mercredi 27 juillet 2011

CE LIEU EST TERRIBLE...

   Certains lecteurs, bien au fait des indices émaillant l'énigme des deux Rennes, pourraient penser que la suite de mon intervention du jour serait en rapport avec ce titre.

   Il n'en sera rien.
   Sur cette phrase tout a été dit, ou tout reste à dire...
   J'ai choisi ce titre en rapport avec la dernière polémique en date opposant des chercheurs connus, pour ne pas les nommer Franck Daffos et Michel Vallet.
   Les lecteurs non encore avertis pourront se référer à cet article de presse :

   http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/27/1135804-rennes-le-chateau-le-tresor-des-wisigoths-est-il-la.html


   Ainsi que je l'ai déjà indiqué sur deux forums liés à l'énigme, je ne tiens pas à m'immiscer dans cette affaire qui ne regarde que ses protagonistes.
   Qui a tort ? Qui a raison ? La suite nous l'apprendra peut-être.
    Par contre, je souhaite m'insurger sur le fait de jeter en pâture à certains, dont l'irresponsabilité va de pair avec l'avidité, un site naturel, sans doute remarquable, qui, demain, si les autorités publiques n'en circonscrivent pas l'accès, risque de subir des dommages considérables.
   Sans évoquer les mêmes risquant eux aussi des dommages corporels graves.

   Ceci est la première réaction dont je souhaitais faire part.

   La seconde est, de manière plus large, la dénonciation d'un climat pour le moins délétère, pour ne pas dire glauque, émaillant depuis de nombreuses années les interventions entre " chercheurs ".
   S'il est vrai que des rencontres des plus chaleureuses, et constructives, l'argumentation contraire à notre point de vue, quand celle-ci ne se résume pas aux invectives et procès d'intention, serait porteuse de plus d'exigence et de rigueur quant à nos propres travaux, existent heureusement, il n'en demeure pas moins que trop souvent, soit sur les forums d'expression, soit physiquement sur le territoire des deux Rennes, l'on pourrait se croire en pleine cour de récré, en compagnie de sales gosses se disputant la bille ou le calot en verre ! 
   Cela pourrait être risible si la rancoeur, mère de la méchanceté, ne s'en mêlait.
   Pour l'heure, je trouve cela pathétique, mais aussi contre-productif.
   Réfléchissons un peu à ce que la somme de ces individualités composant la " communauté " des " chercheurs " aurait pu produire en terme de résultat, chacun dans sa discipline, son domaine de compétence: cela fait longtemps, sans doute, que notre énigme serait résolue.
   Mais ce lieu est terrible , et semble générer de lui-même la zizanie ( comme dans un des albums d'Astérix )


   Il en est ainsi.
   Nous pouvons juste espérer qu'avec le temps les esprits s'apaisent et construisent une réelle communauté méritant ce titre et cet état d'esprit, d'ou la communion ne sera plus absente ou si peu présente.
   Mais pour cela il y a du ménage à faire, en chacun de nous, et de l'Ego à mieux canaliser.

   Maintenant que ces choses sont dites, je souhaite faire part de quelques autres réflexions, propre à mon histoire personnelle autour de ces recherches.
   Je dis histoire personnelle tant  me paraît vaine l'hypothèse d'être distancié vis à vis d'une recherche, quelle que soit la nature de celle-ci, ce qui n'empêche pas d'observer les résultats produits avec toute la rigueur qui s'impose, et mieux même, d'avoir un regard extérieur afin de susciter un examen qui ne soit pas le sien propre.
Histoire personnelle parce que, et là, tout chercheur honnête, c'est à dire dans mon esprit, ayant vraiment effectué une recherche, et non comme d'autres surfé sur la vague commerciale du pré ou du post Da Vinci Code, me rejoindra : cette histoire vous prend, c'est à dire vous saisit, au sens propre comme au figuré.


   Donc, cela fait trois mois que j'ai décidé de restituer une grande part de mes travaux, poursuivant en parallèle mes recherches, et affinant ce que j'avais pu trouver.
   J'imagine ne pas être lu par des milliers de personnes, mais peu me chaut pour l'instant.
   Je dirais même que cela m'arrange plutôt.
   Lecteur, nous ne nous connaissons pas encore, il faut laisser le temps au temps, n'est-ce pas ?
   Mais peut-être certains, certaines d'entre vous ont croisé mon chemin à Rennes-les-Bains...Je salue celles et ceux avec qui j'ai pu entretenir de bons rapports.

   Je peux cependant me faire une idée, je pense assez fidèle, des écoles de pensée qui vous animent.
   1 ) Les convaincus, non pas d'avance, mais après coup, après lecture et, je l'espère, vérifications des éléments que j'avançais. Merci, grand merci  à eux, j'espère continuer à combler leur curiosité.

   2 ) Les sceptiques regroupant deux sous-catégories, l'une étant le sceptique ad vitam eternam, qui, quelque élément mis en avant et criant sa vérité, trouvera toujours à redire, à pinailler, à rejeter sans même prendre la peine de réfléchir tant il est prisonnier de son enfermement mental et de son aliénation propre. 
        Je ne peux malheureusement rien pour lui, sauf à lui demander ce qu'il fait sur ce site.
        La seconde catégorie serait le sceptique qui demande à voir avant de se prononcer définitivement, en partie du fait que sur cette histoire de Rennes le Château, il a été échaudé par maints imposteurs.
        A celui-ci je dirais : essayez donc de faire abstraction de votre expérience malheureuse, et prenez la peine de me lire.


   3 ) Ceux que j'appelle les singes savants . A savoir les enfants d'un certain académisme, quoique ceux-ci puissent en dire, ou en médire, formatés intellectuellement , ou spirituellement , ou les deux, selon un certain logiciel. La façon de les reconnaître sera de toujours mettre en avant leurs connaissances, de pontifier en société, d'adopter en toute circonstance la posture de celui ou de celle qui sait.
       Et surtout, de bien te le faire sentir. 
       C'est là leur finalité à défaut de leur finitude...

   Comment se faire des copains...

   Maintenant, et pour faire lien avec l'actualité chaude du Razès, j'annonçais il y a peu détenir la position géographique d'une cache à Rennes-les-Bains, et ceci n'infirme pas la découverte dont on nous fait part ( la thèse que je défends étant liée à l'existence de douze caches en France rien n'interdit de penser qu'il y en ait deux, voire trois sur le territoire des deux Rennes ).
   Je me trompais : ce que je pensais être le point d'aboutissement lié à la cache n'était qu'un jalon, essentiel certes, mais un jalon.
   Donc, j'ai repris mon étude du terrain, et suis parvenu à identifier un autre point, me faisant jusqu'alors défaut.
   Le résultat obtenu, outre le point géographique désormais identifié, me permet également de mieux comprendre certaines entrées signifiantes dont je ne saisissais pas jusqu'alors la pertinence.
Pour être clair, certains éléments que j'avais précédemment trouvent leur explication suite à la découverte et du jalon manquant, et du point géographique final.
Au moment que je choisirais, et quand je ferais part au lecteur du chemin ou circuit qui permet d'aboutir à ce résultat, la cohérence de l'ensemble sera incontestable, quoiqu'extraordinaire.


   Car ceci suppose ce que d'aucuns d'entre nous pressentaient : un réseau occulte oeuvrant et posant ses jalons en fonction de l'énigme de Rennes le Château.
    Il est vrai qu'une part de mes recherches a pour objet l'étude d'un matériel soi-disant corrompu, à savoir des écrits et communications, de ceux baptisés par nos singes savants de " fine équipe"ceci avec toute la condescendance que l'on peut imaginer, en l'occurrence  Pierre  Plantard et Philippe de Cherisey.
    Il est vrai que ceux-ci se sont employés à brouiller les pistes, à dresser rideaux de fumée et leurres dans une intention de manipulation à destination du public, et pour servir certaines fantasmagories mégalomaniaques.
   Il n'en est pas moins vrai que, depuis le début, la communication cachée utilisée par nos deux protagonistes,et dont j'ai fait en partie état, poursuivant sur le même mode opératoire qui les a précédé, recèle sa Vérité.
   J'ai ici en mémoire l'extrait d'un écrit de Philippe de Cherisey, dont la lecture agrémentée d'une recherche des plus simples mène à l'un des jalons nécessaires pour commencer à comprendre.
   Le second élément contenu dans cet extrait menant sur un autre aspect à une mise en perspective historique, mais pas que.
    
   Donc, pour certains, et ceci quand bien même, la méthode et le matériel que j'utilise, aient mené au bout d'un chemin ou circuit, à la découverte d'un trésor sur la ville de Thérouanne ( voir plus avant ) , certes découvert lors de fouilles archéologiques en 1965, mais qui n'a rien de mythique et est du plus concret, je serais dans l'erreur.
   Peut-être imaginent-ils que je suis parti de la découverte du trésor de Thérouanne, et que j'ai remonté le courant, tel le saumon que je ne suis pas ?
   Pauvres sots.
   Le chemin que j'ai emprunté est de toute beauté, et je m'en serais voulu de ne pas en faire profiter le lecteur honnête.
   Il y avait un chemin plus court: il suffisait pour cela d'associer un nom qui est à rattacher à l'énigme : Orval. 
   Et très logiquement, l'on aboutissait à Thérouanne :


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Audomar
   Donc que mes contradicteurs de mauvaise foi  se gardent bien de porter leur jugement de manière trop définitive, l'avenir pourrait se charger de leur donner tort...
   Et de quelle manière !


   Nous oeuvrons en ce sens.


   En ce 27 juillet 2011, ce qui ne doit rien au hasard...
   L'auteur alain C . . . . . h
   
  
  
  DE L'EAU A MON MOULIN 2

  AVERTISSEMENT 2 : CE QUI VA SUIVRE AURA POUR CONSEQUENCE SANS DOUTE DE NOMBREUSES REACTIONS  - MERCI DE ME CITER ET DE PAS EXPLOITER CETTE INFORMATION A VOTRE PROFIT !  


   Je souhaiterais apporter ma contribution constructive consécutivement aux informations parues dans la presse, ceci suite à la polémique récente entre deux chercheurs connus.
   J'aimerais ici revenir sur un élément précis : les auteurs nous présentent le tableau de Téniers , la fameuse tentation comme recelant un code qui est une date. Ce qui leur fait dire, si j'ai bien tout saisi de l'article de la Dépêche du Midi d'hier que la cache serait inviolée depuis 1294.  En effet, le vol des oiseaux apparaissant sur le tableau forme une date en terme d'année : 1294.
   Des interventions nombreuses sur les forums, avec le ou les tableaux en question, y font référence.
   Nos chercheurs ont rapproché cette date du Pape Celestin V ( depuis le début de cette affaire de Rennes-le-Château on nous entretient du fait que Beranger Saunière, lors de son voyage à Paris, aurait rapporté une reproduction d'un tableau représentant le Pape Celestin V ) , Pape qui a abdiqué de son état ...le 13 décembre 1294.
   Sur ce point j'abonderais d'autant plus dans leur sens, que ce jeu de dates formé par ces oiseaux sert et mes intérêts propres, et la Vérité.
   Donc je suis reconnaissant à tous ceux, et celles, qui sont intervenues sur les forums depuis des années sur ce sujet précis - suit un exemple :


http://www.rennes-le-chateau-archive.com/forums/viewtopic.php?p=9226

   A contrario, je me permets de signaler la vraie raison de cette référence à Celestin V,et ceci est une information essentielle.
   Le lecteur habitué à me lire a connaissance de ma découverte relative à un codage particulier, dont je vous entretiens depuis des semaines, fonctionnant par un jeu de renvoi systémique sur des concordances de dates.

   Ainsi je révélais que la date de décès de Marie de Nègre d'Ables avec un document attestant de cette date ( dont la stèle mythique porterait la mention ) et qui est un élément fondateur de l'énigme de Rennes-le-Château, à savoir le 17 janvier 1781, renvoyait par ce jeu de transposition vers le 20 du mois de teveth juif.

   Ce jour du 20 teveth étant lui-même rattaché, dans la sphère culturelle juive, à la date de décès de Maïmonide, un des grands intellectuels du Moyen-Age pour le judaïsme.Date du décès le ...13 décembre 1204 !


   Je vous laisse, lecteur, juge de cette admirable composition.
   Deux éléments en lien avec l'énigme - un tableau du Pape Celestin V et la date de décès de Marie de Nègre d'Ables ( transposée ) donnant chacun un résultat identique et le même signifiant !
C'est à dire le renvoi vers Maïmonide.
   A 90 ans d'écart, la même date du 13 décembre !


   Qu'est-ce à dire ? Coïncidence stupéfiante ?
   Nenni , ma foi ! cela veut dire choix à postériori , choix de ces deux personnages éloignés dans le temps L'UNE POUR  LA DATE DE SON DECES, POUR LE SECOND LA DATE DE SON ABDICATION...


   Il fallait que ces deux personnages et ces deux dates existent, parce qu'elles sont un élément fondateur, avec deux autres , encore caché mais dont je détiens la clef , des indices menant, cette fois par un des plus subtils jeu de transposition géographique, vers une cache sur le territoire de Rennes-les-Bains.
   J'ai bien conscience en livrant ces éléments de faciliter la tâche de petits malins qui pourraient faire le rapprochement attendu.
   C'est un risque que je prends.
   Il est un autre élément qui n'apparaît nullement dans mes écrits précédents, et sans lui, point de triangulation ( le mot est lâché ) possible.


   Et nous ne parlons pas de la même...cache
   Et respectant les limites que je me suis fixé je n'en dirais pas plus.


   En ce jour du 28 juillet 2011, l'heureux auteur  alain C . . . . . h


   
































   
































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