mercredi 28 septembre 2011

CONVERGENCES IV

CACHEZ CE SAINT QUE JE NE SAURAIS VOIR...

IL  apparaît que plus nous explorons le sujet qui nous occupe, sans que  pour autant  celui-ci nous préoccupe, certains éléments que nous considérions comme définitivement clos semblent encore receler nombre d'informations précieuses.

Ainsi de l'église Saint Sulpice, par laquelle nous avons débuté notre restitution, plus précisément l'oeuvre d'Eugène Delacroix, le choix des thématiques que notre artiste choisit en son temps, pour ce qui devait être son testament spirituel.
Nous avons ainsi eu l'idée de " tester " ces oeuvres, respectivement Héliodore , Jacob , et Saint Michel, afin d'observer si, dans le système de concordances de dates ou nous nous trouvons, là aussi, nous pouvions en retirer quelque profit.
Il ressort de notre examen qu'Eugène Delacroix jouant sur les jours de  fêtes de saints nous a légué un message dont les composantes ne font que confirmer ce que nous savions déjà.
En soi-même, qu'une source complémentaire, en un lieu rattaché à notre énigme, communique sur de semblables données, ne peut que nous conforter dans notre conclusion sur un lieu géographique sis sur le territoire de Rennes-les-Bains, et un thème qui s'y rattache.
Nous débuterons par Héliodore.

Héliodore est un ministre du roi séleucide Séleucos IV vers - 175. Au-delà du personnage tentant de piller le trésor du Temple de Jérusalem, il sera ici opportun de nous diriger vers un saint homonyme :

 Héliodore d'Altino  († vers 410 ), originaire de Dalmatie, évêque d'Altino près d' Aquilée  en Vénitie, fêté le 3 juillet.


Le fil d'Ariane à suivre ici est directement inscrit en correspondance du 3 juillet, que nous verrons par la suite, mais aussi de manière indirecte, inscrit dans l'Histoire du saint :

http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9liodore_d%27Altino


Ainsi, très logiquement, irons-nous examiner les correspondances avec la date du 30 septembre, fête de Saint Jérôme.
1124 : Consécration de l'abbatiale de l'abbaye d'Orval , qui, nous l'avons vu précédemment est rattachée à notre énigme.Mais aussi, l'essentiel de l'information réside dans ce nouveau renvoi, fête de :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ours_de_Soleure


La saint Ours, thème que nous avions déjà rencontré dans notre cheminement, sur la date du 2 février, date qui est, de notre point de vue, une des modalités à retenir vis à vis du tableau Les bergers d'Arcadie, de Nicolas Poussin,  oeuvre qui a tant fait couler d'encre ( voir plus avant notre explication ), et la référence au culte de l'Ours attachée à cette date du 2 février.


Poursuivons avec Jacob, dont nous apprendrons que notre héros antique est fêté le 20 décembre.
A cette date, nous obtenons plusieurs occurences confirmant nos travaux.
Date possible, mais rare pour le solstice d'hiver.
1582: Adoption du calendrier grégorien en France où l'on passe directement du 9 au 20 décembre.
Concernant la culture juive, fête de Abraham, Isaac, Esther...
Mais aussi :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ursan


Nous voici donc en présence de deux oeuvres d'Eugène Delacroix comportant chacune, par ces chemins de traverses, une identique proposition.
Examinons maintenant la date du 3 juillet, attachée à saint Héliodore.

Sur cette date le décès d'un personnage lié à l'ordre des Hospitaliers :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_d%27Aubusson


Le chemin qui nous intéresse ici est sur la commune de Bourganeuf, plus précisément en son église ou nous allons trouver un tableau signé de Etienne de Lavallée Poussin : l'annonciation.

http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palsri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98= Bourganeuf&DOM= 


(Descendre le lien vers le tableau )


Il sera utile de préciser le même choix thématique de la part de Nicolas Poussin.
Bien évidemment, nous ne pouvons que remarquer le nom de l'artiste qui suscite notre curiosité.
Se pourrait-il que ... ?


http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_de_La_Vall%C3%A9e-Poussin

Nous laissons le lecteur, outre la parenté de sang avec Nicolas Poussin, méditer sur les éléments qui ont jalonné l'existence de ce peintre...
Pour autant, il serait O combien appréciable de quérir sur cette oeuvre les correspondances que nous trouvons ailleurs. Nous ne serons pas déçus.


L'annonciation à la Vierge Marie est en rapport avec l'un des trois anges reconnus par l'église catholique: Gabriel.
Considérant le jour de fête des saints comme une des modalités de communication choisie par nos initiés, et considérant qu'au delà du lien de parenté, il est possible qu'ait été légué au descendant de Nicolas Poussin un message en lien avec notre énigme, nous nous dirigerons d'un pas alerte vers la fête de l'Annonciation , le 25 mars, date sur laquelle nous trouvons :


1581 : La fête du Nouvel An est célébrée pour la dernière fois en ce jour, désormais, avec l'entrée en vigueur du calendrier grégorien, l'année débutera le premier janvier.
Il sera utile également de nous rapporter à ce que nous disions sur Ab Urbe Condita, en lien cette fois-là avec la date du 21 avril - 753, qui nous menait rue Racine, par le jeu de correspondance sur le 21 avril. Ab Urbe Condita sur cette entrée-ci  étant comprise comme date de la fondation de Rome.
Et Ab Urbe Condita sur cette acception du 25 mars :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anno_Domini


Nous procéderons ensuite à l'examen de la fête de saint Gabriel, fêté le 29 septembre...
Et ici, nous nous permettons de renvoyer nos lecteurs sur une des deux dates clefs de l'année 1891, apparaissant sur le carnet de Bérenger Saunière...


Il y a ici un sens de lecture à respecter, essentiel si l'on veut bien comprendre.
Notre point de départ provient d'Eugène Delacroix ne l'oublions pas.C'est bien lui qui nous guide dans les méandres du labyrinthe.Et c'est lui que nous allons suivre dans un premier temps :

Eugène Delacroix nous dirige donc vers ce tableau et ses correspondances , en premier lieu, une oeuvre artistique d'un descendant de Nicolas Poussin, en second lieu , des correspondances liées à la date du 29 septembre , et voici lesquelles : le 29 septembre est également la fête de Saint Michel ( thème de la troisième oeuvre d'Eugène Delacroix en l'église Saint Sulpice ), mais aussi le jour ou l'on fête Alaric.
Vis à vis d'une énigme ou il est fortement question du trésor d'Alaric, nous voici en terrain plus que connu...
Outre celles dont nous avons déjà fait part sur la date du 29 septembre du point de vue de l'abbé Saunière, nous pouvons admettre comme correspondances de la part d'un homme d'église ayant une connaissance des choses religieuses et en rapport avec un jeu sur les homonymes de Gabriel , ce qui suit :


- Gabriel († 1676), crieur pour l'église du Patriarcat des Iles aux Princes fêté localement le 2 février.

- Gabriel et Kermidolis - 1522 
Jeunes chrétiens d'Egypte, qui furent accusés injustement de jeter des ordures sur les murs de la mosquée voisine. Après de vains essais pour leur faire abandonner la foi en Jésus-Christ, ils furent arrêtés. Kermidolis eut la tête fracassée par une grosse pierre et Gabriel succomba à son tour, décapité. Fêtés localement le 18 octobre.

Ainsi, et ceci sans procéder d'aucune autre manière que l'utilisation de la grille de lecture des concordances de dates, dans une cohérence que nous pouvons qualifier de parfaite, nous rejoignons deux " chemins "- le 2 février et le 18 octobre -  que nous avions déjà investigué auparavant (voir dans Convergences I - II -III.)


Lesdits chemins nous menant toujours au même point longitudinal.

A suivre - en ce 28 septembre 2011 l'auteur alain C . . . . . h 

QUAND UN CORNEILLE CONDUIT A UN AUTRE CORNEILLE...En passant par Corneille...

O lecteur ébahi, j'admets ta surprise, je la partage même, au vu de ces cheminements divers menant tous à un identique résultat, dont le maître nom serait Corneille.

Nous avons déjà expliqué pourquoi nous sommes aussi attachés à cette correspondance.
D'autant plus que, depuis notre découverte , et au fil de lecture de divers intervenants sur les forums d'expression dédiés à notre énigme , j'ai pu lire certaine chose dont il m'est interdit de faire mention pour l'heure, mais qui sera révélée en temps en en heure voulus.

Avant que de tenter une explication, et non une justification, voici un chemin complémentaire, surprenant mais en tout point conforme à la logique qui sous-tend ce bel ensemble.


Nous débuterons notre circuit en prenant comme point de départ de nouveau le 02 février, qui est, nous l'avons dit, la fête de la chandeleur, ou de la chandelours antérieurement, car lié au culte de l'ours, fête païenne sur laquelle nous reviendrons. Egalement la fête de Corneille centurion, premier gentil converti par l'apôtre Pierre.
Mais aussi la date commémorant la présentation de Jésus au Temple, dans l'ère chrétienne :


http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%AAte_de_la_Pr%C3%A9sentation_de_J%C3%A9sus_au_Temple




Ainsi que nous pouvons l'observer, un acteur de cette présentation au Temple fut Syméon.
Syméon fêté le 18 février.
Sur cette date du 18 février, accoutumés que nous sommes à cette mécanique de renvoi systémique, laquelle produit les résultats dont nous avons déjà fait part, notre esprit en éveil, nous ne pourrons qu'agréer le résultat suivant. Il y a là de l'analogie, de l'association de concepts, de l'homonymie édictée en règle du jeu.


  • décès de en 1535 : Henri Cornelis astrologue et alchimiste (° 14 septembre 1486).
Sans doute sera-t-il opportun de marquer une pause sur la personnalité du personnage :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri-Corneille_Agrippa_de_Nettesheim


A n'en pas douter,nous sommes ici en présence d'une existence marquée du sceau des disciplines occultes, ou la magie cérémonielle croise la Kabbale chrétienne, et qui fait écho, dans sa production littéraire, à un certain imaginaire , ou réalité ? , qui s'est développé autour de l'énigme de Rennes-le-Château.
Ainsi nous trouverons Roze Croix, Table d'émeraude, Kabbale chrétienne, un Habsbourg, et même des convois d'or...



C'est sur sa date de naissance, le 14 septembre, que nous croiserons de nouveau le mystère :
Corneille († 253), 21 eme Pape de 251 à 253 et martyr :

 http://www.introibo.fr/16-09-Sts-Corneille-pape-et

Voici pour le chemin.

Nous nous permettrons d'orienter le lecteur vers de nouveau cette date du 02 février, date fondatrice s'il en est.
Et de retourner aux origines d'avant la christianisation à marche forcée des peuples.
Le lecteur aura tout loisir d'enrichir ses connaissances ( tout comme moi ) sur ce lien très complet et universel restituant le signifiant et le sens du temps d'avant, quand encore l'homme sacralisait son territoire en harmonie avec la mère terre et ses habitants à fourrure ou à plume.
Une mienne consoeur que je salue au passage, y retrouvera  un matériel que celle-ci a utilisé pour ses propres recherches concernant l'énigme de Rennes Le Château : le conte de Jean de l'Ours.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ours_dans_la_culture


Il est très probable qu'au-delà du code géographique dont nous avons déjà fait état sur la date du 02 février ( voir notre étude sur Nicolas Poussin et les Bergers d'Arcadie ) , nous ne soyons ici en présence d'une strate complémentaire, en lien et relation avec l'aspect sacré et primitif, au sens noble du terme , c'est à dire non corrompu par les mécaniques de Pouvoir, lequel sacré s'exprima dans la nuit des temps, et imprima dans le paysage sa signature.


En ce 30 septembre 2011, fête de Saint Ours de Soleure 
l'auteur alain C . . . . . h








































 














































dimanche 18 septembre 2011

CONVERGENCES III

NOTA :

Concernant la correspondance que nous avions établi entre l'indication du 17 quai de Montebello et la rue de la Bûcherie, il sera utile d'apporter la précision suivante, laquelle renforce ce jeu de miroir établi sur le plan urbain, à savoir que, gravé dans la pierre ainsi que d'autres rues anciennes appartenant au patrimoine historique de  Paris,  figure bien la mention du  17 rue de la Bûcherie. 
Dont acte.

Nous reprendrons le fil de notre parcours, via la personnalité de Pierre Corneille pour laquelle nous avons obtenu tant de concordances, certaines tues car trop directement liées à un site précis sur le territoire de Rennes-les-Bains, d'autres dites, en investiguant le lieu qui s'impose car directement lié à Pierre Corneille, celui-ci y fut enterré, ainsi que le mentionne un médaillon à l'entrée de l'église.

Le grand tragédien Pierre Corneille(1606-1684) : l’auteur du Cid venait ici en voisin puisqu’il vivait rue d’Argenteuil. Sa présence est signalée par une plaque à médaillon à l’entrée de l’église, mais celle-ci est nettement postérieure à ses funérailles. 

Extrait du registre paroissial  de l'église Saint-Roch à Paris : Dudit jour, second octobre 1684, Mre Pierre Corneille, escuyer, cy-devant avocat général à la table de marbre à Rouen, âgé d'environ soixante et dix huit ans, décédé hier rue d'Argenteuil, de cette paroisse, a esté inhumé en l'église, en présence de Mre Thomas Corneille, escuyer, Sieur de Lisle, demeurant rue Clos Gergeau, en cette paroisse, et de Mre Michel Bicheur, prestre de cette église, y demeurant proche. Signé : Corneille, Bicheur. (Registre détruit par l'incendie de 1871 mais acte recopié par l'archiviste Auguste Jal dans son Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, Henri Plon, 1897, page 428) .

Les aficionados de l'énigme de Rennes-le-Château, auront bien évidemment fait le lien entre cette admirable église,dont le patrimoine artistique recèle de vrais bijoux, et la présence en son sein de la reproduction de l'Arche d'Alliance, en la chapelle de l'Adoration. 
Arche dont l'écho semble si prégnant vis à vis du mystère castelrennais.


Présentation de l'église sur le lien ci-dessous :

 http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Roch_%28Paris%29

Considérant que ce qui nous a mené sur ce lieu est essentiellement inscrit dans ce jeu de correspondances des dates, comme autant d'indices à notre disposition pour peu que nous en possédions la clef de lecture, nous avons poursuivi sur le même mode opératoire, cherchant le lien qui pourrait exister.


C'est également en relation avec un monument funéraire que nous allons établir ce lien.


Pierre-Louis  Moreau de Maupertuis :


http://maupertuis.voila.net/son_mausole_a_Saint_roch.htm
Le choix de cette personnalité-ci étant naturellement posé par  son apport en tant que scientifique sur différents plans, entre autre sa contribution sur une constante liée à notre énigme,à savoir  le Méridien de Paris :


http://books.google.fr/books/about/D%C3%A9gr%C3%A9_du_m%C3%A9ridien_entre_Paris_et_Amie.html?id=Z1PNQAAACAAJ
C'est sur sa date de décès ( 27 juillet ) que nous trouverons ici  l'occurence recherchée, celle-ci faisant signe et provoquant une nouvelle fois la surprise :

http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7718/Les-Sept-Dormants-d-Ephese.html


En effet, ce serait agir trop en  dilettante que de ne pas tenir compte du lien de parenté évident entre cette légende des 7 dormants d'Ephese et une personnalité d'ordre religieux également , au premier plan de notre énigme, mais pas forcément pour les raisons dont nombre d'auteurs se sont saisis, pensant tenir la proie, alors qu'ils n'étaient que dans l'ombre de celle-ci....


Nous avons trouvé ce lien-ci, qui est une bonne synthèse de notre propos :


http://www.marie-madeleine.com/dictionnaire/22_juillet.htm

Voici bien, de notre point de vue, un des aspects pouvant légitimer ce rappel de Marie-Madeleine, et dans l'énigme, et dans l'église de Rennes-le-Château, puisque, pour le lecteur qui n'aurait pas bien saisi là ou nous voulions conclure, l'église Saint-Roch de Paris est un des deux points de longitude, le premier étant la rue Corneille de Paris, qui fut transposé sur le territoire de Rennes-les-Bains.
La différence entre ces deux points, toujours sur le plan longitudinal, étant infime, nous nous risquons à émettre l'idée que l'un est le point d'entrée, le second le point d'arrivée.

Concernant l'église Saint-Roch de Paris, nous aurions encore à développer, mais là encore,en dépit de la tentation qui est mienne, nous nous voyons contraints, pour l'heure, de placer ce sujet entre parenthèse. 
Pourvu que celle-ci soit enchantée...


En ce 19 septembre 2011, l'auteur alain C . . . . . h
































lundi 12 septembre 2011

CONVERGENCES II

DEBUT DU CHAPITRE VOIR DANS ARCHIVES DU MOIS DE SEPTEMBRE


Il serait opportun de d'explorer désormais les sources dites modernes liées à l'Enigme, afin d'observer, si là aussi, de semblables correspondances se font jour.


C'est dans les Dossiers secrets de Lobineau, sous le pseudonyme de Philippe Toscan du Plantier dont on nous précise qu'il résida à l'Hôtel du mont d'or - nom prédestiné - 17 quai de Montebello 17 - que cette information se dissimule. Cette indication sera d'ailleurs reprise par Mr. Gino Sandri, lors d'une interview datant de l'année 2003.


Etant du genre curieux et maraudeur, nos pas nous ont conduit à cette adresse, un quai de Seine face à Notre-Dame. Bien nous en prit.
Au 17 du quai mentionné, nul hôtel, du mont d'or ou autre, juste un immeuble parisien anonyme.
Par contre, en poursuivant d'une dizaine de mètres, en tournant à droite nous trouvons la rue de l'Hôtel Colbert, dont un panneau nous explique qu'elle fut nommée ainsi en référence à un hôtel faussement attribué à Colbert.
Puis, de suite sur notre droite, la rue de la Bûcherie, et en effet, au mais cette fois au n° 13- 15 , ce qui semble être un ancien hôtel particulier, décoré de frises dignes d'intérêt, dont nous reparlerons une fois l'analyse effectuée, mais dont le lecteur peut déjà prendre connaissance, via cette étude agrémentée de photos :
http://www.insitu.culture.fr/pdf/hottin-1343.pdf


Mais pour l'heure, l'intérêt réside sur une inscription dans la pierre qui mérite toute notre attention.


Il abrita par la suite un lavoir, comme le rapporte un ouvrage publié en 1890 :
A l'angle nord-ouest de la rue de l'Hôtel-Colbert et de la rue de la Bûcherie, on voit s'élever au dessus des maisons une monumentale rotonde terminée en coupole. Plongeant notre regard par la porte cochère de la maison qui porte le numéro 13 sur la rue de la Bûcherie, un spectacle curieux nous attend. Devant nous une sorte de cloître à arcades ogivales renferme le bruyant et joyeux personnel d'un lavoir, qui s'intitule le lavoir Colbert.
Aujourd'hui, le bâtiment est occupé par l'administration du personnel de la ville de Paris.
Puisque nous sommes dans un jeu de correspondances exploitant des dates, il nous sera utile de relever sur la personnalité de Jacques Bénigne Winslow, sa date de naissance, à savoir un 2 avril, ce qui nous replace une nouvelle fois dans le chemin balisé de nos initiés. ( voir Convergences début ).


Il apparaît également que la mention du quai Montebbelo ( du nom d'une bataille qui eut lieu en 1800 ) soit loin d'être anodine, et c'est encore ici le signe d'un plan mûrement réfléchi.


Cette bataille de Montebello eut lieu un 9 juin.
Or, et puisque ce chapitre est dédié à la personnalité de Pierre Corneille ( comme indication géographique pour une longitude ) il n'est pas surprenant d'observer que Pierre Corneille fut baptisé le 9 juin 1606...Date qui fut à l'origine, jusqu'au début du 19ème siècle, d'une erreur de datation sur son jour de naissance.
Les correspondances que nous avons indiqué sur la date du 6 juin étant postérieures à cette confusion, nous optons pour la pertinence de l'ensemble, tout en saluant l'ingéniosité de nos semeurs d'indices.


Pour clore de manière temporaire ce sujet, nous préciserons juste que Marie-Madeleine, pour laquelle Bérenger Saunière dédicaca son église, est fêtée, comme chacun sait le 22 juillet, qui est aussi la fête d'un saint Corneille, différent du centurion que nous avons déjà mentionné : Corneille de Pereyaslav.




LA CLEF DE POUSSIN


Il est temps maintenant d'analyser une des pièces maîtresses de l'écheveau lié à l'énigme de Rennes-le-Château, nous ne le faisons pas parce qu'il est de bon ton, pour tout chercheur ou et auteur, faisant état de ses découvertes, de réserver un espace particulier à Nicolas Poussin et à son tableau " Les bergers d'Arcadie" , nous ne le faisons pas pour rajouter aux circonvolutions des uns ou des autres, géométriques pour la plupart, et qui ont certainement leur intérêt propre, nous le faisons parce que cela nous parle, parce que cela fait signe, parce que, sans nul doute, si le principe de La lettre volée devait s'appliquer sur un matériel accolé au mystère de tout ceci, c'est bien sur ce célèbre tableau, dans sa seconde version, que nous le situerions.

Nous conseillons ici au lecteur d'avoir sous les yeux une reproduction du tableau en question ( pour des raisons de contraintes techniques nous ne pouvons en joindre ).
Rares sont ceux qui n'ont pas glosé, vis à vis de ce tableau mythique, sur l'inscription Et in arcadia ego, son sens , son signifiant vis à vis de l'énigme etc...Mais, de mon point de vue, s'il est un message qu'a voulu laisser pour la postérité Nicolas Poussin, c'est de manière aussi visible que le nez au milieu de la figure, et c'est bien pour cela que cet élément est demeuré jusqu'alors ignoré , et invisible, la position des deux mains des deux bergers désignant l'inscription et surtout, LE FAIT QUE CES DEUX MAINS FORMENT DEUX CHIFFRES  : 2 et 2 .

Le lecteur, habitué à la méthode que j'estime avoir découverte de correspondances de dates aura deviné ou je veux en venir : 2 et 2 produit le 2 février.

Voyons donc si nous trouvons à cette date matière à satisfaction :

Première entrée et de quelle importance !


  • Corneille (Ier siècle), centurion romain baptisé par saint Pierre.





  • A CELUI QUI PASSE DE FAIRE LE BIEN ! ( voir Convergences début )
    Et là, il nous faut raisonner une fois encore pour obtenir le bon sens de la lecture, si nos auteurs modernes , en l'occurence l'auteur du Serpent Rouge, les inventeurs de la tombe d'Urbain de Fleury, ont dirigé nos regards vers cette correspondance - ci, c'est bien parce qu'ils avaient en main les cartes, et décrypté ce que les Bergers d'Arcadie dissimulaient, à savoir cette date du 2 février.


    La question complémentaire, ici, est pourquoi ?


    Nous allons nous placer ici du point de vue de nos initiés modernes ( 18 ème - 19 ème siècle ), postérieurs à Nicolas Poussin, donc en ne préjugeant pas de l'intentionnalité du peintre vis à vis de notre énigme, quand bien même certaines présomptions tendraient à étayer le contraire.
    Un message doit être passé, celui-ci serait de nature géographique, divers chemins intellectuels y conduisent, mais il serait bon de parachever ce qui existe, nous avons un tableau d'excellente facture, le jeu de correspondances de dates fonctionne admirablement, ajoutons-le donc au puzzle.
    Voici comment cela pourrait s'être, dans les grandes lignes déroulé.


    LE MESSAGE


    Celui-ci va fonctionner par association.
    Nous poursuivons sur la date du 2 février , en 1506 naissance de René de Birrague, entre autres fonctions, reçoit en 1582 l'évéché de Lavaur, dont il sera nécessaire de quérir l'origine du nom pour saisir le sens : Lavaur vient du gaulois Vobero signifiant le ruisseau caché...


    Je sens, lecteur, que je commence à t'intéresser.


    L'entrée complémentaire, pour la suite du message, se fera sur Dame Jeanne de Lestonnac, personnalité qui eut une existence un peu disons bouleversée, avant d'entrer dans les ordres , elle épousa en 1572 le baron Gaston de Montferrand-Landiras (fils de Jean de Montferrand et Jacquette du Rayet ), et décéda un 2 février 1640.


    Le mot-clef ici est bien évidemment Montferrand, parce que ce nom fut, en son temps, le nom du village Rennes-les-Bains, ainsi que le mentionne le site internet pays de Couiza :


    Ecclesia Sancti Nazarii de Arquis calidis - 1162
    Valnei - Balnei 1307
    Rector de balneis montisferrandis 1347
    Regnes les Bains - 1406
    Les Bains - 1594
    Bains de Montferrand - 1632
    Les Bans - 1642
    Les Bains de Monferrand -1781
    Les bains - 1807
    Rennos, les Bans de Rennos



    Voici donc quel est le message à destination du chercheur, depuis que le tableau Les Bergers d'Arcadie est associé à l'énigme : trouver le ruisseau caché de Rennes-les-Bains !


    Nul doute, ici, que cette information va en troubler et intéresser plus d'un.


    En ce 12 septembre 2011 , l'auteur  alain C . . . . . h


    Considérant la date du 02 février comme une date-clef vis à vis de notre énigme, dont le tableau  "Les bergers d'Arcadie " de Nicolas Poussin se voudrait le messager, il sera intéressant de noter ce que peut en dire un chercheur, via le site internet " Le coin de l'énigme " :


    " Le phénomène dit les Pommes Bleues a lieu le 17 Janvier à Rennes-le-Château .
    Ce jour est placé pile entre les 16 jours qui commencent l´année et les 16 qui nous séparent du 2 février, jour de la chandeleur, soit le retour de Perséphone qui rejoindra sa mère, Cérès qui à son tour, préparera le printemps, la renaissance de la Nature.
    C´est bien à partir de ce jour là que les paysans observaient la météo des 12 journées suivantes, pour savoir quel temps il fera l´année prochaine. "



    Nous ne saurions trop saluer cette démonstration,  en ajoutant que l'auteur aurait été, comme trop souvent c'est le cas vis à vis de notre sujet, bien inspiré de poursuivre sa quête d'informations en rapport avec cette date.


    Bien évidemment, nous ne pourrons échapper à l'orientation vers la fête de la chandeleur, ce que celle-ci peut recouvrir de signifiant, tant du point de vue mythologique que traditionnel, et ici nous faisons référence à la Tradition née durant le temps humain évoluant dans la sacralisation primitive.


    Plutôt que d'improviser sur ce thème, il nous semble opportun de joindre des liens vers l'encyclopédie wikipédia.
    Le lecteur aura remarqué que nous mettons cette encyclopédie à contribution ( faute de temps libre ) - Quoique critiquée par les belles âmes, celle-ci rend bien des services, et nous ne pouvons que saluer les contributeurs bénévoles contribuant à son enrichissement. Par ailleurs, les liens que nous joignons ici sont validés par d'autres sources, afin de ne pas commettre d'erreurs, et nous nous efforcerons, pour notre essai littéraire reprenant l'ensemble de ce qui est présenté sur ce présent support, de créer une version plus personnelle.


    Cette parenthèse étant close, voici ce que véhicule la fête de la Chandeleur :


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Chandeleur


    Nous nous intéresserons ici en particulier au culte de l'ours, Arkas et le lien avec l'Arcadie, et prolongeant cette réflexion, les liens cosmologiques s'y référant.
    Le lecteur curieux pourra, s'il le souhaite, quérir des informations complémentaires - certaines directement liées à notre énigme et sur lesquelles nous ne nous prononcerons pas encore - en associant les mots-clefs : Arkas et arcadie, par exemple.


    Nous retiendrons surtout cette date du 02 février, figurant de façon implicite sur le tableau de Nicolas Poussin.
    Ici, sera-t-il opportun de rendre à César ce qui appartient à César, en clair, quel est le message que Nicolas Poussin a voulu laisser, et quel est le message associé au même tableau que d'autres acteurs, à posteriori, ont voulu transmettre.


    Pour répondre, il sera nécessaire de penser l'équation en terme de concordance de temps.


    Nicolas Poussin :
    Nous pouvons lui attribuer ce qui précède - lien avec la Chandeleur - le Culte de l'Ours - possiblement un clin d'oeil vers Pierre Corneille via la fête le 02 février du centurion Corneille.


    L'hypothèse d'une transmission du message liant Lavaur ( le ruisseau caché ) et Montferrand ( via Jeanne de Lextonnac ) ne peut être admise, considérant Nicolas Poussin, que si l'exécution des "Bergers d'Arcadie " est postérieure au décès de Jeanne de Lestonnac ( 1640 le 2 février ), or, nous nous heurtons ici à une controverse concernant la date de création des Bergers d'Arcadie, certains experts la datant entre 1638-1640, d'autres entre 1650-1655...
    La question demeure donc posée tant qu'une position définitive n'est pas arrêtée sur ce sujet.


    A contrario, il est légitime de poser le fait qu'à postériori, d'autres acteurs aient pu exploiter cette concordance d'indications géographiques liée au tableau et à cette date du 2 février, et, par extension du principe, créé la jonction entre la fête de Saint Corneille, converti rappelons-le, par Petrus ( Pierre ) , et la personnalité de Pierre Corneille, traduite sur le plan urbain par une rue Corneille ( datant de 1780 )  et la longitude s'y rapportant.
    Ceci, en soi, n'a rien d'extraordinaire, c'est subtil, habile, intelligent O combien, mais ne présente pas un caractère de type magique.


    Nicolas Poussin a pu vouloir également associer, via le 2 février, une autre indication, que nous n'aurions pas retenu si celle-ci ne faisait pas signe avec un élément fondateur, à un certain moment donné de l'histoire. Je veux ici mentionner la date de naissance de Gabriel Naudé, le 02 février 1600, bibliothécaire et écrivain, il fut entre autres l'auteur de :


    Instruction à la France sur la Vérité de l'Histoire des Frères de la Roze-Croix...1623.


    Lorsque Gérard de Sède écrit de nouveau un second essai sur l'Enigme de Rennes-le-Château, en 1977, le titre choisi fut : Signé Rose Croix - L'Enigme de Rennes-le-Château.


    Là encore, le problème demeure posé, car il est également possible que Gérard de Sède, par le choix du titre et la thématique développée dans son essai, en lien avec la Rose + Croix, ait voulu transmettre un indice vers Gabriel Naudé, et son écrit sur ce même ordre, et donc, en résultantte finale, vers la date du 2 février.
    Un mixte des deux intentionnalités - Poussin - De Sède - n'est pas non plus à exclure...Par honnêteté intellectuelle, il est légitime de l'envisager.

    Nous concluerons sur le fait que ces considérations diverses ne modifient en rien l'essentiel des messages, et ils sont nombreux, accolés à cette date du 2 février, mais doivent être pensées comme manifestation de volontés successives, posant ses jalons au fil du temps...

    Nous explorerons par la suite, un lieu en lien avec Pierre Corneille.
    Là encore, les aficionados de l'énigme auront deviné lequel.

    En ce 15 septembre 2011, l'auteur alain C . . . . . h

    mardi 6 septembre 2011

    CONVERGENCES

    Suite à un déplacement impromptu ( n'en croyez rien )  sur le territoire des deux Rennes, trop court mais riche en émotions, il m'est devenu difficile de taire ce pour quoi cette restitution existe, à savoir, entre autres ambitions, rendre accessible au plus grand nombre le message caché de l'Enigme de Rennes-le-Château.


    Par là même, asseoir une crédibilité vis à vis d'une méthode qui pourrait apparaître, aux néophytes ou aficionados échaudés par les extravagances autour du sujet, sujette à caution.
    Ce à quoi nous allons nous employer ci après sera de dissiper les doutes qui pourraient encore subsister.


    Cet été, au moment ou naissait la polémique entre trois chercheurs, et que de manière concomitante certains éléments étaient portés à notre connaissance, je réagissais en offrant au lecteur une interprétation différente de la date du 13 décembre, rapportée avec raison au pape Celestin V- pour la reproduction du  tableau de ce pape rapporté par l'abbé Saunière - dit-on - lors de son voyage à Paris ; j'ajoutais que nos auteurs s'arrêtaient au milieu du gué, et que l'interprétation concernant cette date du 13 décembre, le message caché,  devait s'appliquer en toute logique et cohérence avec nos précédentes publications sur ce même support, à la personnalité de Maïmonide.
    J'évoquais également l'existence d'un triangle sur Paris, jalonné de trois éléments faisant signe; triangle conduisant de manière naturelle à la moitié de la solution sur la localisation géographique d'une cache de Rennes-les-Bains.
    Moitié de la solution équivalent dans notre esprit à la longitude.


    A mon grand regret, et par respect pour ce que j'écrivais précédemment, je me vois dans l'obligation de taire des éléments trop précis, pouvant permettre de circonscrire un site particulier. Aussi de latitude il ne sera point question ici.


    Les éléments qui vont suivre, pour extraordinaires que ceux-ci puissent paraître dans leur combinaison, se doivent d'être appréhendés pour ce qu'ils sont : des indices fondateurs. C'est à dire dans l'esprit de ceux qui les ont exploité, des signes. Je n'irais pas jusqu'à émettre l'opinion que certains de ces signes ont été disposés là ou ils sont, au long des siècles, par une confrérie d'initiés, ceci dans le seul but de désigner un lieu. Il n'en demeure pas moins que certaines concordances sont pour le moins troublantes...




    Mais place au dévoilement...


    LE TRIANGLE SECRET


    Nous avons, pour délimiter ce triangle sis à Paris, utilisé des matériaux dont un, au moins , est connu du public s'intéressant à l'énigme.
    Nous évoquons, ici , l'Eglise Saint-Sulpice et renvoyons le lecteur nouveau sur ce que nous en écrivions.
    Voici le premier point du triangle.


    Le second point du triangle sera en relation avec Maïmonide , et justifie ainsi ce pour quoi la date du 17 janvier 1781,date du décès  de Marie de Nègre d'Ables, fut placée au premier plan des indices sis à Rennes le Château; celle-ci , transposée en calendrier juif, pointait sur cet éminent personnage.
    Ce pour quoi  la date du 13 décembre se doit d'être reportée également sur ce même Maïmonide.
    Nous sommes, ceci est essentiel pour une bonne compréhension du dispositif en place, dans une mécanique de concordances de dates,agissant au travers de divers calendriers. Et puisque nous nous plaçons dans cette concordance, deux dates accolées à ce personnage : celle du 13 décembre 1204 , date du décès de Maïmonide, et celle qui nous intéresse pour dresser ce deuxième point du triangle, la date de sa naissance, à savoir le 30 mars 1135.
    Ce qui nous amène sur un lieu précis à Paris, à savoir l'église Saint-Séverin, ou, le 30 mars 1495 l'abside de l'église est bénie.  " En 1347 le pape Clement VI accorda par une bulle des indulgences à ceux qui contribueraient à sa construction, mais in siècle après, l'église ayant été trop exigüe,l'on entreprit des travaux d'agrandissement et ceux des premières chapelles que l'évêque de Paris, Jean Simon, vint consacrer le 30 mars 1495 ".


    Le troisième point s'établira à partir d'un matériel dont nous avons déjà fait état précédemment, à savoir la circulaire du Prieuré de Sion du sieur Pierre Plantard, en date du 4 avril 1989 et à cet extrait précis :
    " Je crois qu'il est bon de se souvenir que le 17 janvier a un sens hermétique pour le Prieuré de Sion, c'est janvier / 17 , c'est à dire le 19 septembre. " 


    Non loin de l'Eglise Saint Sulpice se trouve le jardin du Luxembourg, et c'est en ce lieu que nous allons trouver un monument en mémoire de Mr.  Scheurer- Kestner, inauguré en 1908.
    Auguste Scheurer-Kestner, né à Mulhouse (Haut-Rhin) le 13 février 1833 et mort à Bagnères-de-Luchon19 septembre 1899, est un chimiste, un industriel, un protestant et un homme politique alsacien. Il était l’oncle par alliance de l'épouse de Jules Ferry.Monument placé en un endroit, stratégique pourrait-on dire, du Jardin du Luxembourg, non loin de la statue de Clemence Isaure, et au centre du cercle constitué par le statuaire dédié aux Reines de France et de Navarre. Dans le prolongement de l'allée dit des explorateurs, nous pouvons voir le dôme de l'Observatoire de Paris. Méridien quand tu nous tiens... le
     Il  y aurait  beaucoup à dire sur l'agencement de ce jardin...extraordinaire.


    Pour ceux qui pourraient douter de l'efficience de ce triangle, nous ajouterons que nous en trouvons l'exacte correspondance, sur ces trois lieux que sont donc :
    1 ) Eglise Saint - Séverin.
    2 ) Eglise Saint-Sulpice.
    3 ) Observatoire de Paris ou rapport au Méridien de Paris.


    Ceci sur une simple date, rapportée cette fois à un personnage-clef sur le plan historique, Saint-Vincent de Paul ( voir les études nombreuses sur l'ordre des Lazaristes et le prolongement vis à vis de l'affaire).


    Saint-Vincent de Paul est décédé le 27 septembre 1660.
    Sur cette date du 27 septembre nous pouvons observer la date de naissance 27 septembre 1627 de Bossuet.
    Or, la fontaine de l'église Saint Sulpice de Paris, dite fontaine des quatre points cardinaux ( jeu de mots sur les quatre personnages ornant celle-ci, et qui n'étaient point cardinaux ) :

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Fontaine_Saint-Sulpice

    va donc nous mettre en scène Bossuet. Voici pour le lien avec Saint- Sulpice.


    Sous l'impulsion de l'abbé Grégoire, l'Assemblée Constituante adopte le 27 septembre 1791 un décret accordant aux Juifs la pleine citoyenneté. Or, l'abbé Grégoire fut affecté au bureau des longitudes :


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bureau_des_longitudes


    Voici le lien avec l'Observatoire de Paris et le Méridien.

    Quant au lien avec l'église Saint-Séverin, et puisque nous partons de la personnalité de Saint-Vincent de Paul, il ne sera que de se rendre sur place pour s'apercevoir que sa présence en cette église est célébrée, notamment par deux vitraux illustrant sa mission .




    Saint Vincent de Paul
    Saint Vincent de Paul (1581-1660) fonde, avec Louise de Marillac, la congrégation des Filles de la Charité qui se consacre au service des hôpitaux. Il leur donne pour habit celui des villageoises de l’époque : une robe de serge grise, un collet et une cornette de toile blanche. Selon la légende, il aurait recueilli dans le tour de la tour-porche de Saint Séverin (détruite aujourd’hui) son premier enfant trouvé.


    «Une des obsessions majeures de Vincent… vient hanter ses nuits avec une force croissante : elle lui représente le très grand nombre des enfants abandonnés dont le malheur n’est pas supportable. Il les nomme les enfants trouvés et veut les secourir à tout prix». En 1638, ils sont quatre cents dans la seule ville de Paris. «Il ne s’en trouve pas un seul en vie depuis cinquante ans. On les vendait huit sols pièce à des gueux qui leur rompaient bras et jambes pour exciter le monde à leur donner l’aumône et les laissaient mourir de faim». Vincent demande aux dames de la charité de chercher une solution. Il obtient des subventions. Il fait baptiser les enfants. Grâce à leur dévouement, les dames, sous la direction de Louise de Marillac, peuvent recueillir chaque mois un nombre croissant d’enfants et les soigner mieux."


     Si d'aventure, ami lecteur, tu disposes d'un plan de Paris, il te sera loisible d'observer que ce triangle ainsi formé par les trois points que nous avons désigné n'est pas équilatéral, et qu'il serait donc vain de lui quérir un centre exact.
    Pour autant, et ici nous entrons dans le registre de la révélation, nous allons croiser le théâtre de l'Odéon, anciennement hôtel de Condé, circonscrit par la rue Corneille et la rue Racine.
    Et puisque nous oeuvrons en fonction des concordances des dates et de leur signifiant, dressons-en les correspondances :


    - Louis II de Bourbon Condé - 
    Naissance le 8 septembre 1621 - date en correspondance le 8 septembre 70 prise de Jérusalem par Titus...

    Décès le 11 décembre 1686 - date en correspondance et pour faire le lien avec le jeu des calendriers,
    • 1582 : L'année n'a pas eu en France de 11 décembre. Du fait de l'adoption du calendrier grégorien par ce pays, le lendemain du dimanche 9 décembre a été le lundi 20 décembre.

    - Jean Racine - naissance le 22 décembre 1639 
    C'est une date fréquente pour le solstice , d'hiver ou d'été selon l'hémisphère terrestre, entre le 20 et le 23 décembre.


    Décès le 21 avril 1699 - date en correspondance le 21 avril - 753 fondation de Rome.
    Ceci pour faire le lien avec le document émanant du Prieuré de Sion ...Pour être clair ce document porte ce titre Ab Urbe Condita pour désigner cette date du 21 avril et par voie de conséquence la date se rapportant à Jean Racine, et donc la rue.
    Ceci est un principe qui va s'appliquer pour d'autres " entrées " puisque, si le lecteur ne l'a pas encore saisi, nous sommes au point d'aboutissement du Circuit. Il y a un sens de lecture à respecter.




    Ab Urbe condita est une locution latine, connue également sous l’abréviation AUC. Elle signifie « à partir de la fondation de la Ville » (le mot Urbs prend ici une majuscule puisqu’il désigne pour les Romains « la Ville » par excellence, c'est-à-dire Rome). Elle était utilisée par les anciens Romains comme origine de la datation des années du calendrier romain.
    Cette fondation est située le 21 avril de l'an 753 av. J.-C., selon le récit de Tite-Live (date généralement retenue par les historiens modernes).

    Quant à Pierre Corneille, nous débuterons par sa date de naissance du 06 juin 1606.
    Sur cette date du 06 juin, nous rappellerons au lecteur les éléments dont nous faisions état, il y a quelques semaines, alors que nous étions encore dans l'ignorance de ce point d'orgue dans nos recherches :


    "Honnêteté intellectuelle oblige, nous ne pourrions passer sous silence et omettre de citer cette page d'un site dédié à notre énigme :

    http://www.portail-rennes-le-chateau.com/aiguille_creuse_6_juin.htm


    Leurs auteurs s'intéressent de près à une date, celle du 06 juin, celle-ci ponctuant soit ce qui ressort du registre du récit, soit de l'évènement.


    Bien évidemment, et pour faire le lien avec ce qui précédait, nous investiguerons tout d'abord la date phare du 06 juin 1897, jour de la fête de la Pentecôte chrétienne, jour ou l'église de Rennes le Château fraîchement rénovée par les bons soins de l'abbé Saunière est inaugurée en présence de Monseigneur Billard, présenté comme étant le protecteur de notre curé.

    Le lecteur curieux serait bien avisé de noter le lien existant entre la fête de la Pentecôte et celle de Shavouot.

    Avec une belle constance, en système de transposition, le 6 juin 1897 produit le 6 sivan, soit la fête de Shavouot."


    "Mais revenons au 6 juin, date du jour. C'est dans la Vraie Langue Celtique de notre second abbé, celui de Rennes les Bains, Henri Boudet, que nous allons la trouver, alors qu'il fait référence à un numéro du journal l'Eclair du 7 juin 1885, pour un article sur un évènement qui s'est déroulé le 6 juin 1885. Le 6 juin 1885 en système de transposition produisant cette fois le 23 du mois de sivan, date à laquelle est rattachée une figure remarquable du Judaïsme, Esther, ainsi que la fête de Pourim. Esther et Pourim dont nous allons reparler longuement, et qui est une des deux clefs ouvrant sur un point géographique...Ceci pour la longitude. Car, peut-être, lecteur, l'auras-tu deviné, certaines dates conduisent à une localisation géographique. Esther, donc, fêtée aussi le 1er juillet."


     Esther, rajouterais-je aujourd'hui, célèbre pièce de Jean Racine....


    Demain, nous poursuivrons sur ce registre des correspondances.
    Bien des surprises vont suivre...

    En ce 06 septembre 2011, l'auteur alain C . . . . . h 



    Pour faire suite au lien émanant de chercheurs et relatif à la date du 06 juin ( voir ci-dessus ) , sans doute sera-t-il utile de se placer dans la perspective ou cette date est là afin de nous orienter vers la personnalité de Pierre Corneille. Ainsi, le lien entre Nicolas Poussin s'établira si l'on veut bien considérer que le frère de Pierre Corneille, Thomas , fut en son temps un ami du peintre, ainsi que l'a relevé un autre chercheur Thierry Garnier.

    Mais poursuivons notre investigation. Nous débuterons par une strophe de l'opuscule hermétique Le Serpent Rouge, dont certains affirment avoir décrypté le contenu. Je n'aurais pas cette prétention, et me contenterais pour l'heure d'éclairer le lecteur sur une de ses strophes.

    SCORPION
    « Vision céleste pour celui qui se souvient des quatre oeuvres de Emile. SIGNOL autour de la ligne du Méridien, au choeur même du sanctuaire d’où rayonne cette source d’amour des uns pour les autres, je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle du l’S, puis de l’S au P...et la spirale dans mon esprit devenant comme un poulpe monstrueux expulsant son encre, les ténèbres absorbent la lumière, j’ai le vertige et je porte ma main à ma bouche mordant instinctivement ma paume, peut-être comme OLIER dans son cercueil. Malédiction, je comprends la vérité, IL EST PASSE, mais lui aussi en faisant LE BIEN, ainsi que CELUI de la tombe fleurie. Mais combien ont saccagé la MAISON, ne laissant que des cadavres embaumés et nombres de métaux qu’ils n’avaient pu emporter. Quel étrange mystère recèle le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de Saint VINCENT. »

    En premier lieu nous  ne pourrons que remarquer le lien établi avec Saint Vincent de Paul.
    Nous allons maintenant, toujours selon le principe de concordance de dates, à Mr Jean-Jacques Olier, fondateur de l'ordre des Sulpiciens, dont il est question dans cet extrait
    .

    Fête le 2 avril, jour anniversaire de son décès, le 2 avril 1657.
    Nous avions déjà fait état du fait que nos initiés posant leurs jalons se trouvaient être dans l'économie de moyens, ou en d'autres termes faisaient feu de tout bois, exploitant toutes les potentialités d'une date afin de délivrer leur message.
    Voici sur le 2 avril , le chemin choisi :

     " Au mois d’avril, le blé est en épi, au mois de mai, il est en lait, à la Saint-Urbain, il est en grain, à la Saint-Claude (6 juin ), le froment ôte sa caule . " Ceci est un dicton météorologique, comme l'histoire de nos provinces peut en receler de nombreux. 

    L'intérêt de celui-ci est pluriel, puisqu'il permet de suivre un fil d'Ariane naturel, de saint en saint, et donc de date à date, mais aussi de faire écho à des éléments dont nous avons déjà fait état précédemment lors de notre étude sur l'église Saint-Sulpice, ainsi du blé en épi ou de l'épi de blé - soit shibboleth - un des mots clefs utilisés par Eugène Delacroix dans sa fresque La lutte de Jacob avec l'ange. 
    La tombe fleurie dont il est question dans la strophe du Serpent Rouge n'est autre que celle de Paul Urbain de Fleury, sise au cimetière de Rennes-les-Bains.

    Mais l'essentiel du message est bien ce renvoi sur la Saint Claude, le 6 juin, et donc le fait que cette date pointe sur Pierre Corneille.

    Malédiction, je comprends la vérité, IL EST PASSE, mais lui aussi en faisant LE BIEN.

    De manière très surprenante, bien que cette phrase fasse désormais partie intégrante de l'énigme de Rennes-le-Château, non seulement pour sa présence( par deux fois )  dans le Serpent Rouge, mais aussi par le fait qu'elle ait été accolée à la personnalité du sieur de Fleury que nous avons évoqué, puisque présente sur une de ses deux tombes, peu de chercheurs semblent avoir fait le lien qui s'impose ici.
    Ce lien, ainsi que nous allons l'observer, est d'une limpidité édifiante :


    http://www.partenia.org/francais/archives_fr/archives_2009/b_0906fr.htm

    Voici donc, au grand dam peut-être de certains pour qui le recours à la tradition chrétienne serait étrangère à notre affaire, quand bien même celle-ci mettrait aux prises des hommes d'église,  l'indice qui est sous les yeux des chercheurs depuis toujours .
    Je ne ferais pas l'insulte au lecteur d'inverser les deux données : Corneille ( le centurion dont il est question ) et Pierre l'apôtre pour aboutir à Pierre Corneille...


    Par ailleurs, il est possible que ce dispositif pointant du doigt la première conversion d'un gentil au christianisme, fasse écho à la phrase " Par ce signe tu le vaincras " qui a tant fait couler d'encre, et qui ne nous entretient de rien d'autre qu'une seconde conversion..

    Pour clore sur le Serpent Rouge, précisons que cet opuscule fut déposé à la BNF le 15 février 1967, qui est la saint Claude :


     Au mois d’avril, le blé est en épi, au mois de mai, il est en lait, à la saint Urbain (19 décembre), il est en grain, à la saint Claude, le froment ôte sa caule


    Demeurons dans le matériel à notre disposition relatif à notre énigme, que celui-ci ait été "inventé" pour les besoins de la cause, ou authentique , importe peu et reste à nos yeux secondaire: l'important était de dire.


    Un des nautoniers Du Prieuré de Sion et présenté comme tel par celui-ci ( époque dite moderne ) est Michel de Notre-Dame, soit Nostradamus.
    Le 1er mars 1555, les premières prédictions de notre astrologue et devin, sont publiées.
    Or, et ici, nous allons pouvoir admirer l'humour et la sagacité dont ont fait  preuve nos initiés, cette date va emprunter des méandres inattendus afin de nous mener à bonne fin.
    J'ai bien évidemment posé le mot devin afin de rappeler au lecteur cette fonction spécifique au mage de Salon de Provence.
    Ce qui va nous conduire à cette création :



    http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Devin_du_village

    Nous recommandons ici au lecteur d'être attentif aux dates successives attachées à celle-ci.
    1er mars 1753, ceci pour faire lien avec Michel de Notre-Dame, mais aussi et surtout 1er octobre 1768, date de la reprise par Mozart.
    Le 1er octobre 1684 décède Pierre Corneille.


    Un second chemin à partir de la même source va nous mener au même résultat, puisqu'il met en jeu cette fois-ci la personne de Sandro Boticelli, présenté également comme un des nautoniers du Prieuré de Sion , dont on nous dit qu'il serait né un 1er mars de l'année 1444 ou 1445.


    Un troisième chemin, dont nous devons taire l'origine pour les raisons exposées sur ce support hier, mais différent des deux précédents, et mettant en jeu un acteur essentiel de l'énigme,  va quant à lui, nous mener au 18 octobre, troisième date accolée à cette création artistique.


    La résultante étant toujours la même, tel un leitmotiv : Pierre Corneille.


    En ce 7 septembre 2011, l'auteur alain C . . . . . h


    Le lecteur voudra bien comprendre que sur cette partie de nos travaux intitulée  "Convergences " nous allons à l'essentiel, sans trop nous embarrasser du style, tant nous semble important de bien exposer, fut-ce de manière succinte, les différents " chemins " que nous empruntons.

    Un petit rajout avant de poursuivre, le 02 avril, dont nous avons souligné ci-dessus la correspondance avec Jean Jacques Olier ( voir strophe du Serpent Rouge consacrée aux fresques d'Emile Signol) est aussi la date de Saint Longis , nom qui, inversé, curieusement , va produire SIGNOL...Sans doute un des nombreux "hasards" émaillant notre étude...Ou bien choix judicieux?

    Mais continuons de relever les indices menant à Pierre Corneille.

    C'est dans l'oeuvre de l'abbé Boudet, la Vraie langue Celtique, que nous allons renouer avec cette indication, plus précisément dans le chapitre "Les noms divins " ou par deux fois Henri Boudet cite comme référence 
    Cornelius a Lapide, personnage qu'il sera utile de présenter :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Corn%C3%A9lius_a_Lapide

    Aussi nommé Corneille de la Pierre...

     http://books.google.fr/books?id=Y51jAAAAMAAJ&pg=PA219&lpg=PA219&dq=cornelius+a+lapide+corneille+de+la+pierre&source=bl&ots=BTuDZ5n55-&sig=21xAXfDfxd1lYH7vXx03j55wd5k&hl=fr&ei=4zBqTv-5D4eF4gS8lsCBBQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CBwQ6AEwAA#v=onepage&q&f=false

    Citation une première fois en citant le nom Eloha ( elohim ) , et là, subtilité de notre curé, faudra-t-il se livrer à quelque décryptage en faisant jouer la " langue des oiseaux " discipline qui n'étonnera guère celles et ceux familiarisé ( e )s aux facéties contenues dans l'ouvrage.

    Eloha ou Eloi du nom du saint dont il sera utile de préciser l'historique :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89loi_de_Noyon



       Saint Eloi fêté le 1er décembre. Mais aussi ainsi que le précise ce dicton météorologique :
    « Saint Éloi le gourmand, sa fête arrive deux fois par an. » (fête le 1er décembre et le 29 juin).


    Suivons donc ce fil d'Ariane, 29 juin , seconde étape, second dicton :
    • « Quand Saint Pierre laisse de la pluie à la Saint Martial (30 juin), Saint Martial donne des essaims autant qu'il en faut » ou «  quand Saint-Pierre ne lave le chemin, Saint-Martial le fait comme il faut » ou « Saints Pierre et Paul lavent la place à la Saint Martial.»
    Nous voici à la Saint Martial, le 30 juin.
    Et c'est à cette date que nous obtenons le résultat recherché :


    Naissance de :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Dominique_Cassini_%28Cassini_IV%29 

    C'est bien évidemment le 18 octobre qui est ici à prendre pour le résultat que cette date va produite ( voir ci-dessus intervention précédente sur le 18 octobre et le Devin du village  )


    Impressionnant, n'est-ce pas ? 

    Voyons maintenant la seconde " entrée " ayant pour référence Cornelius a Lapide dans la VLC.
    Sur le nom Shaddaï ( Boudet écrit Saddaï - est-ce pour insister sur la lettre shin la prononciation ssss ou she ?
    Voir shibboleth et Galaad Eglise Saint-Sulpice dans nos travaux précédents sur  Delacroix ). 
    Nous aurions tout lieu de le penser...Tant la boucle, ici, semble atteindre son objectif : qui est de former un Cercle.
    Sur le mot Shaddaï il y a beaucoup à dire et à écrire, signalons pour débuter que ce nom apparaît pour la première fois dans l'Ancien Testament , dans le Livre de la Genèse ( Béréshit) et plus précisément en Genèse 17-1 ....Traduisez  ces deux chiffres en correspondance de date....


    El Shaddaï (El de la montagne - le D.ieu de la montagne -  Genèse 17,1 )
    Une interprétation midrashique  en fait un acrostiche : SHomer Dlatot Israel (Celui qui garde les Portes d'Israël ). C'est pourquoi ce Nom est gravé sur les mezuzot, boîtiers comportant un parchemin avec un fragment du texte biblique, placés sur les linteaux des portes (excepté les lieux d'hygiène, comme la salle de bain ou les toilettes).




    Il sera aussi O combien pertinent de relever la valeur numérique de Shaddaï en hébreu = 314.
    Ainsi que de placer en perspective cette valeur numérique-ci vis à vis de celle d'un autre mot dont nous avons déjà relevé la singularité ( voir étude sur Saint Sulpice dans nos travaux précédents sur Delacroix ) ce mot étant galgal :

    extrait d'un forum sur la guématrie :

    "Autre chose sympa, l’expliquation de PI selon la Guematria:
    Un mot en Hébreu nous donne l’origine de PI  ( 3.14 )
    Galgal, traduction en français ROUE (cercle)
    Calculons la guematria de niveau 2 de Galgal, qui s’écrit Guimel- lamed- Guimel- lamed, c’est-à-dire en prenant la valeur de chaque lettre que composent Guimel et Lamed … See More
    Nous trouvons pour
    Guimel= 83 (Guimel=3 Youd=10 mem=40 lamed=30)
    Lamed=74 (lamed=30 mem=40 dalet= 4)

    Total des 2 lettres 157 et pour le mot en entier 2 X 157 = 314
    Qui dit mieux ?"

    Un second sens du mot galgal dans la Bible étant le dévoilement.


    Mais il sera temps par la suite d'approfondir le sens de ce mot au regard de notre Enigme, soulignons juste que ce mot galgal, dans la langue française, revêt un sens précis que nous ne pouvons manquer de relever lorsque nous le tirons de l'oeuvre de l'abbé Boudet : La Vraie Langue Celtique ou le Cromleck de Rennes-les-Bains ...


    Un galgal (ou cairn) est un mégalithe de l'ère du Néolithique. Pour mieux évoquer la forme des cavernes sacrées des âges anciens, les dolmens étaient recouverts soit d'une butte de terre soit d'un monticule de pierres. Quand ils ont conservé leur monticule de pierres jusqu'à nos jours, on les appelle « galgals » ou « cairns ». Si leur butte de terre est toujours là, ce sont des « tumulus».
    Le mot « galgal » vient du redoublement de l’ancien français gal (« cailloux », cf. galet).

    Nous laissons le lecteur " digérer " ces informations en lui donnant rendez-vous prochainement pour d'autres surprises.


    La principale de celles-ci étant la clef de Nicolas Poussin...


    En ce 9 septembre 2011, fête de la  Saint Alain , l'auteur alain C . . . . . h