mercredi 26 septembre 2012

AU REVOIR

A Bernadette, ma maman, décédée le 25 mai 2012.

Au revoir, lecteur, car si j'ai eu le plaisir depuis un an de communiquer vers toi, en espérant de ta part un accueil intéressé, d'autres tâches m'attendent ; la principale étant de rédiger cet essai auquel je tiens tant, et qui sera une synthèse des découvertes que j'ai eu l'honneur d'enfanter, parfois dans la douleur , mais toujours avec la satisfaction de savoir qu'un, une inconnue, aurait peut-être quelque agrément à me lire.

Pour clore mon intervention sur l'énigme de Rennes-le-Château , je vous ferais part d'une de mes dernières découvertes .
Celle-ci, pourrait-on dire, justifie et valide toute ma démarche , notamment concernant la mécanique de concordance des dates du, ou des calendriers, dont je maintiens plus que jamais la pertinence.

Donc nous examinerons ensemble aujourd'hui, une phrase tirée du SERPENT ROUGE :

VIERGE
« J’étais comme les bergers du célèbre peintre POUSSIN, perplexe devant l’énigme : « ET IN ARCADIA EGO... ». La voix du sang allait-elle me rendre l’image d’un passé ancestral. Oui, l’éclair du génie traversa ma pensée. Je revoyais, je comprenais ! Je savais maintenant ce secret fabuleux. Et merveille lors des sauts des autres cavaliers, les sabots d’un cheval avaient laissé quatre empreintes sur la pierre, voilà le signe que DELACROIX avait donné dans l’un des trois tableaux de la chapelle des Anges. Voilà la septième sentence qu’une main avait tracée : RETIRE MOI DE LA BOUE, QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCE. Deux fois IS, embaumeuse et embaumée, vase miracle de l’éternelle Dame Blanche des Légendes. »
 
Cette phrase en elle-même pourrait passer comme secondaire, alors que, par le génie de l'auteur, elle recèle un indice majeur, qui ne pourra que questionner le lecteur au fait des éléments fondateurs de celle-ci.
 
Un élément que je possédais depuis des mois n'avait été investigué qu'imparfaitement et de manière partielle, quand celui-ci détenait dans une lecture approfondie son secret.
 
J'ai appris, que vis à vis de notre énigme, il était nécessaire de voir large, au-delà des apparences, loin d'une vision étriquée issue d'une certaine orthodoxie, en bousculant une conformité de bon aloi.
 
Voici le décryptage et tout aussi important, voire essentiel , ce qu'il sous-tend :
 
Pour cela nous allons devoir nous rendre en Lorraine, près de Saverne, et interroger une légende locale, celle du saut du Prince Charles.
 
Le lien ci-dessous vous entretient de cette légende :
 
 
 
Chacun ici pourra convenir d'une parenté certaine entre l'extrait dont il est question dans le Serpent Rouge et le fond de cette légende.
 
Le lecteur qui me connaît sait que mes travaux s'inscrivent dans une continuité , celle-ci s'articulant autour d'une mécanique de concordance de dates du calendrier.
 
Sommes-nous d'accord lecteur que , concernant l'identité de ce fameux Prince Charles, nous ayons quatre hypothèses ?
 
Quelle serait, en terme de probabilité , ce qui va suivre ?
 
Nous porterons notre choix, ainsi que l'auteur du récit ci-dessus le fait , sur un personnage :
 
Charles de Vaudémont.
 
Comme à l'accoutumée, c'est sur sa date de naissance et de décès que réside LA vérité.
 
A savoir :
 
Charles de Vaudémont, né à Nancy le 5 avril 1604, mort à Bernkastel le 18 septembre 1675, fut duc de Lorraine et duc de Bar en droit de 1625 à 1675 et en fait de 1625 à 1634, en 1641 et de 1659 à 1670, sous le nom de Charles IV. Il était fils de François II de Lorraine, comte de Vaudémont puis duc de Lorraine et de Bar en 1625 et de Christine de Salm.
 
 
Le 05 avril, en terme de correspondance ou d'effet miroir, nous trouverons :
 
 
Blaise de Vigenère, né  le 5 avril 1523 à Saint-Pourçain-sur-Sioule.
 
Le 18 septembre, en terme de correspondance ou d'effet miroir, nous trouverons :
 
Leonhard Paul Euler mort le 18 septembre 1783 à Saint-Pétersbourg.;
 
18 septembre, dans le calendrier républicain, étant le jour du Génie...
Voir l'éclair du génie, pour les borgnes ou mal comprenants...
 
En clair, nous sommes ici en présence d'un dispositif renvoyant vers un des éléments fondateurs de l'énigme de Rennes-le-Château, le Grand Parchemin, dont le décryptage fait appel à Blaise de Vigenère et à Léonard Euler !
 
Dans la phrase, bien évidemment " le saut des autres cavaliers " est une référence au jeu d'échec et à la marche ou parcours du cavalier dont Euler fut l'inventeur.
 
L'auteur du Serpent Rouge connaissait donc la technique qui devait être mis en oeuvre afin de parvenir au décryptage du Grand Parchemin, s'il est communément admis, grâce à l'enquête de Franck Marie, que Pierre Plantard a recopié les strophes de cet opuscule, en rajoutant d'autres éléments à ne pas négliger , Franck Daffos, ainsi que d'autres chercheurs, mettent un nom sur le véritable auteur de celui-ci, à savoir Jean Jourde, au début du 20 ème siècle.
 
Par conséquent, si Jean Jourde avait connaissance des deux éléments du dispositif, le chiffre de Vigenère et le parcours du cavalier d'Euler , c'est donc, tout à fait logiquement , qu'il avait connaissance du Grand Parchemin.
 
Voici un élément d'importance à méditer....
 
Est- ce bien tout ?
Je l'avoue, quand j'ai trouvé Blaise de Vigenère en correspondance , j'ai eu l'intuition que le reste allait suivre, le reste c'est à dire Euler, j'étais loin de me douter à quel point notre auteur a eu de la chance, ou bien qu'il lui a fallu des semaines de recherches afin de trouver le bon personnage à inclure dans l'hermétisme du Serpent Rouge.
 
Car ici, il convint d'adopter, sinon d'épouser le point de vue de cet auteur, comment
et sur quel matériau puis-je puiser afin de délivrer mon message ?En clair quel personnage historique, dont l'Histoire retiendra le nom ainsi que les dates qui lui sont liés, puis-je mettre en scène ?
 
Charles de Vaudémont était celui-ci, triplement !
 
Car voici la troisième occurence, et qui , comme cela est étrange , recoupe mes recherches et découvertes, Charles de Vaudémont fut l'époux de :
 

Nicole de Lorraine, Duchess of Lorraine by Moncornet.jpg
Nicole de Lorraine, née à Nancy le 3 octobre 1608, morte à Paris le 2 février 1657 .

Le lecteur qui aura eu l'obligeance de me suivre jusqu'ici ne pourra qu'avoir le regard littéralement happé par cette date du 02 févier dont je vous entretiens depuis des mois, et dont je maintiens plus que jamais qu'elle est le véritable clef du tableau de Nicolas Poussin " Les Bergers d'Arcadie ", puisqu'indiquant de manière précise le lieu ou se trouve la cache de Rennes-les-Bains...

02 février soit 2 2 ...

Que le lecteur revienne sur la strophe d'ou est issue cette phrase dont je viens de vous dévoiler le secret, n'y est-il pas question des Bergers d'Arcadie ?

En toute immodestie, car je déteste les faux-semblants ainsi que les imposteurs, je peux dire aujourd'hui en ce 26 septembre 2012, soit quatre mois et un jour suite à ce décès qui m'a considérablement attristé:

JE SAIS MAINTENANT CE SECRET FABULEUX...

L'auteur alain COCOUCH



 
 
 
 
 
 
 
 
 


 

 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
VIERGE
« J’étais comme les bergers du célèbre peintre POUSSIN, perplexe devant l’énigme : « ET IN ARCADIA EGO... ». La voix du sang allait-elle me rendre l’image d’un passé ancestral. Oui, l’éclair du génie traversa ma pensée. Je revoyais, je comprenais ! Je savais maintenant ce secret fabuleux. Et merveille lors des sauts des autres cavaliers, les sabots d’un cheval avaient laissé quatre empreintes sur la pierre, voilà le signe que DELACROIX avait donné dans l’un des trois tableaux de la chapelle des Anges. Voilà la septième sentence qu’une main avait tracée : RETIRE MOI DE LA BOUE, QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCE. Deux fois IS, embaumeuse et embaumée, vase miracle de l’éternelle Dame Blanche des Légendes. »