lundi 30 décembre 2013

ARSENE LUPIN : LE DERNIER AMOUR

Ami lecteur bonjour,

En ce jour de l'an, afin de débuter cette nouvelle année sous les meilleurs auspices, je te convie à cette étude sur l'ultime roman du héros de Maurice Leblanc : le dernier amour d'Arsène Lupin.

Je dois à l'un de mes lecteurs , Vincent, d'avoir attirer mon attention sur un message des plus clairs contenu dans ce roman, en rapport direct, ainsi que nous allons l'observer, avec l'énigme de Rennes le Château.

Vincent a utiliser, après l'avoir expérimenté sur son vécu , la mécanique de correspondances ou de concordances de dates que j'utilise depuis des années.
Je ne sais quel terme peut le mieux définir cette mécanique.
Certains pourraient évoquer le concept de synchronicité , mais ce n'est pas exactement cela , la synchronicité, telle que théorisée et expérimentée par Carl Gustav Jung , ne recouvre pas ce dont je vous entretiens ici.

Mais qu'importe, au fond, le terme, seul compte la démonstration.
Que voici.

Nous allons nous rendre page 50 ( édition du Livre de Poche )
extrait :

" Le 06 juillet 1922 , les journaux du soir publiaient l'information suivante, télégraphiée de Londres :
Londres - Le directeur de la Banque Universelle a déclaré que, en entrant dans son bureau , il s'était aperçu qu'on avait volé le brouillon d'une dépêche dont il venait de télégraphier le texte. Par cette dépêche, il avisait la Banque de France qu'il expédierait le lendemain en avion quatre millions de livres-or pour un compte particulier "

Dans ce paragraphe, deux mots sont à retenir : le mot avion et or.
Ce sont ici les deux indices justificatifs de ce qui va suivre.

Comme bien souvent, dans cette mécanique, il s'agit de débuter l'investigation en exploitant la date indiquée - ici le 06 juillet 1922 - ensuite d'effectuer des requêtes sur un moteur de recherches ( pour notre époque - mais aussi dans une bibliothèque pour les temps ou les nouvelles technologies - qui ont le grand mérite d'accélérer le process - n'existaient pas encore.

Le début de la réponse se traduit le plus souvent par la découverte sans aucun rapport avec notre sujet.
Aucun rapport direct - ce n'est ici qu'un jalon.

Dans notre cas cela va se traduire par cet évènement :

http://www.air-journal.fr/2012-07-06-le-6-juillet-1922-dans-le-ciel-pelletier-doisy-vole-de-tunis-a-paris-en-moins-de-12-h-550833.html

Aucun rapport...
Nous nous attacherons à la personne de Pelletier Doisy, originaire de ce village :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saulzais-le-Potier

Village qui se trouve dans l'arrondissement de :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Amand-Montrond

Et là, j'en connais, ceux qui ont connecté avec certains lieux en France et leur symbolique lourdement chargée, qui commencent à dresser l'oreille...

Cette excellente étude vous fera mieux comprendre tout l'intérêt de ce rendez-vous par les sentiers sacrés du Grand Secret :

http://www.rennes-le-chateau-archive.com/meridiens_4.htm

Force est de reconnaître que si Maurice Leblanc avait voulu nous mener sur cette piste, il ne s'y serait pas pris autrement, et avec quelle dextérité !
Mais, et c'est là ou nous allons rejoindre le Mystère avec un M majuscule s'il vous plaît, Maurice Leblanc pouvait-il savoir qu'à Saint Amand Montrond serait edifiée la Cité d'Or, ceci bien des années après sa mort ? Pouvait-il prévoir que sur ce lien vers lequel il nous dirige, le mythe ( trésor de Rennes Le Château ) et réalité ( la Cité de l'Or ) se rejoindraient , au Centre de la France.
En ce point nodal ou tout peut connecter ?

La Cité de l'Or :
Image

Une architecture qui est elle-même une question.

http://www.cite-or.com/Rub_9/Histoire/La-Cite-de-l-Or.html

ATTENTION SAUT QUANTIQUE

Il est ici, dans cette page de présentation de cet édifice culturel, un détail qui vaut le détour, contenu dans une date :
"Le 17 juin 2000, lors de l'inauguration de la Cité de l'Or Le Sénateur Maire Serge Vinçon qualifiait déjà le site de "Pyramide des Hommes et des Métiers" en axant son développement pour et avec les entreprises de bijouterie et de joaillerie.
Une belle ambition au service de notre territoire."


Or, et cette date nous attire et nous accroche ( ici je visualise bien un de ces fils invisibles dont la Science n'a pas encore cerné toutes les implications ) littéralement pour nous ramener vers l'affaire de Rennes-le-Château, le 17 juin 2000 , il se produit ceci :

http://www.rennes-le-chateau.org/evenements/mort-pierre-plantard.php

Pour les raisonnés ( ceux qui veulent à tout prix coller au réel quand bien même ou  parce que celui-ci leur échappe quelque peu ) il y aurait ici une explication rationnelle : les auteurs du mail annonçant le décès de Pierre Plantard le 17 juin 2000 ont légué à la postérité cet indice pour nous mener à la Cité d'Or, au Méridien caché et la symbolique qui s'y rattache...
Une sorte de testament.

Possible...

Ou bien, nous sommes face à l'une de ces facéties de l'espace-temps, qui fait que...

Je n'ai, pour ma part, pas d'opinion arrêtée.

Mais revenons à Maurice Leblanc, certains pourraient douter du fait que l'intention de l'auteur était de nous mener à Saint Amand Montrond , s'il n'était une autre date, celle-ci ponctuant la postface au roman dont il est question ici .
Postface ajoutée à l'édition du Livre de Poche - pour les mal comprenant peu importe que cette postface ait été à l'origine accolée au Dernier Amour d'Arsène Lupin - l'essentiel est que le directeur de publication ait cru bon de l'ajouter dans cette édition.
Pour les mal comprenant , s'il existe des jalons, des marqueurs - pour notre sujet en terme de dates ce qui n'exclue en rien l'existence d'autres modalités de communication - seul prédomine le sens dont ces jalons sont porteurs.
Pour celles et ceux qui souhaitent percer le rideau des apparences, je ne peux que les encourager à tester ce que j'avance - la prédisposition étant d'être disponible en terme d'ouverture d'esprit, et sensibilisée par certains lieux chargés.

La postface s'achève donc ainsi :

Le Petit Var, samedi 11 novembre 1933.

http://www.leberry.fr/cher/actualite/pays/pays-de-vierzon/2013/11/12/une-ceremonie-pour-appeler-a-la-paix_1761591.html

IL est ici un nom à retenir, celui de Louis Lecoin, militant pacifiste habitant Saint Amand Montrond.

Un hommage particulier me semble nécessaire :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Lecoin

UN lien vers le jardin Lucien-Beaufrère et la description du monument :

http://moulindelangladure.typepad.fr/monumentsauxmortspacif/2007/08/vierzon-le-jard.html

Nous poursuivrons cette étude en retournant à Saint Amand Montrond - sur un des édifices marquant cette commune - prochainement.

En ce 31 décembre 2013 - l'auteur alain COCOUCH

Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
Et merde aux autres !

MEILLEURS VOEUX POUR CETTE NOUVELLE ANNEE !

mercredi 25 décembre 2013

LE CHANT DES TAMBOURS

J'attends...
Dans la nuit noire , dépossédé de tout.
J'attends la prière et j'attends le frisson, le vent qui bruine , la Lune à l'unisson,
Le crissement des branches au chant du large, la course du  lièvre dans les buissons.
J'attends le signe sur ta main, et ma misère sans lendemain.
J'attends ce que l'humain peut faire
Ou défaire.
Tant de puissance pour en arriver là
" Nan mais allo quoi ? "
C'est pour ça qu'on est sur Terre ?
Ou bien pour la danse des sphères
L'intelligence de l'insecte
La plénitude de l'instant...

Souviens-toi
Une nuit douce de printemps
Tu sais, quand le cœur se prend à aimer
Et déborde à tribord...

Souviens-toi
Tes bêtises d'enfant
Quand le bâteau ivre, chaloupe de tes élans,
Te ramenait à bon port.
 Salut aux goélands.
Salut aux œuvres de Dame Nature
Salut aux êtres de bonne volonté
Et merde aux autres
Souviens-toi
Les odeurs chaudes du jour
Quand le soleil se fait Dieu
Dans la campagne tout se tait comme engourdi
Et toi-même tu te sens lourd
Lourdingue, envapé dans des tourments d'égo,
Ah le Pouvoir...
ça pourrit tout le Pouvoir,
C'est chagrin et compagnie,
A les croire ceux qui en abusent
Ne savent même plus ce qu'est un humain
Leur frère.
A les voir, ces petites marionnettes ,
Sont déjà du passé.
Nous ne vous remplacerons pas.
L'avenir mérite autre chose que cette sempiternelle danses des ventre devant l'écritoire public  !
Nous ne vous envions pas.
Nous conjuguerons le verbe soleil
Comme d'autres conjuguent au présent l'esprit rebelle.
Oui ! Nous sommes rebelles !
J'ai un drapeau noir en guise d'épée
Et en sautoir un ruban de liberté.
Beau ruban de soie grise,
Tissée de longues années, en patience.

Souviens-toi
De ce que tu portais
Cet enfant là
Qui n'appartenait qu'à toi.
Souviens-toi des lumières
Dans tes yeux quand ton regard se glissait
Entre deux peaux, entre deux ères.
Souviens-toi
Il n'est pas trop tard, rien n'est jamais trop tard
A part le dernier soupir.
Les mécaniques tectoniques ne sont pas là pour te servir
Non ! C'est toi qui les sers
Et avec volupté encore
On n'est jamais si bien esclave de ce que l'on prétend combattre...
Alors ne combats plus
Laisse ça à d'autres
Les professionnels de l'imagination
Ceux qui pensent à ta place
Les galériens de l'open space
Les comptables de nos vies
Les claviers de l'incertitude.

J'attends...
Et je chante.
Tu veux chanter avec moi ?

Ne combats plus
Cesse d'alimenter la machine à faire du bruit
Retire-toi
Retire-toi
C'est en les ignorant qu'on les fera chuter.
Il n'est de caste que reconnue !

Eh oui Monsieur, oui Madame,
Comme je le disais à votre défunte mère
Tout ça n'est pas né d'aujourd'hui.
ça remonte loin l'appel aux ordres
Et ils ont beau les travestir
Les apprêter en toupet de gala
En robe de soirée
Blanche-Neige et les 7 nigauds
Contents d'aller au boulot
Si tu ôtes le masque ...
Carnaval pour l'un, carcéral pour l'autre
C'est toujours et encore la même chanson.

Alors laisse-les à leurs rimes
Arrime-toi au bastingage ça va tanguer grave
Assieds-toi et attends...

Attends...
Le chant des tambours.

Attends...
Le chant des tambours.












vendredi 20 décembre 2013

LE SECRET DU VITRAIL

Ami lecteur bonjour,

C'est avec un certain plaisir que je réintègre la communauté des cherchants , c'est à dire toutes celles et tous ceux que la Vérité officielle ( sur nombre de thématiques impactant directement nos existences ) dérangent, pour ce qu'elle prétend régenter ce que doit être notre présent, voire notre futur.

Pour reprendre notre chemin commun, il me semblait juste de faire profiter mon prochain s'intéressant à l'énigme de Rennes-le-Château d'une découverte que je viens d'effectuer en quelques minutes - nulle vantardise ici que l'on ne se méprenne pas - parce que mon esprit depuis quelques semaines est de nouveau en éveil, j'oserais dire en alerte.

Dans cette résolution, j'utilise toujours la grille de lecture des concordances ou correspondances de dates.

Venons-en au matériel que nous avons investigué.
Matériel qui a fait couler beaucoup d'encre puisqu'il est un des indices dissimulés au sein de l'église de Rennes-le-Château : à savoir le vitrail comportant le mot  ONIS , ce que d'aucuns ont crû devoir lire,
sans doute avec quelque raison puisque en matière de messages disséminés ça et là la solution peut de conjuguer au pluriel, en lecture anagrammatique : SION.

Photo extraite du site société Périllos


Bien évidemment, ce qui interpelle, outre le mot ONIS, est l'ajout des chiffres 17.09.84 sur lesquels d'autres auteurs ont émis des hypothèses que nous ne jugerons pas.
A cet égard le texte du site société Périllos est digne d'intérêt.

Le lecteur suivant l'actualité des Sciences aura sans doute suivi les pérégrinations ces dernières semaines de la comète ISON, que l'on nous prédisait comme devant être la comète du siècle...
Las !

Les organes de communication officiels, la NASA, etc... nous informaient dès début décembre que la fameuse comète s'était brûlée les ailes, ou sa belle chevelure, au contact du Roi Soleil.

Disparue la comète !
Evaporée...dans la poussière des siècles.

Les semaines à venir nous instruiront sur la véracité de ces "informations".

Certains auteurs sur la toile ont anagrammé à partir d'ISON pour parvenir au mot SION.
Et pourquoi pas ?

Mais les chiffres ?
Quel peut être le ou les sens de ces chiffres ?

Reprenons :

17.09.84

Que d'après ma grille de lecture je traduit en date :

17 septembre 1884 ( j'espère que le lecteur ne fera pas trop de difficultés à me suivre sur l'année - rappelez-vous de ce que vous dites dans le langage courant en 68 ( pour 1968 ) - 14-18 etc...

Bien nous avons donc une date complète - un mot anagrammé NOIS - SION - ISON

LA DATE VA NOUS MENER A LA DECOUVERTE D'UNE COMETE...

http://fr.wikipedia.org/wiki/14P/Wolf

N'étant pas de ceux, sur cette affaire qui nous occupe, se satisfaisant d'une réponse unique, et l'assénant comme la Vérité une et indivisible, nous avons eu la curiosité de quérir si d'autres auteurs avaient exploré cet indice.

Voici ce qui en est dit :

http://www.rlc-leblog.com/article-sainte-germaine-2-38343976.html

Au-delà de la thèse qui est développée par cet auteur, et qui mérite toute notre attention parce qu'investiguant un site géographique précis, et sacralisé par la Tradition, il y a ici un de ces clins d'œil magnifique qui dénote l'humour coutumier de ceux qui sont aux commandes.

Le lecteur pourra remarquer la date qui apparaît en bas de page :

© Catherine Pierdat, le 17.09.09 

Je ne sais si cet auteur inscrit cette date de manière consciente ou inconsciente, mais si nous reprenons la date du 17 septembre 2009 voici ce que nous obtenons :

La nuit de la comète est le deuxième épisode de la saison 1 de la série Vampire Diaries. Il a été diffusé pour la première fois aux États-Unis le 17 septembre 2009 sur la chaîne The CW est a attiré 3.78 millions de téléspectateurs. En France, il a été diffusé pour la première fois le 29 août 2010 sur la chaîne Canal + Family et a attiré 2.1 millions de téléspectateurs. Il a ensuite été diffusé sur TF1, NT1 puis TF6.

Mais revenons aux acteurs de l'affaire.
Il en est un qui occupa et occupe encore les esprits: Nicolas Poussin , auteur , entre autres du tableau
Le Déluge.
Nicolas Poussin né un 15 juin, jour de la fête de Sainte Germaine de Pibrac...


Un scientifique du 17 ème siècle, William Whiston , théorisa le rapport de causalité entre le passage d'une comète et le phénomène du cataclysme diluvien :

Il devient, avec Edmond Halley, un des premiers partisans de la périodicité des comètes, lorsqu'il avance que la comète de 1680 est celle qui provoqua le Déluge lors d'un passage juste au-dessus de la Terre. Cela lui permet de dater précisément cet événement au 18 novembre de l'an 2349 avant notre ère. Il soutient que les comètes sont responsables des catastrophes qu'a connues la Terre tout au long de son histoire, et qu'elles sont guidées par la volonté divine. Cet ouvrage connut un grand succès ; il eut six éditions, fut traduit en français et en allemand, et influença plus ou moins directement les scientifiques de l'époque, comme Buffon. Whiston s'est peut-être inspiré de l'ouvrage de Thomas Burnet Sacred Theory of the Earth paru quatre ans plus tôt.

(source Wikipédia )

Nouveau clin d'œil :

Le 18 novembre ( 2013 ) , nouveau double rendez-vous exceptionnel, puisque la comète ISON passe à moins d'un diamètre lunaire de Spica, l'étoile la plus brillante de la constellation de la Vierge. ISON devrait alors être à la limite théorique de visibilité à l'oeil nu. Dans le même temps, la comète Encke passe à 1,5° (trois diamètres lunaires) de la planète Mercure. Si vous avez suivi notre conseil pour trouver Arcturus (où vous devriez voir la comète LINEAR aux jumelles, cf ci-dessus), prolongez la courbe de la veille encore un peu plus vers le bas pour trouver Spica. Mercure, de magnitude -0,5, sera à quelques encablures, un peu plus bas sur la gauche. Ce rendez-vous est à observer dès 6h30 du matin.
La seule difficulté sera de s'épargner de la lueur de la Pleine Lune, qui va effacer bon nombre de repères célestes. Pour les plus lève-tôt d'entre vous, si le temps le permet, n'hésitez pas à surveiller les quelques étoiles filantes de l'essaim des Léonides, alors à leur pic maximum d'activité, puisque ces météores ne sont autres qu'un sous-produit cométaire : ce sont des poussières de la comète 55P/Tempel-Tuttle qui brûlent dans l'atmosphère.

( extrait site ciel des hommes )

Et décidément , il paraît bien qu'un phénomène de synchronicité lie le passage de comètes aux dates qui nous occupent ici , en l'occurence sur la date du 15 juin, commune à Nicolas Poussin et Sainte Germaine de Pibrac.

C/2009 R1 McNaught reste très basse dans le ciel du soir. Son éclat est légèrement absorbé par les basses couches de l'atmosphère, et le ciel reste baigné des dernières lueurs du jour. Ce gain de luminosité permet de la distinguer faiblement à l'œil nu.
La comète entre Persée et le Cocher
De soir en soir, la comète glisse sur l'horizon du nord vers le nord-ouest. Cherchez-la dès le crépuscule, en vous aidant au besoin de jumelles, entre 22h30 et 23h.
Jusqu'au 15 juin, c'est en seconde partie de nuit qu'elle sera le mieux visible. Au gré de la rotation de la Terre, elle tourne vers le nord-est en fin de nuit, et grimpe à 15° de l'horizon vers 4h30 (15° équivaut à la largeur de votre main pouce tendu, vue à bout de bras).
Pour la localiser à coup sûr, nous vous conseillons d'observer dans la nuit du 14 au 15 juin. Elle passera alors juste sous l'étoile 3 Per, l'une des principales étoiles de la constellation de Persée. Elle se déplace ensuite progressivement vers la très brillante Capella, dans la constellation du Cocher, au ras de l'horizon.

( extrait site Ciel et Espace )

Enfin, comment ne pas revenir sur nos pas, et souligner les armes du Pape Leon XIII, accolées à la petite église de Rennes-le-Château :




Lumen in coelo

( lumière dans le ciel )

A SUIVRE

alain COCOUCH