vendredi 20 décembre 2013

LE SECRET DU VITRAIL

Ami lecteur bonjour,

C'est avec un certain plaisir que je réintègre la communauté des cherchants , c'est à dire toutes celles et tous ceux que la Vérité officielle ( sur nombre de thématiques impactant directement nos existences ) dérangent, pour ce qu'elle prétend régenter ce que doit être notre présent, voire notre futur.

Pour reprendre notre chemin commun, il me semblait juste de faire profiter mon prochain s'intéressant à l'énigme de Rennes-le-Château d'une découverte que je viens d'effectuer en quelques minutes - nulle vantardise ici que l'on ne se méprenne pas - parce que mon esprit depuis quelques semaines est de nouveau en éveil, j'oserais dire en alerte.

Dans cette résolution, j'utilise toujours la grille de lecture des concordances ou correspondances de dates.

Venons-en au matériel que nous avons investigué.
Matériel qui a fait couler beaucoup d'encre puisqu'il est un des indices dissimulés au sein de l'église de Rennes-le-Château : à savoir le vitrail comportant le mot  ONIS , ce que d'aucuns ont crû devoir lire,
sans doute avec quelque raison puisque en matière de messages disséminés ça et là la solution peut de conjuguer au pluriel, en lecture anagrammatique : SION.

Photo extraite du site société Périllos


Bien évidemment, ce qui interpelle, outre le mot ONIS, est l'ajout des chiffres 17.09.84 sur lesquels d'autres auteurs ont émis des hypothèses que nous ne jugerons pas.
A cet égard le texte du site société Périllos est digne d'intérêt.

Le lecteur suivant l'actualité des Sciences aura sans doute suivi les pérégrinations ces dernières semaines de la comète ISON, que l'on nous prédisait comme devant être la comète du siècle...
Las !

Les organes de communication officiels, la NASA, etc... nous informaient dès début décembre que la fameuse comète s'était brûlée les ailes, ou sa belle chevelure, au contact du Roi Soleil.

Disparue la comète !
Evaporée...dans la poussière des siècles.

Les semaines à venir nous instruiront sur la véracité de ces "informations".

Certains auteurs sur la toile ont anagrammé à partir d'ISON pour parvenir au mot SION.
Et pourquoi pas ?

Mais les chiffres ?
Quel peut être le ou les sens de ces chiffres ?

Reprenons :

17.09.84

Que d'après ma grille de lecture je traduit en date :

17 septembre 1884 ( j'espère que le lecteur ne fera pas trop de difficultés à me suivre sur l'année - rappelez-vous de ce que vous dites dans le langage courant en 68 ( pour 1968 ) - 14-18 etc...

Bien nous avons donc une date complète - un mot anagrammé NOIS - SION - ISON

LA DATE VA NOUS MENER A LA DECOUVERTE D'UNE COMETE...

http://fr.wikipedia.org/wiki/14P/Wolf

N'étant pas de ceux, sur cette affaire qui nous occupe, se satisfaisant d'une réponse unique, et l'assénant comme la Vérité une et indivisible, nous avons eu la curiosité de quérir si d'autres auteurs avaient exploré cet indice.

Voici ce qui en est dit :

http://www.rlc-leblog.com/article-sainte-germaine-2-38343976.html

Au-delà de la thèse qui est développée par cet auteur, et qui mérite toute notre attention parce qu'investiguant un site géographique précis, et sacralisé par la Tradition, il y a ici un de ces clins d'œil magnifique qui dénote l'humour coutumier de ceux qui sont aux commandes.

Le lecteur pourra remarquer la date qui apparaît en bas de page :

© Catherine Pierdat, le 17.09.09 

Je ne sais si cet auteur inscrit cette date de manière consciente ou inconsciente, mais si nous reprenons la date du 17 septembre 2009 voici ce que nous obtenons :

La nuit de la comète est le deuxième épisode de la saison 1 de la série Vampire Diaries. Il a été diffusé pour la première fois aux États-Unis le 17 septembre 2009 sur la chaîne The CW est a attiré 3.78 millions de téléspectateurs. En France, il a été diffusé pour la première fois le 29 août 2010 sur la chaîne Canal + Family et a attiré 2.1 millions de téléspectateurs. Il a ensuite été diffusé sur TF1, NT1 puis TF6.

Mais revenons aux acteurs de l'affaire.
Il en est un qui occupa et occupe encore les esprits: Nicolas Poussin , auteur , entre autres du tableau
Le Déluge.
Nicolas Poussin né un 15 juin, jour de la fête de Sainte Germaine de Pibrac...


Un scientifique du 17 ème siècle, William Whiston , théorisa le rapport de causalité entre le passage d'une comète et le phénomène du cataclysme diluvien :

Il devient, avec Edmond Halley, un des premiers partisans de la périodicité des comètes, lorsqu'il avance que la comète de 1680 est celle qui provoqua le Déluge lors d'un passage juste au-dessus de la Terre. Cela lui permet de dater précisément cet événement au 18 novembre de l'an 2349 avant notre ère. Il soutient que les comètes sont responsables des catastrophes qu'a connues la Terre tout au long de son histoire, et qu'elles sont guidées par la volonté divine. Cet ouvrage connut un grand succès ; il eut six éditions, fut traduit en français et en allemand, et influença plus ou moins directement les scientifiques de l'époque, comme Buffon. Whiston s'est peut-être inspiré de l'ouvrage de Thomas Burnet Sacred Theory of the Earth paru quatre ans plus tôt.

(source Wikipédia )

Nouveau clin d'œil :

Le 18 novembre ( 2013 ) , nouveau double rendez-vous exceptionnel, puisque la comète ISON passe à moins d'un diamètre lunaire de Spica, l'étoile la plus brillante de la constellation de la Vierge. ISON devrait alors être à la limite théorique de visibilité à l'oeil nu. Dans le même temps, la comète Encke passe à 1,5° (trois diamètres lunaires) de la planète Mercure. Si vous avez suivi notre conseil pour trouver Arcturus (où vous devriez voir la comète LINEAR aux jumelles, cf ci-dessus), prolongez la courbe de la veille encore un peu plus vers le bas pour trouver Spica. Mercure, de magnitude -0,5, sera à quelques encablures, un peu plus bas sur la gauche. Ce rendez-vous est à observer dès 6h30 du matin.
La seule difficulté sera de s'épargner de la lueur de la Pleine Lune, qui va effacer bon nombre de repères célestes. Pour les plus lève-tôt d'entre vous, si le temps le permet, n'hésitez pas à surveiller les quelques étoiles filantes de l'essaim des Léonides, alors à leur pic maximum d'activité, puisque ces météores ne sont autres qu'un sous-produit cométaire : ce sont des poussières de la comète 55P/Tempel-Tuttle qui brûlent dans l'atmosphère.

( extrait site ciel des hommes )

Et décidément , il paraît bien qu'un phénomène de synchronicité lie le passage de comètes aux dates qui nous occupent ici , en l'occurence sur la date du 15 juin, commune à Nicolas Poussin et Sainte Germaine de Pibrac.

C/2009 R1 McNaught reste très basse dans le ciel du soir. Son éclat est légèrement absorbé par les basses couches de l'atmosphère, et le ciel reste baigné des dernières lueurs du jour. Ce gain de luminosité permet de la distinguer faiblement à l'œil nu.
La comète entre Persée et le Cocher
De soir en soir, la comète glisse sur l'horizon du nord vers le nord-ouest. Cherchez-la dès le crépuscule, en vous aidant au besoin de jumelles, entre 22h30 et 23h.
Jusqu'au 15 juin, c'est en seconde partie de nuit qu'elle sera le mieux visible. Au gré de la rotation de la Terre, elle tourne vers le nord-est en fin de nuit, et grimpe à 15° de l'horizon vers 4h30 (15° équivaut à la largeur de votre main pouce tendu, vue à bout de bras).
Pour la localiser à coup sûr, nous vous conseillons d'observer dans la nuit du 14 au 15 juin. Elle passera alors juste sous l'étoile 3 Per, l'une des principales étoiles de la constellation de Persée. Elle se déplace ensuite progressivement vers la très brillante Capella, dans la constellation du Cocher, au ras de l'horizon.

( extrait site Ciel et Espace )

Enfin, comment ne pas revenir sur nos pas, et souligner les armes du Pape Leon XIII, accolées à la petite église de Rennes-le-Château :




Lumen in coelo

( lumière dans le ciel )

A SUIVRE

alain COCOUCH


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