jeudi 29 décembre 2011

CODE BOUDET : LA CHASSE AU SANGLIER

Nous invitons le lecteur à prendre connaissance d'un des montages les plus singuliers que j'ai eu à observer dans l'essai de l'abbé Boudet : La Vraie Langue Celtique, dont nous avons déjà exploré quelques méandres, et démontré, nous l'espérons, que les renvois vers des sources bibliographiques et vers des auteurs, étaient à considérer sous l'angle ou le prisme des concordances ou correspondances de dates du calendrier.


La Chasse au sanglier ne fonctionne pas autrement - et, subtilement, des indices sont inclus dans le texte, ou hors texte, nous nous en expliquerons plus tard.


Le plus simple pour débuter sera pour le lecteur de lire cet extrait qui débute page 298 :


http://jf.furlan.free.fr/Lire.php


Nous débuterons par la citation de Jacques du Fouilloux - page 299 :


Jacques du Fouilloux était un gentilhomme du Poitou, nous ne disposons pas de dates le concernant.
 Grand chasseur, on lui doit un livre célèbre sur la vénerie, dédié à Charles IX.
C'est sur Charles IX qu'il conviendra  de rechercher une date en correspondance, à savoir le 30 mai pour son décès auquel répondra en effet miroir la date de naissance de Henri de Bonnechose, le 30 mai 1800, personnage dont nous savons, grâce aux travaux d'autres chercheurs, que celui-ci est un des protagonistes, au sein du clergé, de l'énigme de Rennes-le-Château.


Poursuivons notre exploration des profondeurs : page 301 - source bibliographique fr. Noël - Dictionnaire de la fable - 1803 -
Jean-François-Joseph-Michel Noël, né le 12 janvier 1756 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 29 janvier 1841 à Paris, est un humaniste et un homme politique français, auteur d'un dictionnaire de la Fable en deux Volumes.
C'est sur la date de naissance et de décès de cet auteur, 12 janvier, 29 janvier, que le cryptage va s'opérer, nous avons ici un système complexe dont nous pourrions dire qu'il va fonctionner selon le principe des poupées russes.
Débutons par le plus simple :
12 janvier : occurence avec Charles Perrault - c'est aussi la saint Arcade ou Arcadius - renvoyant par association d'idée sur Arcadie.
29 janvier :
Date en lien avec Louis Racine - ce qui nous mène encore une fois sur le périmètre géographique du théâtre de l'Odeon et la rue Pierre Corneille( voir nos travaux précédents )
C'est aussi la fête de saint Sulpice ( le sévère ) renvoie par homonymie à saint Sulpice ( de Bourges)  et ce y qui est associé dans l'énigme.
Mais,à la date du 29 janvier, et ici nous entamons la découverte d'une autre dimension cachée correspond aussi  tout autre chose :


29 janvier 1781: Première à Munich  de l'Opéra séria en trois actes, composé par Wolfgang Amadeus Mozart «Idomeneo, re di Creta » .
Pour nous convaincre que ce lien se doit d'être établi, il sera nécessaire de se référer au journal du Magasin pittoresque, dont l'abbé Boudet s'est inspiré pour la chasse au sanglier :


http://www.societe-perillos.com/mysteria01.html


p.187 il sera ainsi question, et ce passage là n'est pas repris par notre abbé,puisque nous sommes dans une dimension cachée ,ceci explique pourquoi le hors texte est aussi important,  de :" Ensuite, parmi une foule de traits, on se rappelle les affreux évènements que causa la chasse au sanglier de Calydon "


Dans la mythologie grecque, Idoménée (en grec ancien  Ἰδομενεύς / Idomeneús), fils de Deucalion et petit-fils de Minos, est roi de Crète.
La correspondance mythologique est sur Deucalion :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Deucalion_fils_de_Minos


Que lecteur se rassure, nous ne sommes qu'au début de l'opération de décryptage...


Demeurons donc sur Idoménée, outre Mozart , ce mythe inspira une oeuvre de :
Antoine Danchet - date de décès 21 février - lien avec Isaac Sylvestre de Sacy dont nous retrouvons la trace de manière indirecte, ainsi que soulignée par une chercheuse dont nous avons déjà fait part plus avant pour son travail sur les sources bibliographiques de La Vraie Langue Celtique ( VLC ) :


" p. 10 ( de la VLC ) : "La grammaire comparée des langues européennes de François Bopp a expliqué ensuite..."
Bopp (François)  philologue allemand né à Mayence 1791, mort en 1867. Initié à la philosophie de l'Orient, il résolut de l'éclairer par celle des anciennes langues de l'Inde, et grâce à une modique pension que lui fit le roi de Bavière , il vint à Paris où il fut soutenu par Silvestre de Sacy. "


Ici, nous allons recouper Labouisse-Rochefort également par sa date de décès un 21 février.
Lequel va nous mener au 04 juillet, cette fois par sa date de naissance !
04 juillet qui nous mène à Chateaubriand, autre source bibliographique dans la VLC ! 


Sur la date du 04 juillet, nous invitons le lecteur à se référer à ce que nous en disions précédemment, dans notre exposé du( 12 décembre 2011 - Le Code Boudet ).

Si nous recoupons des éléments en nombre parmi ceux que nous avions déjà en notre possession, cela signifie que ce dispositif ci, que nous avons le plaisir de commencer à  dévoiler aujourd'hui, est d'une extrême importance, et, ainsi que le lecteur l'observera par la suite, nous pourrions dire qu'il est une synthèse des composants menant à la solution.
Mais, fidèle à notre principe de ne pas TOUT DIRE, nous tairons certains liens.


Mais avons-nous épuisé les correspondances initiées par notre oeuvre Idoménée ?
Certes non... Un autre auteur : Crébillon ( Père ) utilisera le même matériel mythologique dans une de ses créations.
Crébillon né un 13 janvier :
13 janvier
  • 1129 : Ouverture du concile de Troyes, convoqué par le pape Honorius II, pour la reconnaissance de l'Ordre du Temple.
  • 1147 , décès de Robert de Craon,deuxième Grand-Maître des Templiers.
Christianisme, nouvel an orthodoxe dans la nuit du 13 au 14 janvier, selon l'ancien calendrier julien. 


Crébillon décès un 17 juin :


 en 1714, le 17 juin :  naissance de César-François Cassini, astronome français. 
 Lien avec l'Observatoire de Paris, et donc le Méridien. 


Revenons maintenant à notre thématique de la chasse au sanglier choisie consciencieusement par l'abbé Boudet.
Selon un certain nombre d'auteurs, le mythe du sanglier d'Erymanthe, dont l'abbé Boudet nous entretient est associé, sur le plan hermétique, à un arcane très précis :


EURYSTHEE: Roi de Mycenes, ayant obtenu le pouvoir de commander à Hercule, il l'obligea d'aller tuer un Sanglier furieux qui ravageait toute la montagne d'Erymanthe; Hercule y fut, s'en saisit et le porta tout vivant à Eurysthée. Cette fable, selon l'explication des Alchymistes ou Philosophes Spagyriques, est le symbole du grand œuvre. Le mont Erymanthe signifie le vaisseau philosophique, qu'ils appellent assez communément Montagne. Le Sanglier est le mercure philosophique, dont les esprits corrosifs détruisent tout ce qu'on leur donne à dissoudre. Hercule est l'Artiste qui travaille ce mercure, le lie en le fixant; et après l'avoir animé de son soufre, en fait la pierre philosophale, et la médecine universelle représentée par Eurysthée.

Fabri dit que cette fable dévoile ce que les Philosophes se sont toujours efforcés de cacher, c'est-à-dire la matière de leur pierre, et l'endroit où l'on doit chercher cette matière. Voici comment il s'explique dans son livre intitulé : Hercules Piochymicus. Sous cette fable, dit-il, est caché le plus excellent et le plus admirable secret de la Chymie; car elle nous découvre ce que les Philosophes ont enveloppé du ténébreux voile de l'énigme. Elle nous montre quel est, et en quel lieu l'on trouve ce Sanglier d'Erymanthe, qui est le vrai mercure des Philosophes; car de la fleur de Vénus et du mercure vulgaire, préparés comme il faut, l'on tire cette vapeur onctueuse dont les Philosophes font tant de cas. On le voit par le terme d'Erymanthœus, qui ne signifie autre chose que fleur de Vénus; car Erycine était un surnom de Vénus, et Anthos en grec, signifie Fleur en français. Je laisse au Lecteur savant dans la Philosophie Spagyrique à juger si Fabri était Philosophe, ou s'il en donne à garder, comme ces Messieurs ont coutume de faire. On trouve cette fable et les autres travaux d'Hercule expliqués dans le 5° livre des Fables Egypt. et Grecq. dévoilées.

Dans : « Dictionnaire Mytho-Hermétique » de Dom Antoine-Joseph Pernety
Il serait ici très tentant de s'arrêter sur ce résultat qui en satisferait plus d'un, dans la résolution de l'énigme de Rennes-le-Château.
Ach so ! C'est donc d'alchimie qu'il s'agit !

Mais nous verrons par la suite, que, décidément, avec nos initiés semant des indices comme d'autres sèment du blé, il est prudent de creuser la question, afin d'atteindre la troisième dimension cachée, celle qui dit tout et le reste...Ce dont nous entretiendrons le lecteur très prochainement...
en ce  29 décembre d'encore 2011, l'auteur alain C . . . . . h










































dimanche 25 décembre 2011

COMPLEMENTS D'ENQUETE

Nous souhaitons au lecteur de joyeuses fêtes sans excès.
Trop d'excès de tout en ce bas monde. Le mieux est de ne pas trop en rajouter, garder la distance...

Nous avons placé ce nouveau chapitre sous le titre de " Compléments d'enquête " afin de faire profiter le lecteur de développements opérés sur un certain nombre de résultats que nous avions déjà publié.

Aujourd'hui, nous proposerons au lecteur une lecture logique de certains éléments - Asmodée dans l'église de Rennes-le-Château - Fresque de la montagne fleurie - la raison de leur présence.

Une fois n'est pas coutume nous débuterons par un lien sur un échange qui a eu lieu sur un forum dédié à l'énigme de Rennes-le-Château- ici il est question de l'oeuvre cryptée de Maurice Leblanc:

http://www.i-services.com/forum/messages.php?page=23&uid=28736&sid=10894&idsujet=756406&pgi=0#bottom

Nous attirons l'attention du lecteur sur une date : le 18 aout 1634 :

 " Passons également sur les du Reffuge et les Bréauté pour étudier plus en détail les Lemariner. Adrien de Bréauté vendit le 18 août 1634, la seigneurie de Cany à Pierre le Marinier, fils de Louis Lemarinier et d’Angélique de Reffuge. Ce Pierre le Marinier construisit, de 1640 à 1646, avec François Mansart, frère de l’autre, un magnifique château à Cany, en remplacement d’un ouvrage plus ancien, mais sur les rives même de la Durdent (je vous avis bien dit que l’on retrouverait la Durdent ), dont on reparlera tout à l’heure. "


Le lecteur averti sait notre prédilection pour les dates du calendrier, ou des calendriers, et leur utilisation,nous allons démontrer maintenant le système logique , objectif, qui sous-tend un ensemble en l'église de Rennes-le-Château.
Ici nul artifice, ni, au grand détriment des illusionnistes de salon, nulle tour de passe passe :
 -  le 18 aout est fêtée sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, vous savez, celui qui se convertit au christianisme suite à la vision d'une croix dans le ciel  :

http://fr.wikipedia.org/wiki/In_hoc_signo_vinces


Par ce signe tu le vaincras ( sentence maintes fois reprise par les chercheurs de l'énigme ) puisque accolée en l'église de Rennes-le-Château à Asmodée qui n'en demandait pas tant.


Sainte Hélène :

Le nom de « Vraie Croix » a plus particulièrement été donné à un ensemble de reliques remontant à la croix découverte par sainte Hélène au début du IVe siècle. Découpé en plusieurs fragments et dispersé entre plusieurs sanctuaires chrétiens, en particulier Jérusalem et Constantinople, le bois de la Vraie Croix représente au Moyen Âge une relique très répandue. À partir du XIIIe siècle, nombreux sont les sanctuaires qui prétendent en posséder des fragments.


Le lecteur désireux d'enrichir ce lien peut trouver sur internet des pages intéressantes.
Poursuivons notre développement :

Si Maurice Leblanc nous livre une indication géographique, celle-ci recoupant en partie ce qui vient d'être développé ci-dessus, par la date du 18 août, peut-être l'information dans sa totalité sera-t-elle contenue dans la date entière : 18 aout 1634.


Le 18 août 1634, un autre évènement va se produire, évènement qui marquera, les esprits et les consciences, ceci de manière durable :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Urbain_Grandier

Asmodée est demandé au parloir des annales historiques :


http://books.google.fr/books?id=FKtcjrr_Of4C&pg=RA1-PA194&lpg=RA1-PA194&dq=urbain+grandier+et+asmod%C3%A9e&source=bl&ots=CDa42ERXsh&sig=NrPB7WadlnKXVFoMS6mZ9gQiB5o&hl=fr&sa=X&ei=5k73Tof9MMf78QO9jIXBAQ&ved=0CB4Q6AEwAA#v=onepage&q=urbain%20grandier%20et%20asmod%C3%A9e&f=false

Notons au passage pour être tout à fait complet dans notre démonstration qu'Urbain Grandier fut exécuté place de la Sainte Croix...

Voici donc le début de la solution du curieux agencement sis en l'église de Rennes-le-Château, et élaboré par Bérenger Saunière.
Le début car, dans cette histoire, tissant des liens avec l'Histoire afin de créer une mécanique de décryptage des plus subtiles, rien n'est laissé au hasard, tout se tient et s'enchevêtre, à l'instar d'une fondation ou chaque élément a sa place qui lui est réservé, afin que l'ensemble tienne.

Et, curieux que nous étions de ce résultat, nous avons eu l'idée d'associer deux résultantes, dont nous estimons que celles-ci recèlent LA solution ultime :

- la Vraie Croix - considérée ici comme véhicule pour des indices ou, si le lecteur favorise cette explication - éléments d'un fil d'Ariane.

et le second qui va apparaître :
le 18 aout 1563 décès de Etienne de La Boétie, écrivain français.


Et là, lecteur, je te sens t'interroger " Que vient faire ce mr  de La Boétie dans cette galère ??? "
Il vient faire qu'il entretient un lien historique avec une famille que nous avons déjà évoqué :
 
" L'écrivain ( Etienne de La Boétie)   se repose alors quelques temps chez Richard de Lestonnac, le beau-frère de Montaigne et un de ses collègues au Parlement. Etienne de la Boétie comprend qu'il va bientôt mourir, et dicte son testament. Il meurt finalement le 18 août 1563 à Germignan, non loin de Bordeaux. "


Richard de Lestonnac n'étant autre que le père de Jeanne de Lestonnac, dame dont nous avions trouvé la trace, pour les très bonnes raisons que nous invoquions alors, et que nous maintenons, sur la date du 02 février ( voir notre étude sur la date du 02 février et Les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin ).
Et voici donc le second élément qu'il nous fallait associer...à la Vraie Croix.


Ce que nous avons exécuté de manière logique : 02 février et vraie croix
Et voici la confirmation et la présence du "chemin " de la Vraie Croix en l'église de Rennes-leChâteau :


http://books.google.fr/books?id=7gQMAAAAYAAJ&pg=PA24&lpg=PA24&dq=02+f%C3%A9vrier+1668+et+vraie+croix&source=bl&ots=2JEDXfySzU&sig=-EeqItALh_dp7wvxaSKGGa61ZNw&hl=fr&sa=X&ei=4VX3To7DDpCAhQf5uZi_AQ&ved=0CCcQ6AEwAQ#v=onepage&q=02%20f%C3%A9vrier%201668%20et%20vraie%20croix&f=false


La date du 02 février ! IL EST PASSE EN FAISANT LE BIEN..

PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS = 22 lettres.
Nombre d'auteurs ont glosé sur ce chiffre, qui rajoute la valeur 2, à la phrase célèbre.
Et qui d'évoquer le nombre de lettres hébraïques, et pourquoi pas si nous sommes dans un jeu comportant x dimensions ? ou pour le dire plus clairement, une surdétermination du code, mais aussi, et de manière très simple : la présence de deux fois le chiffre 2.
Soit en date le 02/02 -

Afin d'achever ce cycle la fête de l'exaltation de la Vraie Croix a lieu le 14 septembre, fête de saint Corneille, pape, et, en 1712, date de décès de Jean-Dominique Cassini...


Est-il possible d'être plus clair ?

En ce 25 décembre - l'auteur alain C . . . . . h


A suivre : la Chasse au sanglier de l'abbé Boudet.




 








































lundi 19 décembre 2011

CODE BOUDET SUITE

Ainsi que nous l'avions précédemment remarqué, la référence bibliographique renvoyant sur Conrad Malte-Brun, géographe de son état, renvoyait par la date de son décès,14 décembre 1826, sur Nostradamus, cette fois sur la date de naissance du Maître, 14 décembre 1503.


Notons qu'en terme de calendrier républicain, le 14 décembre est nommé le jour de l'oseille...Tout un programme concocté par les bons soins de notre abbé Boudet, ne boudant  pas ici  son plaisir d'ajouter une pincée d'humour à son menu.

Nostradamus va nous mener par la date de son décès en 1566 au 02 juillet.
02 juillet, date se distinguant par cette occurence :

Calendrier de Jérusalem : Station à  Qiriat Yearim,  fête de l'Arche de l'Alliance.
Une présentation du site s'impose ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kiryat-Y%C3%A9arim

Qiryat-Yéarim (Abu-Ghosh, Qiryat el-`Enab) est situé à l'emplacement de la localité de l'ancien testament Qiryat Ye'arim. Abu Ghosh est à mi-chemin entre Jérusalem et `Imwâs. C'est une famille d'origine circassienne au XIXe siècle qui lui a donné leur nom : Abû Ghosh. Le nom biblique de Qiryat Ye'arim signifie « village de la forêt » alors que le nom moderne de Qiryat el-`Enab signifie « village des vignes ». Il y a un monastère de Bénédictins avec une église de style roman. Des fouilles effectuées en 1944 ont permis de retrouver les traces d'une église datant des croisades. Ce site qui avait abrité un temps l'arche d'alliance fut choisi par les Croisés comme lieu de pèlerinage pour commémorer le repas d'Emmaüs. Si sa situation à 11 km de Jérusalem était un argument, rien cependant au niveau historique ne venait étayer ce choix. Lorsque la situation les y contraignit les Croisés déplacèrent leur pèlerinage sur un second site.


Comme souligné ci-dessus, Qiriat Yearim se trouve à proximité d'un autre site digne d'intérêt :

http://www.abbaye-abugosh.info/spip.php?article43


Après avoir pris connaissance de cet aspect historique, nous retiendrons que ce site spirituel fut un moment donné baptisé sous la protection de saint Jérémie  "  du XVIème siècle à nos jours, tous les Occidentaux (…) donnèrent le nom de Saint-Jérémie au village du raisin. Ainsi en usaient encore, en 1957, le Consulat français de Jérusalem et le quai d’Orsay quand ils citaient Abu-Gosh"

Et puisque fil d'Ariane nous est tendu, suivons-le afin d'observer si, d'aventure,celui-ci se poursuit :

Saint Jérémie - Prophète est fêté le 1er mai.
Or, depuis 1561, par la grâce du roi Charles IX, il est de coutume de fêter une plante porte-bonheur : le muguet.
Et puisque nous sommes désormais coutumiers du système de renvois auquel l'on nous convie, nous ne pourrons manquer d'observer, dans  le calendrier républicain, le jour du muguet : le 26 avril.
Le 26 avril 1798 naît une figure artistique dont nous avons déjà amplement fait état, associé à l'énigme de Rennes-le-Château : Eugène Delacroix.
Lequel Eugène Delacroix, vis à vis de notre sujet, officia en l'église Saint-Sulpice de Paris.


Il sera utile de s'arrêter sur l'extrait de la Vraie Langue Celtique assorti de la référence bibliographique : Malte - Brun (p.50 - 51 ) :

" La variété blanche, Caucasienne, Arabe-
Européenne se reconnaît principalement à la
forme ovale de la tête, à la couleur de la peau
plus ou moins blanche, aux lèvres petites, aux
traits réguliers. Son centre principal serait en
Europe et dans l'Asie Mineure, l'Arabie, la Perse
et l'Inde jusqu'au Gange, et l'Afrique jusques et
y compris le Sahara. "
  " La variété Jaune ou Mongolique se reconnaît
à la face carrée, aplatie, au nez plus enfoncé,
aux yeux placés obliquement, à la peau olivâtre
et basanée. Elle aurait en quelque sorte son foyer
sur le plateau de la Grande Tartarie et du Thi-
bet.

  " La variété Nègre ou Ethiopique a le teintnoir ou noirâtre,
 le crâne déprimé, le nez épaté
et les lèvres grosses. Elle couvre la plus grandepartie 
de l'Afrique et quelques îles de l'Océa-nie. " (1)

(1) Géographie par Maltebrun

De manière on ne peut plus transparente dans cet extrait , l'abbé  Boudet nous entretient par le biais d'une métaphore, des Rois Mages.
La question à soulever ici est : est-il possible d'associer un fil d'Ariane menant à Saint-Sulpice ( par l'intermédiaire d'Eugène Delacroix ) aux Rois Mages ?

La réponse est contenue dans l'énoncé de la question, pour peu que nous prenions la peine d'aller quérir la solution sur la cathédrale Saint-Etienne de Bourges , à laquelle est associée Saint-Sulpice le Pieux.Celle-ci offre aux visiteurs que nous sommes un magnifique vitrail représentant les Rois mages :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Bourges_-_Cath%C3%A9drale_-_Vitraux_-72.jpg

Ceci en la chapelle De Breuil du nom de l'archidiacre Jean du Breuil.

Nous ne présenterons pas aux initiés à l'énigme de Rennes-le-Château cette magnifique cathédrale, nous soulignerons juste un élément complémentaire, ainsi que, par exemple,  le présente le site internet  les confins.com  :
" Il existe deux méridiennes très célèbres en France: il s’agit de celle de la Cathédrale de Bourges et de celle de l’église Saint-Sulpice à Paris. Toutes deux sont matérialisées par des lignes de cuivre. Toutes deux sont placées si proches sur l’axe du Méridien de Paris qu’on les confond généralement avec ce même Méridien de Paris ( nota : en fait le Méridien de Paris passe un peu en dehors de la cité de Bourges, en un village baptisé Saint Sulpice ... )la ville de Bourges,dont on dit qu'elle est le Centre de la France, et qui est connue aussi pour son célèbre alchimiste Jacques Coeur, au nom prédestiné pour cette ville centrale. Une autre particularité est que Bourges fut la ville où… saint Sulpice officia comme évêque. "
 
Nous voici donc en terrain maintes fois défriché, Saint-Sulpice étant fêté le 17 janvier, ainsi que sainte Roseline, tous éléments incorporés depuis longtemps dans l'écheveau complexe de l'énigme de Rennes-le-Château.

Le chemin, ou circuit, que nous avons parcouru ensemble pour parvenir à ce résultat O combien
signifiant, est, comme d'habitude, marqué du sceau de la logique.
Le lecteur, nous l'espérons, aura bien saisi que ce chemin ou circuit, importe autant que le point de chute final...


Voici donc une présentation succinte, qui ne prétend pas être exhaustive , des messages inclus de l'abbé Boudet dans la VLC.
Il nous semblait essentiel d'en extraire la quintessence et d'en partager le fruit avec le lecteur.


Nous exposerons bientôt nos conclusions à partir d'un autre matériel directement relié à l'abbé Saunière.
Nous démontrerons, là encore, la cohérence de ce que nous trouvons avec les éléments déjà en notre possession...


En ce 19 décembre 2011 - l'auteur alain C . . . . . h

lundi 12 décembre 2011

LE CODE BOUDET

Préambule : afin de présenter au lecteur une étude satisfaisante, nous repoussons à plus tard deux sujets :
1 ) Les sept dormants d'Ephese.
2 ) Carrières et catacombes de Paris - Le lien avec l'énigme de Rennes-le-Château


Nous ouvrons aujourd'hui un nouveau chapitre consacré à l'examen de La Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet, selon la méthode de concordance des dates, et l'usage des calendriers.
Comme le lecteur pourra le juger, les résultats ne souffrent ici d'aucune contestation, quoique certains puissent juger du contraire...
Libres à eux de nier des évidences.

Il nous a semblé opportun de débuter sur un constat dressé par d'autres chercheurs, qui ont relevé l'usage fréquent par notre abbé d'un mot, dans la VLC, mot  que nous pourrions qualifier de mot-clef : le mot blé.
Ainsi ce n'est pas moins de 32 fois que ce mot apparaît dans l'essai de l'abbé Boudet.
Notamment aux pages 166-167 et 294-295, ce qui ne doit sans doute rien au hasard...
Cohérent avec notre démarche, nous sommes allés quérir le jour du blé dans la calendrier républicain.
Qui nous amène à la date du 17 juillet : 
1793 : exécution de Charlotte Corday ( descendante de Pierre Corneille ) née le 27 juillet 1768. 
que nous avons précédemment croisé  - habitués que nous sommes aux renvois systémiques nous relevons à la date du 27 juillet - en 1759 - la date de décès de Pierre Louis Moreau de Maupertuis - que nous avons précédemment croisé, en l'église Saint-Roch de Paris.
Voir nos interventions précédentes.



Si système de concordance de dates ou de calendriers il y a dans la VLC, celui-ci pourrait trouver son illustration dans le choix de dates concernant des personnages cités par l'abbé Boudet . Sans prétendre être exhaustive, notre étude va donc s'attacher à un certain nombre de personnages illustres, cités par Boudet, dans sa bibliographie, ainsi que relevé par une chercheuse sur le lien suivant :

http://www.renneslechateau.com/francais/mclignon.htm


Nous débuterons par Louis Figuier, cité notamment page 255 à 257 de la VLC , dans cet extrait ou l'abbé Boudet nous entretient de la pierre de trou ou hache celtique..
Louis Figuier né le 15 février 1819 - à cette date du 15 février correspond dans la modalité du calendrier républicain le jour du noisetier :
Le noisetier serait une des rares espèces de l'ère secondaire(- 70 millions d'années) à avoir survécu jusqu'à nos jours.
De tout temps le coudrier apparaît dans la littérature si l'on s'en réfère notamment à Virgile : il est dit dans les Bucoliques  que les coudriers et les fleuves ont été témoins de la douleur des nymphes occasionnée par la mort de Daphnis. Par ailleurs, dans Tristan et Iseult , l'amour existe à la seule condition que le coudrier puisse s'enlacer au chèvrefeuille. Dans le cas contraire, les deux dépérissent. Le coudrier a toujours été source d'histoires magiques. Il était utilisé pour des incantations par les druides. Il a aussi été utilisé par les sourciers et les chercheurs d'or.

A la date du 15 février  1288 élection du Pape Nicolas IV ( voir notre étude sur la pierre de Coume Sourde)

Le 15 février est aussi la date choisie dans l'église orthodoxe  pour la fête de la Chandeleur, date ou était fêtée, dans l'antique Rome, le dieu de la fertilité : Lupercus.
Sur la Chandeleur voir notre étude sur Nicolas Poussin et le 02 février...
Date également attribuée au culte de l'ours.

Le lecteur aura bien l'obligeance de reconnaître que jusqu'ici nous recoupons des éléments essentiels dont nous avions déjà fait part, à partir d'autres sources... 


Le culte de l'ours du 02 février pourrait ici se prêter à un montage des plus subtils de notre abbé, qui semble avoir plus d'un tour dans sa besace.
En effet l'extrait dont il est question dans la VLC cite la ville de Pressigny le Grand - ville à laquelle est associée Saint Martin de Tours - apôtre de la Gaule, dont la fête se situe le 8 novembre - Saint Martin de Tours décède le 08 novembre 397 et est enterré le 11 novembre.
La période du 08 au 11 novembre est d'ailleurs nommée l'été de la Saint-Martin.

Martin, évêque de Tours depuis le 4 juillet 371, visitait fréquemment les nombreuses paroisses qu'il avait fondées en Touraine. C'est à Candes-Saint-Martin, au confluent de la Vienne et de la Loire, que Martin de Tours mourut le 8 novembre 397, à l'âge de 81 ans. Martin s'y rendit afin d'apaiser un désaccord entre les clercs. Une fois la querelle règlée, il voulut repartir, mais il sentit que ses forces l'abandonnaient, et mourut au milieu de ses frères. Au moment de sa mort, des moines de Ligugé et de Candes étaient présents. Les deux congrégations revendiquaient la dépouille de Martin. Dans la nuit, défiant la vigilance des Poitevins, les Tourangeaux firent passer le corps par une fenêtre de l'oratoire dans l'intention de lui faire remonter le cours de la Loire jusqu'à Tours. Selon la légende, les Tourangeaux embarquèrent la dépouille du saint évêque dans la lumière et les chants ; tout au long de la remontée de la Loire du bateau funéraire, et plus particulièrement au lieu dit "le Port d'Ablevois" (Alba via - la voie blanche) à la Chapelle Blanche (Capella alba), aujourd'hui appelée La Chapelle-sur-Loire, les buissons des rives se couvrirent de fleurs blanches. C'est de là que vient l'expression "l'Été de la Saint Martin". Parvenus à Tours, le 11 novembre, ils furent accueillis par des milliers de Tourangeaux. Le saint évêque fut alors enterré dans le cimetière chrétien.

 L'expression "l'Été de la Saint Martin", employée au 17e siècle par Madame de Sévigné, s'appuie sur la légende du refleurissement des bords de Loire, un renouveau du printemps à l'entrée de l'hiver. À cette période de l'année, touchée par des vents de sud-ouest, la France bénéficie souvent d'un redoux dans les jours qui suivent la Saint Martin. On parle à cette occasion de "l'Été de la Saint-Martin".

Or, le 11 novembre au moyen-âge est la fête de l'ours.


Le lecteur pourrait penser que cette extension-ci force un peu le trait.
Ainsi que nous allons le démontrer, elle se justifie, et de quelle manière !
Saint Martin est également fêté le 04 juillet, jour anniversaire de sa consécration épiscopale.
Le 04 juillet est le jour ou la Terre est à son aphélie, c'est à dire la plus éloignée de son étoile centrale : le soleil. Date fluctuante du fait du phénomène de la précession des équinoxes.


Mai aussi, surtout devrions-nous écrire ! Le 04 juillet 1187 se déroule un évènement majeur dans l'Histoire des croisades, qui marquera la défaite du camp occidental de manière durable : la bataille de Hattin.
Durant cette bataille,qui se déroula près de Tibériade, aux cornes de Hattin, l'armée croisée perdit une relique de la plus grande importance : la Vraie Croix ...
Mais par-dessus tout, et à ma connaissance aucun chercheur n'a encore établi le lien suivant, une tradition assez tardive remontant au moyen-âge, fait correspondre les cornes de Hattin au lieu ou se déroula le sermon sur la montagne de Jésus !


http://books.google.fr/books?id=-bqbBLHw0ocC&pg=PA55&lpg=PA55&dq=cornes+de+hattin+et+sermon+sur+la+montagne&source=bl&ots=z9TVlbDe9f&sig=DYNvhBc17YCZ7_0VUT33OHw9x-4&hl=fr&ei=x_TlTqZ2g5U6qa7UxAQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CB4Q6AEwAA#v=onepage&q=cornes%20de%20hattin%20et%20sermon%20sur%20la%20montagne&f=false

Ici, le lecteur voudra bien prêter toute son attention.
L'église de Rennes-le-Château s'orne d'une fresque des plus connue de la part des chercheurs : la fresque de la montagne fleurie illustrant ce passage des évangiles du sermon sur la montagne !
Et voici comment nous renouons avec un élément majeur de l'énigme, en lui apportant l'éclairage nécessaire.
Entre autres,et donc de manière non  exclusive,  ce lien à effectuer avec la date de la Chandeleur du 02 février ( voir notre étude Nicolas Poussin ).

J'indiquais plus haut que l'extension du principe trouverait sa justification.
Voici comment : notice bibliographique de la VLC -   Vicomte De Chateaubriand.

Né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 -
le 4 septembre 1784 décès de César-François Cassini, comme l'ensemble des membres de la famille Cassini résida à l'Observatoire de Paris, et travailla sur le Méridien.
le 4 septembre est aussi la saint Moïse - prophète de l'ancien testament.


Chateaubriand décède le 04 juillet 1848 ...
extrait de la VLC ou est cité Chateaubriand ( itinéraire de Paris à Jérusalem ) :


<< Plusieurs voyageurs, entre autres Troïlo et d'Arvieux, disent avoir remarqué des débris de murailles et de palais dans les eaux de la mer Morte. Ce rapport semble confirmé par Maundrell et le père Nau. Les anciens sont plus positifs à ce sujet ; Josèphe, qui se sert d'une expression poétique, dit qu'on aperçoit au bord du lac les ombres des cités détruites. Strabon donne soixante stades de tour aux  ruines de Sodome, Tacite parle de ces débris : comme le lac s'élève ou se retire selon les saisons, il peut cacher ou découvrir tour à tour les squelette des villes réprouvées. » 


Considérant que, sans doute, chaque extrait de la VLC renvoyant à une source bibliographique serait codé selon la même méthode de correspondance de dates, il sera utile de s'arrêter ici sur Strabon, auteur antique et géographe, dont l'ensemble de l'oeuvre sera  traduite pour la première fois  par l'érudit italien Guarino Véronèse au XV ème siècle et vis à vis duquel nous retiendrons la date de décès : un 14 décembre.
Date, au demeurant, en rapport avec un autre auteur cité en source bibliographique dans la VLC : Conrad Malte Brun -  Géographe de son état - décédé également un 14 décembre.

14 décembre qui est aussi la date de naissance de Nostradamus ( présenté, on le sait, comme un des Nautoniers du Prieuré de Sion ).
Ceci ouvre un nouveau circuit à effectuer que nous observerons plus tard.


Henry de Maundrell :


Henry Maundrell (1665-1701) était  universitaire à l'Université d'Oxford et par la suite un ecclésiastique qui a servi à partir de 20 Décembre 1695 comme aumônier de la Compagnie du Levant en Syrie . Son Voyage d'Alep à Jérusalem, à Pâques 1697 AD (Oxford, 1703), qui avait ses origines dans le journal qu'il emportait avec lui lors de son pélerinage de Pâques  en 1697, est devenu une référence. Il a été inclus dans des compilations de récits de voyage du milieu du 18ème siècle,  et a été traduit en trois langues supplémentaires:. françaises (1705), néerlandais (1717) et allemand (1792).
La date de référence ici, est celle du 20 décembre sur laquelle nous trouverons :

- en 1582 adoption du calendrier grégorien en France ou l'on passe directement du 9 au 20 décembre.
- fête de Abraham - Jacob - Isaac - Esther 
- fête de saint Ursan disciple de Saint Columban ( étymologie Ours )


Tacite dont nous retiendrons le rapport historique suivant :
Livre V : Titus devant Jérusalem
Événements de l'année 70. Siège de Jérusalem par Titus.


En clair, dans cet extrait, et ceci est un procédé utilisé par l'abbé Boudet, nous assistons à une dissimulation, sous un propos historique, d'un autre évènement historique, celui-ci en lien direct avec notre énigme de Rennes-le-Château : l'objet de notre quête.

"comme le lac s'élève ou se retire selon les saisons, il peut cacher ou découvrir tour à tour les squelette des villes réprouvées " ceci est à lire avec prudence, et là également, Boudet nous livre une clef, celle-ci étant à appliquer sur le terrain.
Mais ceci est chose connue des chercheurs...

Nous clôturerons notre intervention par une facétie à laquelle se livre l'abbé Boudet :
source bibliographique citée - Daubenton


" Les Numides étaient possesseurs de magnifi-ques chevaux, et on sait avec quels soins minu-tieux les Africains les élèvent afin de leur com-muniquer toutes l'énergie nerveuse et l'ardeurqu'ils désirent voir en eux. Néanmoins, malgréla vigueur de ces excellentes bêtes, les Numidesétaient impuissants à traverser les immenses
 déserts de l'Afrique; le chameau seul était propre à parcourir ces vastes solitudes, à cause de-son extrême sobriété et de la disposition singu-lière de son estomac qui renferme une pocheremplie d'eau, (1) constituant une admirable ré-serve qui lui permet de passer plusieurs jours sansboire. "
 
1 ) Daubenton- Cuvier


Daubenton dont la sépulture se trouve au Jardin des Plantes de Paris, précisément au sein du Labyrinthe -Lieu prédestiné -  Et c'est précisément en ce lieu que l'on trouve ceci :


http://www2.saf-lastronomie.com/csmp/arr5n/centrea58.html
Est-ce assez clair ?

Quant à Cuvier, s'il était question ici de contraindre l'opacité d'un essai comme la VLC de Boudet en lui conférant un éclairage nouveau, il ne tient qu'à nous de découvrir ce qui suit :

Jean Léopold Nicolas Frédéric Cuvier, dit Georges Cuvier (il porta aussi les surnoms de Dagobert et de Chrétien), né à Montbéliard  le 23 aout 1769 et mort à Paris le 13 mai 1832,  est un anatomiste français, promoteur de l'anatomie comparée et de la paléontologie.

Sur la date du 23 aout nous trouverons François de Joyeuse, décès en 1615.
13 mai - jour de la Valériane et en 1239 - Bûcher cathare au Mont-Aimé .

Toutes choses relativement en rapport avec les arcanes de notre énigme, que cela soit sur le plan de l'Histoire, ou du mythe, ou encore de l'indice géographique.

De manière plus claire, nous présenterons une synthèse de l'ensemble des indices sur ce chapitre, après en avoir exposé le matériau un peu brut, nous nous en excusons auprès du lecteur.

A suivre - d'autres surprises - en ce 12 décembre 2011 , l'auteur alain C . . . . . h









































lundi 5 décembre 2011

GERMIGNY DES PRES

Comme annoncé précédemment, et pour faire écho à nos propres recherches, nous avons le plaisir de proposer au lecteur une synthèse du travail d'une consoeur chercheuse sur Germigny-des-Prés : Geneviève Béduneau, que d'aucuns connaissent peut-être pour la qualité de ses interventions lors de conférences.

Nous poursuivrons quant à nous notre chemin suite à cette intervention :

 

" Il y a quelques années, j’ai analysé comment Plantard et ses « plumes autorisées » (de Sède, Chaumeil à ses débuts, Baigent, Leigh et Lincoln principalement) avaient transposé des événements historiques réels pour construire leur grande saga du Prieuré de Sion qui n’a, elle, aucune consistance historique. Dans cette démarche dont j’ai déjà publié les résultats chapitre après chapitre  dans la revue Liber Mirabilis, la date du 17 janvier, fête de saint Antoine, m’a servi de fil d’Ariane. Il m’a d’abord mis sur la piste de l’ordre des Antonins et de leur lien étroit avec la descendance de saint Guilhem, cousin de Charlemagne, duc d’Aquitaine puis moine de Gellone. Or les Antonins furent un ordre de médecins, d’astronomes et d’alchimistes. Un des alchimistes les plus célèbres, Nicolas Flamel, affirme avoir réussi le grand œuvre un 17 janvier grâce au livre d’un certain Abraham le Juif et à l’enseignement de maître Canches, un médecin juif rencontré sur le chemin, au retour de Compostelle. Mais cet initiateur meurt en arrivant à Orléans. La plupart des commentateurs notent que ce récit est d’abord symbolique et décrit le processus du Grand Œuvre.

Le pèlerinage de Compostelle, selon sa légende, fut créé en 813, à la fin du règne de Charlemagne. Or à cette époque, l’évêque d’Orléans n’était autre que Théodulf, un des piliers de la renaissance carolingienne. Né vers 750 d'une famille originaire de Saragosse, il se serait réfugié à Narbonne après l'échec de la rébellion de 778 ; à moins qu'il ne soit né dans cette ville, il existe une incertitude historique à ce sujet. Nous le retrouvons jeune homme au monastère de Lorsch en Rhénanie, où il se signale par une activité de poète et de liturge. En 781, il est présenté à la cour de Charlemagne dont il devient l'un des conseillers. Deux ans plus tard, il est sacré évêque d'Orléans et reçoit en plus le gouvernement des abbayes de Saint-Aignan, Fleury, Saint-Liphard et Saint-Mesmin. C’est à lui que Charlemagne confie la définition de la discipline du clergé, l’organisation des écoles en milieu rural et même la justification théologique de la réforme de l’Eglise en cours depuis Charles Martel. Autant dire qu’il s’agit d’un personnage considérable. Parmi les épisodes de sa vie, notons qu’il fut l’un des missi dominici envoyés dans la zone frontalière récemment reconquise sur les Arabes d’Espagne, la région de sa jeunesse entre Narbonne et Carcassonne. C’est par le poème dans lequel il décrit son périple que nous connaissons l’existence de la cité de Rhedae. Plantard et ses épigones l’associent étroitement à la saga de Rennes le Château. Ils le citent aussi par allusion lorsqu’ils font épouser à Sigebert IV une princesse wisigothe nommée Gisèle ou Gisla. Or il n’en existe qu’une connue de l’histoire, la propre fille de Théodulf. En effet, il n’est devenu moine qu’après son veuvage, son épouse n’ayant probablement pas survécu à la naissance de l’enfant. Elle ne pouvait pas épouser un Sigebert qui avait vécu un bon siècle plus tôt mais l’emploi de son prénom insistait sur Théodulf.

Il fallait donc s’intéresser à ses œuvres. En 806, Théodulf fait construire par Odo l'Arménien[1] un oratoire dans sa villa privée, à quelques kilomètres d'Orléans. Il utilisait déjà ce domaine campagnard plutôt que le palais épiscopal pour réunir les érudits et les chercheurs de son diocèse ou pour des rencontres avec des intellectuels d'autres cités, pour l'équivalent, en somme, de nos actuels colloques et séminaires. L'oratoire fut dédié à saint Germain d'Auxerre et sainte Geneviève ; la villa prit alors le nom de Germiniacum, « chez Germain », qui deviendra Germigny en langue romane. Mais l'ancien nom du domaine évoquera quelque écho aux lecteurs familiers de la saga de Rennes : le Val d'or.




[1]              Les Arméniens jouissaient d'une réputation méritée d'être les meilleurs architectes du monde connu. Toute l'architecture carolingienne après Germigny et la Chapelle d'Aix, et tout l'art roman dérivent de leurs prouesses. En 957, ils bâtirent dans leur capitale, Ani, une cathédrale à plan circulaire dont la voûte s'élevait plus haut que l'actuelle Saint-Pierre de Rome. Jean Pierre Alem (op. cit. p.28) nous apprend que, « située au bord de la rivière Arpa-Tchai, dans la vallée des fleurs, Ani, la ville aux quarante portes, aux cent palais et aux mille églises, devint un boulevard de la civilisation occidentale et chrétienne face à l'Asie ». Elle fut détruite, y compris sa cathédrale, lors de l'invasion touranienne de 1064. Pourtant, un médaillon de la Sainte-Chapelle de Paris, sculpté au XIIIe siècle, représente l'arche de Noé sommée d'un édifice de type roman en qui  tous les contemporains ont reconnu la cathédrale d'Ani, ce que confirment les études de notre temps. Deux siècles après sa disparition et à des milliers de km de distance, la merveille architecturale d'Ani demeurait donc présente dans les mémoires, tellement présente que l'imagier anonyme pouvait la restituer sans erreur.

L'église de Germigny a beaucoup changé au cours des siècles. A l'origine, c'était une fleur : quatre chapelles en cul-de-four entourant un chœur carré délimité par quatre piliers. Au dessus, le premier clocher d'occident se dressait comme un pistil. D'étroites fenêtres garnies d'albâtre répandaient une lumière douce et tamisée, une lumière sans ombre. Le sol entrelaçait les marbres. Murs et voûtes étaient recouverts d'une mosaïque ininterrompue, où des lianes fleuries rappelaient la luxuriance du Paradis terrestre. Seule l'abside orientale s'ouvrait sur une scène énigmatique. L'Arche d'alliance y rutilait de tous ses ors, veillée par quatre anges. Cette mosaïque a survécu, tandis que les restaurateurs du XIXe siècle firent impitoyablement disparaître les fleurs paradisiaques. Germigny est la seule église au monde centrée sur l'image de l'Arche d'alliance. Elle prend derrière l’autel la place traditionnellement réservée au Christ Pantocrator entouré des quatre évangélistes. C'est une anomalie majeure dans l'art liturgique chrétien, tant d'orient que d'occident. Et l'on doit toujours questionner une anomalie.

Sous la mosaïque court une phrase assez difficile à rendre et à traduire : les mots ne sont pas séparés le plus souvent et, selon comment on les restitue, on obtient trois sens différents. Les reproductions anciennes permettent de contrôler qu'il n'a pas été trop altéré lors des restaurations. Le premier niveau de lecture nous invite à contempler l’Arche et à prier pour Théodulf. Le deuxième est un conseil aux chantres pour bien placer leur voix dans cet édifice dont les proportions sont celles de la gamme naturelle, qui donc résonne au moindre souffle. Le troisième niveau de sens est sans doute alchimique, avec une allusion à la valeur purificatrice du son des cloches.

De plus, quand on compare le plan de Germigny avec ceux des principales églises arméniennes contemporaines et même ultérieures à symétrie centrée, une nouvelle anomalie saute aux yeux. Il ne s'inscrit pas dans un cercle, symbole des cieux, mais dans un œuf. Dans cet œuf rouge, peut-être, que, selon la légende grecque, Marie Madeleine présente à l'empereur pour lui annoncer la Résurrection.

Le lien établi par Nicolas Flamel entre Orléans et Compostelle, plus probablement entre Germigny et Compostelle car la ville d’Orléans n’a rien d’alchimique, suggère à l’époque carolingienne un grand projet de pèlerinage contrôlé sur lequel artisans, chantres et sans doute médecins auraient fait leur apprentissage, un équivalent de ce que sera plus tard le tour de France des compagnons. Il manque toutefois un point, celui qui aurait correspondu au 17 janvier et à saint Antoine. Ce projet, cassé par la guerre entre les petits-fils de Charlemagne, sera repris de manière différente par les Bénédictins et les Antonins au XIIe siècle, de manière éclatée et non plus sous la forme d’un circuit.

Geneviève Béduneau


NOUS ENTRERONS DANS LA CARRIERE III 

Nous avons laissé le lecteur le jour de la fête de Sainte Catherine, il nous paraît donc légitime de poursuivre notre pérégrination intellectuelle en compagnie d'une seconde sainte Catherine, plus tardive, dont nous vous avons déjà entretenu : Catherine Labouré, dont le souvenir se perpétue au sein d'un édifice parisien : la Chapelle de la Médaille miraculeuse.

Puisque nous en sommes aux convergences avec les travaux d'autres chercheurs, nous ne pouvons que saluer ici le travail de Thierry Garnier, chercheur estimable, notamment, pour ce qui nous concerne ici, à partir des carnets de correspondance de l'abbé Saunière, dont notre auteur nous apprend : " Nous pointerons toutefois les nombreux échanges entre Bérenger Saunière et la soeur Terris du 140 de la rue du Bac à Paris, adresse de la Chapelle de la Médaille miraculeuse et du séminaire des Affaires Etrangères ayant des relations avec les A.A ( Assemblée des Bons Amis ) "

Que le lecteur veuille bien de nouveau considérer par quel chemin nous sommes parvenus sur cette date du 28 novembre ( voir Nous entrerons dans la carrière du 18 novembre 2011 ) et force sera de reconnaître que Pierre Plantard, dans l'apocryphe le Cercle d'Ulysse, ne nous dirige pas ailleurs, pour une part du message caché, que sur ce résultat.

Le lecteur aura depuis longtemps, nous l'espérons, compris que notre champ de recherches, et le dévoilement qui s'ensuit, ne souffre d'aucuns des tabous qui semblent en embarrasser certains, et emprunte pour ce faire, certaines voies que d'aucuns jugeraient iconoclastes.

Cet  état, nous le revendiquons et l'assumerons d'autant plus volontiers que celui-ci semble ouvrir sur de nouvelles perspectives, une lecture inédite de certains éléments connus, et de notre point de vue, demeurés jusque là dans l'ombre.

Nous savions que l'Eglise Saint-Roch de Paris paraissait focaliser une attention particulière de la part de nos initiés, et conserver en son sein des signes.
Signes de reconnaissance dont nous avons déjà dresser l'inventaire.
Il en était un, cependant, qui nous avait échappé jusqu'alors, anodin dans une première approche, exposé aux yeux de tous, mais qui, par ce jeu de correspondances des dates du calendrier dont nous exploitons les modalités diverses, ne peut que retenir notre extrême attention.

Il est en effet un cénotaphe ( 1841 ) en l'église Saint Roch, dédié à l'abbé de l'Epée, dont il sera utile de préciser qu'il a initié la recherche sur un langage de signes méthodique utilisable par les personnes atteintes de surdité, afin de lier ces signes avec le français écrit. 

Nous considèrerons ici sa date de naissance, un 24 novembre, qui va répondre en écho avec la date de naissance de René de Birague ( voir notre étude sur les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin )
René de Birague étant décédé un 02 février...


Et la date de décès de l'abbé de l'Epée, un 23 décembre, qui va répondre en écho avec la date de décès d'un personnage éminemment connu des passionnés de l'énigme de Rennes le Château, qui n'est autre que Dagobert II....


Et voici, comment, fort opportunément, en l'église Saint Roch de Paris, deux éléments d'extrême importance se dissimulent depuis tant d'années.
Bien évidemment, je m'interrogeais.
Existerait-il, outre cette correspondance de dates, fort intéressante, un SIGNE ?


Et puisque l'on nous entretient ici du langage des signes destiné aux sourds muets, un élément à aller quérir de ce côté là ?
SOURD SOURDE ...


COUME SOURDE !!!


S'il n'était ce qui va suivre, le lecteur pourrait, légitimement, penser que le raccourci est facile.
Par ailleurs, le langage phonétique, ou langue des oiseaux , n'étant pas étranger à notre énigme, nous nous autoriserons à investiguer ce matériel.


LE PREMIER MESSAGE DE LA  PIERRE DE COUME SOURDE ( sens propre : vallée de Sour - rivière )


Au même titre que la stèle ou dalle funéraire de Marie de Nègre d'Ables, la pierre dite de Coume Sourde est un des éléments sur lequel nombre de chercheurs se sont essayé à décrypter le message.
S'il existe plusieurs versions de cette pierre,et quand bien même son historicité serait sujette à caution ( mais en tout état de cause elle fait partie intégrante des pièces du dossier ) nous nous intéresserons à la version exposée pour la première fois par Gérard de Sède, en 1967.


Une présentation s'impose :


http://www.rennes-le-chateau-archive.com/la_pierre_coume_sourde.htm


Demeurant dans notre logique, nous retiendrons la date de 1292 en chiffres romains ( au risque de contredire ce qui est exposé sur ce lien c'est bien 1292 qui fait foi )
1292 : aucun lien clair n'est établi pour cette année et l'histoire de Rennes le Château, aussi, ainsi que d'autres chercheurs l'ont supposé, c'est ailleurs que nous tenterons de trouver le lien.


Le 4 avril 1292 :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_IV


Le jeu subtil que l'on nous propose ici sera justifié par le fait que le successeur de Nicolas IV n'est autre que Celestin V dont la présence entretient un rapport étroit avec notre énigme, ceci sous forme d'indice, ainsi que présenté au moment de la polémique de cet été 2011.



Logiquement, nous étudierons les correspondances de dates :


Le 4 avril - La circulaire intérieure du Prieuré de Sion dont nous vous entretenons depuis quelque temps, est datée du 4 avril 1989.


Le 4 avril est en accord avec un personnage éminent :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_J%C3%A9r%C3%B4me_Lefran%C3%A7ois_de_Lalande


Sa seule fonction de directeur de l'Observatoire de Paris ne peut qu'ici asseoir le rapport avec le Méridien de Paris, de même manière, le fait qu'il collabora au calendrier républicain, lorsque l'on sait que c'est là une des modalités choisie par nos initiés afin de dissimuler l'information au néophyte, et de la délivrer à ceux qui détiennent la bonne clef de lecture, nous conforte dans notre démarche.
4 avril dans cette acception est le jour de l'abeille, et nous ne pourrons nous empêcher de lier sa symbolique à Mérovée et la lignée dynastique des mérovingien, symbolique reprise ensuite par Napoléon 1er :


Au printemps 1804, Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, songe à instituer un nouveau régime impérial et à doter celui-ci d'emblèmes et de symboles nouveaux. Parmi les différents animaux qui lui sont proposés (éléphant, lion, aigle, coq), les abeilles ont sa faveur particulière : "Elles sont l'image d'une république qui a un chef".

        Au-delà de la métaphore toute symbolique, le choix de Napoléon repose sur des motivations plus scientifiques et idéologiques. Le futur empereur veut rattacher le nouveau régime à une dynastie royale qui avait gouverné la France, avant celle des Capétiens - détrônée par la Révolution. Si l'aigle impérial associe la mémoire de Charlemagne au nouveau régime, les abeilles, remontant plus loin encore, rappellent le souvenir des Mérovingiens, c'est-à-dire de Clovis et de sa lignée.

        Que vient faire la science dans cette affaire ? Si un lien est établi entre Napoléon et les abeilles mérovingiennes, c'est à partir des découvertes archéologiques du XVIIe siècle et de l'érudition des historiens du début du XIXe siècle. Beaucoup d'entre eux, en effet, s'accordaient pour voir dans cet insecte vertueux et bénéfique un des emblèmes royaux mérovingiens. Ils se fondent sur la découverte, en 1653, à Tournai, de la tombe du père de Clovis, Childéric Ier, roi des Francs saliens, mort en 481. Parmi l'abondant matériel funéraire retrouvé dans cette tombe figurait une trentaine de petits joyaux émaillé ayant la forme d'un insecte. Ces joyaux avaient peut-être parsemé le manteau dans lequel le roi défunt avait été enseveli. Les érudits de l'époque avaient vu dans cette figure une abeille, symbole supposé de souveraineté, et depuis lors, personne ne les avaient contredits. L'ensemble du matériel funéraires (armes, bijoux, talismans, ) fut offert en 1665 à Louis XIV par l'empereur Léopold en remerciement de son aide militaire dans la lutte contre les Turcs. Ce trésor était encore visible par Napoléon, en 1804, au Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (anciennement royale). Il fut, malheureusement pour nous, dérobé par des voleurs en 1831.




Mais là encore, là surtout oserions-nous dire, tout dépend du sens de lecture.
Et peut-être la présence des mérovingiens dans cette affaire de Rennes le Château ne serait que l'arbre qui cache la forêt, le sens à trouver résidant dans ces jours du calendrier républicain, à dates précises, en terme de renvoi ou de correspondances.
Ainsi du jour de la ruche dont nous vous entretenions naguère sur la date du 9 avril ( voir la lettre volée I )
Ainsi du jour du miel qui est le 28 novembre ( sainte Catherine Labouré )...


Mais revenons à notre Pape, Nicolas IV, et sa date de naissance, 30 septembre 1227 :


30 septembre est la fête de saint Ours de Soleure -  1er point de convergence ( voir convergences IV )
C'est dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre que Pierre Corneille décède - Second point de convergence.
Par ailleurs, le 30 septembre est la fête de saint Jérôme ( de Stridon ) l'un des pères de l'église, dont on sait le rôle négatif que joua, vers la fin de sa vie, le sac de Rome par les Wisigoths dans l'année 410 ( voir ses écrits sur le sujet )...Nous voici en terrain connu....
Contre toute attente, la pierre dite de Coume Sourde se révèle riche d'informations, et les recoupements systématiques auxquels nous renvoyons le lecteur ( nous nous excusons d'ailleurs de ces renvois vers nos précédents écrits - la cause en est que notre travail de recherche se construit depuis cet été en grande partie en temps réel - que des éléments viennent s'ajouter peu à peu - notre essai à venir tiendra compte de ce décalage pour ne pas égarer le lecteur )

LE SECOND MESSAGE DE LA PIERRE DE COUME SOURDE :

Au milieu de la ligne ou M coupe la petite ligne.
A mon grand regret, il ne m'est pas possible de faire état de mes conclusions relativement à cette phrase.
Ceci pour une raison simple : dévoiler ce message serait dévoiler l'emplacement de la cache de Rennes-les-Bains, pour peu que le lecteur veuille bien faire un retour en arrière sur mes précédents écrits...
Je m'autoriserais juste un indice : M coupe la petite ligne - il y a ici une notion de partage - couper c'est partager...


A suivre en ce 05 décembre 2011 - l'auteur alain C . . . . . h