mardi 25 juin 2013

LE DOSSIER INTERDIT V -


Ami lecteur bonjour,

J'ai interrompu ma précédente intervention en signalant que le H - la lettre H - entretenait quelque rapport avec les indices laissés par Pierre Plantard dans la circulaire datée du 04 avril 1989.

Pour mémoire :

http://www.octonovo.org/RlC/Fr/docu/ppl001.htm

Ainsi que nous l'avons déjà signalé, il est fortement question de la personnalité de Victor Hugo dans ce document.
De son exil à Guernesey également.

" C'est la pierre de trou, qui figure en Honneur sur les cheminées " " Elle représente ce qu'il faut croire "
Nous pourrons remarquer ici la lettre H majuscule, ceci afin de nous guider.

J'ai indiqué que, pour solutionner ce message pour le moins hermétique, il suffisait de suivre le chemin selon les indications de Pierre Plantard.

Ainsi, nous allons nous rendre à Guernesey, en la maison de Hauteville House, là ou Victor Hugo se retira lors de son exil.

Il y aurait beaucoup à dire sur la symbolique à l'œuvre dans cette maison.
Mais nous nous attacherons ici à une cheminée, celle du rez- de- chaussée.



Puis voici l'étonnante et massive cheminée, bloc de céramique à fond blanc, et son immense lettre H, initiale de Hugo et de Hauteville House, dessinée en relief par de petits carreaux à dessins bleus. "Cet H monumental se dresse comme la signature de pierre de la maison". Le foyer est fermé par un panneau peint du XVIIème siècle.

A la partie supérieure de la cheminée, une statue de Notre Dame du Bon Secours, portant la date de 1756. Cette statuette fut offerte à Victor Hugo par Juliette Drouet. La Vierge porte sur son bras l'Enfant Jésus qui tient dans ses mains le globe terrestre. Hugo a laïcisé cette Vierge et en a fait une Liberté, on peut lire sur les boiseries qui l'encadrent :


"Le peuple est petit, mais il sera grand.
Dans tes bras sacrés, ô mère féconde,
O liberté sainte au pas conquérant,
Tu portes l'enfant qui porte le monde"
.




Photos et extraits de texte du site Hautevillehouse.com

Voici là ou voulait nous mener Pierre Plantard.
Question évidente : Pourquoi ?

La réponse est peut-être à chercher du côté de cette référence à Bon Secours.
Personnifiée par Notre-Dame.

A Puivert, dans l'Aude, il existe en effet une chapelle Notre-Dame de Bon Secours.
Mais il existe aussi un château de Bon Secours, quelque part...

Le nom « Bon-secours » peut évoquer un lieu secourable où l'on pouvait se cacher, un lieu où l'on pouvait trouver du secours, ou plus probablement un lieu de dévotion à un ou plusieurs saints ou saintes. On venait aussi tirer dans la région une eau censée guérir les maux des aveugles. Le nom du château (de l'Hermitage) peut laisser penser que des moines ermites ont pu autrefois vivre dans ce massif, mais il peut également s'agir d'une métaphore désignant le château comme lieu isolé pour la famille de Croÿ

http://www.nordeclair.fr/Actualite/2009/08/11/le-seul-fantome-ici-c-est-moi.shtml

Il est question ici d'Emmanuel de Cröy, de la maison du même nom.
Retenons ce nom.

Nous allons basculer maintenant vers un autre lieu investigué par certains chercheurs : Stenay.
Le lien intégral :

http://www.portail-rennes-le-chateau.com/stenay_dagobert.htm

D'où nous extrayons ce qui nous intéresse ici :

En effet, la légende stenaissienne établie par Vigneron, Plantard, Vazart et synthétisée par A. Roth, déjà cité, indique que « le 31 décembre 1941, Mgr Delmette délègue le Prince de Croÿ pour faire prendre des photos du document et de la relique avec un morceau du crâne, ceci pour l'évêque de Verdun et en présence de la supérieure Bernadette Dehaye. L'abbé Vigneron écrit que le chiffrage du parchemin a été effectué par l'évêché, en 1942, et il poursuit par cette note : « En novembre 1943, deux officiers allemands du S.D. (Sicherheitdienst = contre-espionnage) se présentèrent à Mons pour inspecter le reliquaire. Le parchemin s'y trouvait-il toujours à cette date ? Une lettre écrite par la Mère Supérieure Bernadette Dehaye à sa famille semble indiquer que le Prince de Croÿ avait soustrait le parchemin. » Cette insistance sur les de Croÿ est étonnante d'autant que la légende de Stenay mentionne également que Vauban aurait effectué des fouilles à Stenay et que les comptes-rendus de ces fouilles se trouveraient conservés dans les archives des de Croÿ au château de Roeux ! Là-même où est le caveau des de Cherisey ! Là où est le château actuel des de Cherisey, hérité d'un ancêtre l'ayant reçu des de Croÿ, les de Cherisey et les de Croÿ étant apparentés. Rapellons également que le château de Barbarie est très proche d'un autre fief des de Croÿ aux confins de la Nièvre et de l'Allier et marqué par la présence de la princesse Mimi de Croÿ.
La présence de de Cherisey dans toute cette affaire n'est-elle qu'un effet du hasard bienveillant qui lui fit rencontrer Plantard, de Sède, l'abbé Vigneron, Alfred Weysen ?


Le lien vers la maison de Croÿ répondra, je l'espère, aux questions posées ci-dessus.

D'autant plus que :

"Au début de son histoire, la maison de Croÿ a souffert d'une mauvaise réputation due à la vitesse et au caractère récent de son ascension. Elle ne correspondait pas à l'idéal d'une noblesse issue de la chevalerie immémoriale, et les vieilles familles flamandes la taxaient facilement d'arrivisme. En un mot, la maison n'avait pas la légitimité de la durée. Il fallait pour la maison de Croÿ se construire la légende familiale qui manquait à son nom. Au début du XVIIe siècle, on fit donc dresser une de ces généalogies légendaires dont l'époque raffolai]t Jacques de Bye, l'historiographe retenu pour cette tâche, ne se contenta pas d'inventer une foule d'ancêtres prestigieux à la famille picarde : il remonta sans discontinuer ni hésiter à Adam lui-même.
Le duc Charles prétendit ainsi descendre des rois de Hongrie, de la dynastie des Árpád, que la légende fait remonter à Attila. La filiation se basait sur la similitude héraldique (un appareil de bandes horizontales rouges et blanches)[, se rattachant par Marc de Hongrie, chassé par son frère et dépossédé de son royaume, qui se serait réfugié en France, en 1147, où il aurait épousé Catherine de Croÿ.
Cela donna lieu à la fameuse anecdote du tableau des Croÿ, sans doute apocryphe : dans son château, le duc de Croÿ aurait fait peindre une représentation du Déluge où un personnage nageant à côté de l'arche aurait été figuré tendant un parchemin à Noé en déclarant "Sauvez les titres de la maison de Croÿ"]! "


Cette généalogie légendaire ne pourra ici que faire signe lorsqu'il est question de Pierre Plantard.
Et ceci explique peut-être cela...

Car voici ma conviction, partagée par d'autres, et que j'avançais au fil de mes recherches et découvertes, tout simplement parce que cette démarche produisait des résultats probants : TOUT ce qui a été posé, notamment par Plantard - Cherisey- De Sède - est signifiant et une invitation à lever le rideau des apparences.

Pour ma part, cette référence au Déluge ne peut également que me titiller l'intellect - car c'est une constante que j'ai rencontré au cours de mes travaux.

Ce qui apparaît ici n'en serait qu'une illustration.
Une parmi d'autres.

Ce fil rouge se poursuit, mais ici je me tais.

Je sais que cela peut énerver mais j'estime DONNER BEAUCOUP et ne vais pas livrer ce qui doit encore demeurer SECRET.
Mais qui sera levé en son temps.

Maintenant, je voudrais revenir sur un nom ( et une date ) dont il était question dans ma précédente intervention, sur la date du 7 aout.

"Mais aussi en présence de cette donnée date anniversaire de naissance de Léon Brillouin ( il sera intéressant ici d'explorer le concept de Théorie de l'information ) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Brillouin

Le dénommé Léon Brillouin étant décédé un 4 octobre - les correspondances, ici , me permettront d'effectuer une rapide synthèse :

Attention saut temporel.

Sur cette date du 4 octobre nous aboutirons que ce soit en naissance ou en décès.

Walther von Brauchitsch, militaire allemand († 18 octobre 1948).

Ernst Kaltenbrunner, militaire allemand († 16 octobre 1946).

 Max Planck, physicien allemand, Prix Nobel de physique en 1927 (° 23 avril 1858).


L'intérêt de ces liens résidant soit dans la date de décès pour les deux premiers, soit une date essentielle dans sa carrière pour ce qui concerne Max Planck.

Dates dont nous avons déjà fait état et dont nous allons décliner toute la cohérence.

Le 18 octobre va nous mener à l'Œuvre " Le Devin du village ", jouée également le 1er mars 1753 - au demeurant nous rajoutons qu'une actrice de ce temps Marie Fel , jouant dans cette pièce , est née un 02 février - la date du 1er mars va nous mener à la première édition des Centuries de Nostradamus - Nostradamus qui dédicacera par la suite une autre édition à René de Birague et ceci un 15 juin - date de naissance de Nicolas Poussin; le dit René de Birague étant également né un 02 février.
( voir mes travaux précédents )

SACHANT , ou pas ? Que j'affirme depuis longtemps que l'un des messages des Bergers d'Arcadie - mais de mon point de vue essentiel - réside dans cette date du 02 février, je ne peux que proposer à votre réflexion, de nouveau , cette indication.

Le 16 octobre quant à lui va nous mener à une constante dans mes travaux : la thématique du Livre caché - manifesté ici par la date de décès de Nahman de Bratslav - 16 octobre 1810 - mais aussi par le jugement de Nuremberg du 16 octobre 1946 - et donc à la figure féminine d'Esther ( cf le Code d'Esther ) et donc à la fête de Pourim ( voir mes travaux précédents )
Sachant que :

Le Midrach comprend le nom Esther en Hébreu sous le sens du mot "cacher". Mardochée, le fils de Jaïr de la tribu de Benjamin comme elle, qui est son oncle ...

Quant à Max Planck, père de la physique quantique et de TOUT CE QUE CETTE DISCIPLINE PEUT OUVRIR COMME PORTES - je signalerais juste que c'est le 14 décembre 1900 que celui-ci délivra sa théorie des quantas.

En 1503 , le 14 décembre naît un certain Nostradamus...

J'espère que cette synthèse contribue à éclaircir mon propos.
C'est ce que nous pourrions appeler un " univers " - il en est d'autres - dont le but ultime est de nous indiquer une position géographique- latitude et longitude - l'une la latitude prenant en compte les indices déposés à Rennes-le-Château ( ce que j'ai déjà indiqué ) - la seconde la longitude prenant appui sur des indices déposés à Paris - ce que j'ai indiqué en partie...

Puisque depuis deux semaines j'affirme avoir circonscrit deux autres points, très voisins - et dont je peux dire que l'un correspond à une nécropole - le second un Temple.

En ce 25 juin 2013 - alain COCOUCH









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