuis près de 30 ans des recherches qui se sont montrées fructueuses : Plusieurs bibliothèques et musées de France ou d’Europe conservent en effet précieusement des souvenirs de Thérouanne (musées de Saint-Omer, Boulogne-Sur-Mer et Lille, bibliothèques de
Saint-Omer, Boulogne, Archives Départementales du Pas-de-Calais, bibliothèque nationale et bibliothèque du Vatican, notamment).
            Parmi les objets sauvés de la destruction figure en particulier le groupe sculptural du « Grand Dieu de Thérouanne ». En effet, le 10 juillet 1553 alors que la destruction de la cathédrale était commencée, les chanoines de Saint-Omer demandèrent à Charles Quint de leur donner ces sculptures du XIII ème siècle représentant le christ assis ayant à ses côtés la vierge et Saint-Jean. Celui-ci accepta et le transport fut effectué rapidement.
            Il s’avéra impossible de replacer cet ensemble là où on l’avait envisagé. Pendant plus de 4 siècles le Grand Dieu restera au sol. Ce n’est qu’il y a une trentaine d’années que ces sculptures furent placées dans le transept Nord de la cathédrale, à la gauche de l’horloge astronomique.
            De nombreux pavements gravés sont entreposés au Musée Sandelin ou à la cathédrale de Saint-Omer.
            L’ancien jubé de Thérouanne est actuellement dans l’église de Lynde, près d’Hazebrouck.
            Beaucoup de documents d’archives ont disparu dans la tourmente : on a pourtant retrouvé la trace de livres religieux, appelés livres d’heures à l’usage du diocèse de Thérouanne. Les recherches continuent...
 



Il n'aura pas échappé au lecteur que Therouanne fut investie par les troupes de Charles Quint un 20 juin, qui est une date possible, mais peu fréquente, pour le solstice d'été duquel nous sommes partis...
Dans ce jeu de miroir pluriel ou nous sommes, il serait tentant d'approfondir encore, pour le fun pourrait-on dire, la date de décès de Charles Quint, transposée, à partir du Julien ( antérieure à 1582 ) soit le 21 septembre 1558 va nous produire le 9 du mois de tichri qui est :


Le 9 Tichri
Hiloula de Ribbi Elâzar ben (fils de ) Ribbi Chimeône bar Yo'haï à Mérone. 

Simon Bar Yohaï n'étant autre que l'auteur du Zohar, et  dont la date de décès est fixée, quant à elle, le 18 du mois d'iyyar, soit le jour de la fête de Lag ba'Omer, que nous avions déjà rencontrés plus haut ...Il sera intéressant ici de noter le jeu entre Lag Ba'Omer et Saint Omer qui est mentionné le 9 septembre.
Et pour aller presqu'au fond des choses, souligner l'accord entre le 21 septembre 1558 ( décès de Charles Quint ) et la note de Bérenger Saunière du 21 septembre 1891 !

Presqu'au fond, disais-je, car... 

Nous avons mentionné au tout début de cet exposé du jour la date du 16 janvier.
Or, le 16 janvier est la fête de Saint Trivier


Il vécut tout d'abord ermite à l'abbaye de Thérouanne, en Picardie, puis il se retira dans la Dombes en Bresse. Il est honoré à Lyon et au diocèse de Belley. Saint-Trivier-de-Courtes-01560, Saint-Trivier-sur-Moignans-01990. 
Et donc, très logiquement, si ce saint est associé à cette ville de Therouanne, à la date du 16 janvier, sans doute est-il probable de lier à cette date quelque élément d'information d'importance.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_de_Montfaucon

Le 21 décembre, date de son décès, étant une date fréquente pour marquer le solstice d'hiver...

Et voici un illustre personnage, qui n' a , semble-t-il, pas totalement  échappé à la vigilance des chercheurs, et qui, sans doute aucun, est un de ceux qui fit partie intégrante de la société discrète ou secrète ayant rapport avec l'Enigme.

Aux historiens de s'en emparer.


Sur Therouanne, le lecteur sera avisé d'aller quérir les informations sur les recherches archéologiques en cours, notamment sur le site de l'ancienne cathédrale, qui, semble-t-il, n'a pas encore livré tout ce qu'il peut receler...
Un petit détour sur l'horloge astronomique de Saint Omer, comptant également les heures babyloniennes , s'impose...
Et puisque cet exposé était placée sous le signe du Méridien
A souligner la longitude de Therouanne :
  2° 15′ 22″ Est /
Et la longitude de Rennes-le-Château : 
  2°15′48″ Est 

 
Bien évidemment, je vous ai mené sur ce site de Therouanne, car dans mon esprit, il est un des douze lieux dont j'ai précédemment fait état.
Je rajouterais que, en 1965, un trésor monétaire du XV ème siècle fut trouvé, lors de fouilles archéologiques en ce lieu...

http://www.numisbel.be/1970_12.pdf


Le 07 juillet 2011, 5 tamouz , l'auteur alain C . . . . . h


Nous sommes parvenus, au bout du chemin logique que nous avons emprunté, à la cité détruite de Therouanne, ainsi qu'un trésor monétaire découvert il y a quelques décennies.


Voici, nous l'espérons chez le lecteur honnête, qui devrait donner du corps, et au mécanisme menant à des sites géographiques singuliers, et à l'existence de douze caches...
Pour ce qui concerne Therouanne, il serait opportun, puisque cette question est partie intégrante de notre thèse, de savoir si Pierre Plantard aurait eu connaissance de l'existence de ce site, et si des signes en ce sens émailleraient sa communication.


Pour cela , nous allons reprendre la lecture de notre lettre ou circulaire interne du Prieuré de Sion du 4 avril 1989.
Bien évidemment, la découverte du trésor de Therouanne datant de 1965, l'on pourrait penser qu'il en ait eu quelque écho, et qu'il se soit ingénié à, une fois de plus, égarer le chercheur sur une voie trompeuse.
Nous opposerons à cet argument sensé que  nous exposons ici ce qui ressort d'une communication secrète, utilisant ses propres codes, et destinée aux quelques initiés du premier cercle.
Par ailleurs, ainsi que nous l'écrivions plus haut, notre sentiment est et demeure que le site archéologique de Therouanne n'a pas encore livré tous ses secrets, et que , sans doute, d'ici quelques mois ou quelques années, quelque chose de considérable sera découvert lors des fouilles.

Le lecteur curieux pourra facilement, par ses propres requêtes, comprendre l'allusion...


Nous partons donc du postulat que Pierre Plantard  dissimule son information de nouveau par le jeu des calendriers.
Chacun pourra remarquer dans sa lettre du 4 avril 1989, l'insistance sur l'année 1870 associée aux dates concernant Victor Hugo, et la mention d'archives ( dites du Prieuré de Sion ).
Par le jeu de transposition auquel nous sommes fidèles, cette association va produite l'année 5630 du calendrier hébreu. 
Nous avions déjà exposé une des modalités produisant du sens , à savoir année hébraïque égale cote de manuscrit, et voici la première entrée que nous présentons .
Nous allons en observer toute l'efficience.


http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1894_num_55_1_447773

Nous prions le lecteur de se rendre page 102 du présent catalogue, à la cote 5630.
Pour celui qui n'en aurait ni le temps ni l'envie, nous en produisons  le contenu :

5630 : Catalogue des Manuscrits de M. le Comte de Bethune - Tome 1 - Provient de la bibliothèque de Le Pelletier ( Rosanbo ) - En tête une table de la main de Boivin - 270 feuillets.

Dans cette description succinte deux informations vont se détacher que nous allons exploiter comme il se doit.

L'une spécifiant l'origine : la bibliothèque de Le Pelletier ( Rosanbo )
La famille Le Pelletier de Rosanbo naît du mariage de Geneviève de Coskaër de Rosanbo avec Louis Le Peletier en 1688.
Geneviève est la dernière héritère de la terre de Rosanbo, l'un des plus vastes domaines de Bretagne ; Louis est le fils de Claude Le Peletier, ancien prévôt des Marchands de Paris, successeur de Colbert au contrôle général des finances, ministre d'Etat de Louis XIV.
C'est l'union d'une noblesse bretonne de vieille souche et de l'aristocratie des parlementaires parisiens. Louis XIV autorise Louis à relever le nom de Rosanbo et à porter le titre de marquis.
Il deviendra premier président du Parlement de Paris.
Son petit fils Louis Le Peletier de Rosanbo épouse Marie Claire de Mesgrigny d'Aunay, petite fille du Maréchal de Vauban.
Leur fils, également prénommé Louis unit son destin à Antoinette de Lamoignon de Malesherbes, fille du ministre de Louis XVI puis défenseur de celui-ci lors de son procès révolutionnaire.
Le ménage Rosanbo sera guillotiné en 1794 dans la même charette que Malesherbes ainsi que leur fille Aline et son mari Jean-Batiste de Chateaubriand, frère ainé de l'écrivain.
Leur deuxième fille Louise, épousera Hervé de Tocqueville, parents du grand historien.
Leur fils Louis, rescapé de la guillotine du fait de son jeune âge, ne reviendra jamais au château de Rosanbo.
Ses descendants reprendront le flambeau.
Aujourd'hui Alain, Marquis de Rosanbo, perpétue la tradition. En 1958, il a ouvert le château au public.


Le premier signe que nous allons rencontrer sera situé au château de Rosanbo, et entretient un rapport étroit avec le jeu des calendriers :


http://jean-paul.cornec.pagesperso-orange.fr/cs_disparus.htm

LANVELLEC (22) : château de Rosanbo
[ 48°37'32" N - 3°33'10" W ]
[inv. SAF : 2211901-1]
Table gnomonique octogonale, datée 1744
Cette œuvre a été dérobée en 1988. Elle a été heureusement étudiée auparavant par Jean-Paul Cornec
Devise : " Utere praesenti memor ultimae "
" Profite de l'heure présente, souviens-toi de la dernière (heure) "
Monogramme du Christ


Je ne ferais pas l'injure au lecteur de lui expliquer le sens de ce rapport, là ou il est question de pluralité dans la perception du temps...


Le second signe est sur la mention  " Comte de Bethune " .
Si nous limitons notre recherche à cette seule contingence, ou en définitive, la solution devrait être contenue dans ce concept de mot-clef " Comte de Bethune " , nous parvenons à ceci :

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1896_num_57_1_447870_t1_0454_0000_2


Et, indéniablement, nous reprenons lien avec la Morinie et Thérouanne...
Ceci, comme une évidence ... 


A suivre
En ce 14 juillet 2011, jour de fête nationale l'auteur Alain C . . . . . h